Dans Quelle Mesure Le Spectateur Est Il

« haut-de-chausses, attaché au pourpoint avec des aiguillettes » : il se signale ainsi comme quelqu’un qui ignore le progrès, se ferme à la société et refuse de dépenser le moindre sou pour soigner son apparence. Enfin, les costumes éclairent le spectateur sur le thème central de la pièce. L’opposition entre le costume des « jeunes gens » et celui du vieil avare annonce une comédie sur les conflits entre les générations. L’agressivité de Jean, dans le texte 3, qui conclut son inspection de l’apparence

dans quelle mesure cette scène d’exposition s’écarte-t-elle de la tradition classique ? / en quoi cette scène constitue-t-elle une exposition de drame romantique ? (annonce du plan) I/ les ingrédients d’une exposition traditionnelle (renseigner le spectateur) II/ une atmosphère de mystère (intriguer le spectateur) III/ les aspects novateurs de cette scène d’ouverture (surprendre ou choquer le spectateur) I/ Les ingrédients d’une exposition traditionnelle (renseigner le spectateur) Rappels : Fonction

toucher ». Selon vous le succès d'une représentation est-il uniquement dépendant du respect de cette règle classique ? Vous prendrez appui sur les oeuvres et les textes que vous avez étudiés en classe, vos lectures personnelles et votre expérience de spectateur. *Art Poétique, III, 1674 Introduction : Le théâtre classique a surtout été présent durant la seconde moitié du XVIIème siècle. Il suit des règles strictes dont les principales sont, d'une part, la règle des trois unités : une action ne

la réalisation mais celle-ci s’est vue assembler nombre de nouvelles techniques ouvrant des horizons encore nouveaux. Ces techniques sont bien évidemment souvent onéreuses et nécessitent des apports financiers toujours plus importants au fur et à mesure de leur progression. Parallèlement à celles-ci s’est développée de façon exponentielle la promotion autour des films, à tel point qu’elle est devenue la condition quasi sine qua non de leur réussite en salle. Dans le débat public, la promotion

et modifie le rapport que nous devons avoir à la réalité, c’est-à-dire à la vérité Si cette modification de la réalité s’effectue par un travail spirituel, son résultat – l’œuvre d’art – est néanmoins d’ordre sensible (son, couleur, forme…). Le spectateur contemple (ou écoute) l’œuvre d’art qui se donne à lui par la perception sensible. Si le plaisir esthétique, le sentiment du beau, n’est pas un simple plaisir des sens, c’est bien sur notre affectivité sensible que joue l’art. C’est sur ce point

 et  mesure  130,2  cmx  162,5   cm.    L’artiste  a  choisit  d’utiliser  la   peinture  à  l’huile  apposé  sur  une  toile.   Suivant  sa  démarche  rituelle,  l’artiste   n’a  pas  titrée  son  oeuvre.  Il  expliquera   dans  une  interview  qu’il  ne  nomme   pas  ses  oeuvre  afin  de  ne  pas  être   directif  envers  le  spectateur.  L’oeuvre

seul avec notion de vérité étranger pas victime mais spectateur d'une succession logique d'évènements dans système judiciaire Il est victime d'une société qui veut tout savoir, qui a besoin de tout expliquer et qui préfère l'homme à l'idée qu'elle s'en fait assiste à son procès comme un spectateur, non coupable ? Justice paraît fonctionner en ignorant le principal concerné crime non prémédité Arabe pas en mesure de nuire au yeux de la société Meursault est un criminel

principes 1. Le choix de la clarté, de la logique, de la raison (dans les arts : la ligne droite, la symétrie). Cette rigueur peut être associée à l’honneur, à la rigueur morale. 2. L’idéal de l’honnête homme qui sait se tenir en société, il est mesuré dans ses actes, il est modeste et attentif à l’autre. Il est le modèle de tous les aristocrates tel que les auteurs classiques le conçoivent. 3. Les auteurs ont souvent pour but d’instruire le lecteur et d’édifier son moral. 4. Le triomphe

Cependant ce n’est pas tout, le vrai pouvoir de la pièce Ivanov est son universalité permettant au spectateur de s’en sentir le héros.INCLUS D’ordinaire, dans une scène d’exposition est présenté le cadre spatial, temporel et des précisions sont données sur le personnage principal, ses relations avec les autres protagonistes mais ici rien. On ne sait pas

I. Dans une certaine mesure, OUI. - les libertés du metteur en scène, de l'acteur (d'ailleurs aussi appelé interprète) - le théâtre de l'absurde II. Dans une autre mesure, NON. - les contraintes du théâtre classique : règle des 3 unités, règle des bienséances - la censure - les contraintes matérielles (espace fermé, acteurs réels, temps limité... ) III. C'est l'imagination qui permet de passer à travers - les conventions du théâtre Introduction L’artiste se veut libre et a recours