DAISY

opinion personnelle des événements de l’été 1922 ainsi que ses impressions sur la société américaine. Dans le roman, il ne joue qu’un rôle secondaire car il préfère rester un observateur passif. En arrivant à New York, Nick rend visite à sa cousine, Daisy Buchanan, et son mari Tom. Ces derniers habitent dans un quartier chic de Long Island East Egg. Nick, comme Gatsby, réside à proximité dans le West Egg, un quartier moins chic, méprisé par les voisins qui occupent le coté est. Ce quartier est le

Béranger aura comme seule optique, tout au long de cette pièce, de résister à la contamination de la rhinocérite, qu'il ne faut pas céder à ce fléau. -DAISY : Collègue de Béranger, celle ci est la secrétaire du bureau dans lequel il travaille. Daisy et Béranger auront une brève histoire d'amour au cours de la pièce, mais très vite Daisy va se laisser toucher par la rhinocérite car c'est un personnage qui ne veut pas voir, qui reste indifférent, tout en sachant la monstruosité du fléau. -DUDARD

« accepte » ces reproches en se défendant à peine. Soudain un rhinocéros surgit sur la grande place. Les habitants du quartier suivent sa course puis restent un moment étonner mais retournent très vite à leurs occupations. Ensuite Bérenger aperçoit Daisy une de ses collègue de bureau dont il est amoureux mais n’ose pas lui avouer. A la table près d’eux se tient une personne âgée avec un logicien qui lui explique ce qu’est un syllogisme. Apparait alors un second rhinocéros. Tous les habitants sont

à  rester indifférent. Quand un rhinocéros dans sa course écrase le chat d’une ménagère, la rumeur court qu’un danger menaçant plane sur la petite ville. Jean fait la morale à Bérenger qui  avoue être mal dans sa peau. Mais malgré l’arrivée de Daisy, il se remet à boire en dépit de  la promesse qu’il vient de faire. Le lendemain matin dans le bureau d’une administration, les  employés se disputent au sujet des rhinocéros. Bérenger arrive en retard. Contrairement à son  habitude, M. Boeuf n’est

habitants du quartier ( une ménagère, un vieux monsieur, un logicien, le patron du café, la serveuse …) ont suivi sa course et commentent, interloqués, le passage de l'animal. Puis ils retournent à leur occupation. Bérenger aperçoit alors la jeune Daisy, une de ses collègues de bureau, dont il est amoureux. Mais il est trop timide pour lui déclarer sa flamme. Il éprouve aussi un complexe d’infériorité vis à vis de Dudard, un autre collègue, avec lequel il ne s’estime pas en mesure de rivaliser.

sont métamorphosés en rhinocéros. A son tour Daisy entre en scène, en leur apportant des victuailles. Dudard décide alors de les laisser entre eux, rejoignant a son tour les autres rhinocéros, S'en suit un dialogue « amoureux »entre Bérenger et Daisy. Bérenger est toujours aussi déterminé a ne pas devenir un rhinocéros alors que Daisy essaie de le persuader de rejoindre la majorité (qui à la base était une minorité). Par manque de courage Daisy abandonne Bérenger pour intégrer le clan des rhinocéros

sont absurdes.En 1970, Ionesco est reçu à l'Académie française. Ionesco est mort le 28 mars 1994. Les personnages 1. Jean : il est un ami de Bérenger, 2. Bérenger: Le personnage principal , employé de bureau, amoureux de Daisy. 3. Le Logicien 4. Daisy: Elle est un collègue de Bérenger, elle travaille dans le même bureau que lui. Elle est dactylo. Elle est amoureuse de Bérenger vers la fin de la pièce, 5. Monsieur Papillon: Le chef de service 6. Dudard : Collègue, sous)chef

protagonistes étant assis autour d’une table, des rhinocéros déboulent dans les rues. Puis d’autres rhinocéros détruisent l’escalier du lieu de travail de Bérenger, et les personnages se métamorphosent en rhinocéros les uns après les autres. Jusqu’à Daisy, la bien-aimée de Bérenger qui, lui, reste seul et “ne capitule pas.” Découpage |Nombre de personnages |Lieux |Métamorphoses | |Acte I |10 personnages |Une place dans une petite ville de province |Des rhinocéros dans la rue | |Acte II, tableau I

lequel les interlocuteurs se répondent vers pour vers. - « Vous en êtes convaincu ? - Oui, je suppose » , acte III, page 210. - « Ce n’est tout de même pas si vilain que ça un homme. Et pourtant, je ne suis pas parmi les plus beaux ! Crois-moi Daisy ! […] Un homme n’est pas laid, un homme n’est pas laid ! » acte III, page 277 -« Laissez-moi donc souffler. J’en ai bien le droit. Je suis chez moi. » -« Je ne dis pas le contraire » - «  Dudard (à part) Oh ! Mais elle connaît très bien la

habitants du quartier ( une ménagère, un vieux monsieur, un logicien, le patron du café, la serveuse …) ont suivi sa course et commentent, interloqués, le passage de l'animal. Puis ils retournent à leur occupation. Bérenger aperçoit alors la jeune Daisy, une de ses collègues de bureau, dont il est amoureux. Mais il est trop timide pour lui déclarer sa flamme. Il éprouve aussi un complexe d’infériorité vis à vis de Dudard, un autre collègue, avec lequel il ne s’estime pas en mesure de rivaliser. A