Dans Quelle Mesure Le Spectateur Est Il

réalisé "10 Marilyn" en 1967, il était inspiré de l'actrice/chanteuse Marilyn Monroe. La technique choisie consistait à reporter sur une toile une photographie sérigraphiée (la sérigraphie est un procédé de reproduction de l'image). Chaque Marilyn mesure 91,5 x 91,5 cm et ce tableau est en se moment exposé au musée d'art moderne de New York. 2. Le contexte historique : Il a longtemps été amoureux de Marilyn Monroe, c'est donc pour cette raison qu'il a représenté son portrait. Ce tableau fait

L'habitude a été prise au théâtre de remettre aux spectateurs un programme. Selon les moyens financiers du théâtre, de la Compagnie, le programme peut être plus ou moins luxueux : du petit livret illustré à la simple feuille. Ce programme est comme une sorte de « cadeau » qui permet à la fois de faire patienter (on le lit en attendant le commencement du spectacle), qui permet d’informer et qui permet surtout d'orienter l'écoute, le regard du spectateur. Un programme contient : - des éléments objectifs

qu'il y a de l'inconnu dans ce que l'on connait. Chapitre 2 : à propos du "créateur littéraire" et de la "fantaisie" notamment (comprendre 'activité imaginative'). Comment l'artiste intègre à son oeuvre quelque chose d'inexplicable mais que le spectateur parvient à saisir? + l'artiste lui même est surpris, comme si il ne pouvait pas l'avoir fait lui même. ->génie antique? ->tout le monde peut il être artiste? Ecrivains répondent "en chaque homme se cache un poète". Activité littéraire

1929 et 1932 -domaine : arts visuels -genre artistique : tableau/ triptyque œuvre religieuse appartenant habituellement a l’art chrétien . Tu dois être capable de citer un triptyque religieux. -données techniques : triptyque dont le panneau central mesure 204x204cm, les panneaux latéraux 204x102cm et la prédelle 69x204cm. La technique de la tempera sur bois -exposition : la Galerie Neue Meister à Dresde en Allemagne - problématique : Comment Otto Dix parvient-il avec réalisme à décrire l’horreur de

confort lieu à part complicité acteur spectateur interaction avec les aparté notamment Mais « tout le monde sait que les comédies ne sont faites que pour être jouées » (Molière III) la pièce qui vient a nous et non nous qui allons vers la pièceLa catharsis est l’une des fonctions de la tragédie selon Aristote. Il s’agit de libérer les spectateurs de leurs passions en les exprimant symboliquement. L’idée est que le spectacle tragique opère, chez le spectateur, une purification des passions.

Dans quelle mesure, le personnage tragique peut-il vous concerner ? La tragédie a souvent été considérée comme le plus grand genre dramatique (par opposition à la comédie). Ce jugement peut s'expliquer par une impression que la tragédie donne au spectateur (et au lecteur), celle d'un éloignement. Il s'agit d'un des traits fondamentaux de la tragédie: elle élabore en effet un monde textuel qui crée une distance par rapport à la réalité quotidienne. Le fait que la tragédie se joue à distance

Pensez-vous que le théâtre est le lieu de la plus grande liberté, de l’imagination la plus folle ? Voici une ébauche de plan : I. Dans une certaine mesure, OUI. - les libertés du metteur en scène, de l'acteur (d'ailleurs aussi appelé interprète) - le théâtre de l'absurde II. Dans une autre mesure, NON. - les contraintes du théâtre classique : règle des 3 unités, règle des bienséances - la censure - les contraintes matérielles (espace fermé, acteurs réels, temps limité... )

qu’il commence ; l’idée lui vient à mesure qu’il fait ; il serait même plus rigoureux de dire que l’idée lui vient ensuite, comme au spectateur, et qu’il est spectateur aussi de son œuvre en train de naître. Et c’est là le propre de l’artiste. Il faut que le génie ait la grâce de nature, et s’étonne lui-même. Un beau vers n’est pas d’abord en projet, et ensuite fait ; mais il se montre beau au poète ; et la belle statue se montre belle au sculpteur, à mesure qu’il la fait ; et le portrait naît sous

initié par Euripide quelques siècles déjà avant J.-C, ne présente aucun intérêt pour Sartre dans la mesure où tout est joué d'avance. Telle ou telle psychologie définit tel ou tel personnage et ses actes. Le personnage n'existe qu'à travers sa  psychologie. Il n'est pas réellement libre. La psychologie ne peut donc en aucun cas pour Sartre être le principal ressort de la tragédie dans la mesure où elle ne saurait être la seule responsable de nos actes. Car,  pour Sartre, l'étude de l'homme à travers

L’émission est en direct et ici, le sujet abordé est celui de la violence dans les stades, avec la question « Que faire avec les supporters ? », indiquée au spectateur par un affichage numérique additionnel. Ce procédé donne la possibilité aux spectateurs de resituer le discours des différents intervenants et ainsi d’inclure également tout spectateur qui n’aurait pas suivi l’émission en totalité. Dans les premières secondes, on assiste à la définition du problème, à la description de ses manifestations