Dans L Etranger Baudelaire Figure De Style

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Verlaine suit des études secondaires en pension et devient bachelier en 1862, il renonce par la suite à des études de droit et entre comme employé à l'Hôtel de ville de Paris, en même temps qu'il fréquente cafés et cercles littéraires. Admirateur de Baudelaire, il s'essaie à la poésie et publie son premier recueil, Poèmes saturniens en 1866 à 22 ans. Puis il écrit Les Fêtes galantes, en 1869, recueil composé de 22 poèmes aux mètres rapides et aux strophes peu nombreuses et courtes, se présentent au premier

mettaient comme une toison de bête ; et les applaudissements devinrent furieux. Émile Zola, Nana, 1880. ¾ ¿¼ ¿ ¼ Texte 4 Le narrateur s’est arrêté dans une auberge. Il y fait la rencontre d’une servante dont les yeux à la couleur étrange le fascinent. Quand il lui demande de s’approcher afin qu’il puisse mieux les voir, elle lui déclare : Ils font peur et ils ont toujours fait peur, mes yeux d’eau. C’est de l’eau, deux gouttes d’eau qu’on croirait prises dans la rivière, n’est-ce pas

l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... » ; et décrit la jeune Hélène devenue « bien vieille [...] au foyer accroupie ». Mais le poète est aussi celui qui peut se consacrer à la laideur du monde, laideur de laquelle peut germer la beauté. Baudelaire dans le poème « Une charogne » oppose tout d’abord la beauté à la laideur (« beau matin d’été si doux »/ »une charogne infâme »), avant de les faire fusionner par un oxymore « carcasse superbe ».Certes il en ressort une certaine ironie ,mais il

de la souffrance dans l’œuvre poétique de Leconte de Lisle, afin de les expliciter davantage. Il s’agira de montrer que son expression repose sur un ensemble de stratégies discursives et énonciatives oscillant entre projection imaginaire dans des figures mythiques et sublimation esthétique. Ceci dit que la souffrance, loin de se réduire à une présence thématique, aussi obsédante soit-elle, est l’objet d’appréhension à la fois poétique, esthétique et métaphysique. En fait, la représentation de

1.1. Détermination du thème Bergson exprime la différence entre la perception de l’artiste et celle de l’individu normal. 1.2. Définitions Bergson écrit d’ordinaire dans un style naturel. Il recourt ici à des répétitions insistantes (« voir » figure sept fois, par exemple) et à des structures en parallèles ou en chiasmes, qui donnent une tonalité « précieuse », si l’on ose dire, à l’extrait. Néanmoins, point n’était besoin de s’appesantir sur ces considérations

dénigrement », et donne les exemples suivants : « Tour prosaïque, Vers prosaïques, Style prosaïque3«. • 4  Littré relève « stille prosal » chez Christine de Pisan. 4Ces exemples témoignent de la généralisation d’emploi, au XIXe siècle, d’un adjectif que les siècles classiques avaient cantonné au domaine des vers, restreignant par là même l’usage antérieur. Ainsi, Littré cite sans distinction « le style prosaïque » de Ronsard et « la [manière] prosaïque » de Montaigne4, alors que L’Encyclopédie

par l’émergence d’un style unique. Victor Hugo avait en art une vision, une imagination sensible, complète, étendue, foisonnante, bref mystérieuse. Il est habitué à saisir sur le vif le trait caractéristique, à en faire la satire, à le reproduire et son écriture qui doit son «  incisivité » a ses qualités de dessinateur. Tous ce retourne dans ses dessins atypiques : il a une force tranquille, une fibre poétique, cette finesse, cette légèreté, cette simplicité, ce souffle étrange. Contraste de couleurs

L’impossibilité à s'extérioriser peut conduire à la folie et au spleen (mélancolie). Le héros négatif du "Mal du siècle", qui ne parvient ni à jouir, ni à pleurer, qui est usé avant l'âge, éprouve cette terrible dysharmonie de l'être à laquelle Charles Baudelaire donnera des accents très forts. * * *IV - La condition de l'écrivain* * **L'écrivain vit une situation ambiguë. Le mécénat n'existe presque plus. Sa plume doit le nourrir. Souvent, il vend sa liberté littéraire, comme** Théophile Gautier**

possible (le deuxième peut vous être prêté4). Ne sortez rien d’autre dans la salle d’oral : vos plans de cours, vos textes avec biographies, tout ce qui vous a servi à réviser doit rester rangé dans un sac ; aucune note, soulignement ou signe ne doit figurer sur les textes, images et livres. Aucun cours ne doit être avec vous … mais dans votre tête ! Prévoyez donc un trieur avec uniquement ce qu’il faut pour l’oral, et un autre avec les cours, afin de pouvoir réviser encore avant de passer ! 2° Puis,