Dague

Chaud... Je vois un corps allongé sur le sol, et un homme se tenant debout devant celui-ci qui tient une dague ensanglantée à la main prononçant des paroles dénuées de sens pour moi : « Tu le mérite et tu le sais... Tu n'as pas voulut me laisser ta fille, alors dans la logique des choses tu prends sa place n'est-ce pas ?!. » . Chaud... Comment pourrais-t-on tuer pour moi, je n'ai pourtant rien fait. Et puis je me rappelle, ce corps c'est celui de mon père, ou du moins l’était. Quand à cet

réputée pour son agressivité, n’était pas ouverte aux femmes.La vénerie consiste à lâcher une meute de chiens derrière des animaux sauvages jusqu’à ce que ces derniers, lasse de fatigue, se fassent capturer par ces chiens puis tués au fusil, à la dague, à l’épieu ou par toute autre arme blanche par les veneurs. Ces animaux sauvages peuvent être traqués pendant des heures, sur des distances plus au moins longues, traversant eaux glaciales, voies ferrées et routes fréquentées. Et là, parfois, ils peuvent

lui. – Es-tu un homme ? MACBETH Certes, et un homme hardi qui ose regarder Ce qui terrifierait un démon. LADY MACBETH Baliverne! C'est simplement ce que vous peint votre frayeur Comme la dague aérienne qui vous a mené, disiez-vous, A Duncan. Ces sursauts, ces bouffées de terreur, Singeries des terreurs véritables, siéraient A quelque conte de grand-mère, dévidé Par une bonne femme au coin d'un feu d'hiver. Quelle honte! Et pourquoi

christ dans le coin en haut à gauche. LES PERSONNAGES - L’homme à gauche est JEAN DE DINTEVILLE il a été nommé ambassadeur de France à Londres par François 1er afin d’obtenir l’aide d’HENRY VIII face au Saint-Empire. Son âge est inscrit sur sa dague. (29 ans).Il porte L’ordre de Saint – Michel sur son béret on voit une insigne avec un crane : sa devise Memento Mori. Il porte un manteau court car il est ambassadeur de robe courte (pouvoir politique). - Le deuxième homme est GEORGE DE SELVE il

subterfuge, Juliette avale le breuvage. Hélas, Roméo ne reçoit pas la nouvelle à temps et en apprenant la mort de sa bien aimée se rend sur son tombeau et se suicide. Juliette se réveille alors et constatant la mort de son jeune époux, saisit la dague de celui-ci et le rejoint dans la mort. Thèmes La souffrance d’aimer et l’impossibilité de rejoindre l’autre, l’amour, la famille, la dualité, la sexualité, la mort, le passage à l’âge adulte L’écriture/ la langue Romeo et Juliette est une

c’est tout simplement sa. -Dit le moi ? - Dans ta famille il y a une dague, un dague en or cuivre et argent. -Oui c’est tout ? - Elle permet de tué les vampire originelle car nous somme des vampire avec du cuivre on n’est que affaibli. -Mais jamais je n’en n’est entendue parlez. -Ta mère aurait du te prevenir. -Elle n’était pas d’accord pour que je sois vampire, je pense que c’est un peu normal qu’elle ne veut pas. -Cette dague et dans votre génération depuis des années, le problème c’est que

de Roméo puis de Pâris. Il assiste au réveil de Juliette et veut la convaincre de le suivre pour aller se réfugier au couvent. Mais Juliette découvrant le corps de Roméo mort près d'elle, fait une ultime déclaration d’amour et se poignarde avec la dague de son amant et meurt à ses côtés. Les Capulet, les Montaigu se rendent au cimetière. Frère Laurent leur raconte la triste histoire des "amants de Vérone" ; de Roméo et Juliette. Les deux familles accablées déplorent cette haine, cause de leurs malheurs

autant de morts en même temps sur la scène (la fin du Roi Lear rivalise également avec ces deux pièces, tout comme celle de Jules César). Paris gît dans son sang ; Tybalt est entouré d’un « linceul sanglant » et Juliette ne tardera pas à s’enfoncer une dague dans le cœur. Le terme « sang » apparaît avec une récurrence confondante dans des répliques qui constituent autant de didascalies internes : « taches de sang sur les dalles du seuil de ce sépulcre », « paris, baignant dans son sang », « Juliette, qui

triangle nous pouvons y voir : La base, cad le sol où sont évoqués les nazis, momentanément « à terre » durant l’insurrection, symbolisés par un casque et une dague de SS et par le drapeau à svastika déchiré piétiné par les déportés. Dans le coin en bas à gauche, l’entrée du camp de concentration d’Auschwitz. Dans le coin en bas à droite, les cheminées des crématoriums (fours crématoires) où se dégage une

« cousins » => symbole des guerres civiles, qui s’exercent à l’intérieur de la de la famille constituée par la nation) 2de partie du texte : métamorphoses des outils pacifiques du laboureur mises en valeur par termes à la rime : « faux tortue… dague pointue », « râteau… couteau » 3ème partie du texte (v21-26), le vers 22 consacré à la violence  « Un assassinat et une pillerie », le vers 26 aussi « La force, les couteaux, le sang et le carnage », en écho à la rime au nom « brigandage »