Dans Quelle Mesure Un Poème Est Il Une Invitation Au Voyage

jusqu’à l’oreille, rappelant la légende populaire selon laquelle le Christ aurait été conçu par l’oreille de la Vierge (entendant les paroles de l’ange Gabriel) et serait né par cette voie, Rabelais se moque ainsi de cette croyance. Lorsque Gargantua voyage à travers le corps de sa mère, il est présenté comme un véritable héros, maître de ses choix et de son destin, comme Hercule lorsqu’il doit choisir entre le bien et le mal : Héroïcomique (= qui traite un sujet prosaïque sur un ton sérieux). Chap

James Augustine Joyce naît en 1882 dans une famille catholique romaine de la banlieue de Dublin. Il est l'aîné de dix enfants survivants. Deux de ses frères et sœurs sont morts de la fièvre typhoïde. En 1891, James écrit son premier poème Et Tu Healy sur la mort de Charles Stewart Parnell. Son père le fait imprimer et en envoie une copie à la Bibliothèque du Vatican. En novembre de la même année, John Joyce entre dans la Stubbs Gazette (un registre officiel de la banqueroute).

1819, il s'inscrit à la faculté de droit tout en fréquentant les salons littéraires de l'époque. Il fait bientôt figure de jeune homme cynique et libertin (combat en duel avec le mari d’une ses maîtresses, éphémère aventure avec Georges Sand…). Il voyage en Europe et surtout en France. Il devient l'ami de Stendhal, de vingt ans son aîné, et songe à cette époque, comme tous les jeunes gens de son âge, à révolutionner le théâtre. En 1825, le Théâtre de Clara Gazul, son premier livre, marque ses débuts

aucune autre détermination qu’à celle de leur être profond. Ils sont plus grands que nature sans cesser d’être vrais. L’imagination de BALZAC les a dotés d’une énergie farouche, d’une activité inlassable, de passions dévorantes ou d’une faiblesse sans mesure ; elle les a lancés dans cette jungle sociale où se déchaîne la lutte pour la vie. C’est l’histoire de toute la société française depuis 1789 qui nous parle dans la « Comédie humaine » de BALZAC . Devoirs de travail individuel Questions théoriques

avons limité, en notre principe, énumération aux œuvres de langue française. Toutefois, nous n'avons pu nous dispenser d'accorder une mention spéciale à tels ouvrages les de renommée universelle, les tels que voyages de Cook ou récits d'aventures d'un Cooper, traduits dans plusieurs langues européennes et qui ont reçu, en France, cité. le droit de Nous avons tenté de mité illimité réaliser le « raccourci » d'un ensemble de productions

un voyage en Algérie. Il fit jouer : ____________________________________________________________ _____________________ “La dernière idole” (1862) Pièce de théâtre Commentaire La pièce, écrite en collaboration avec Ernest Manuel (pseudonyme d'Ernest Lépine), fut montée à l'Odéon, mais elle ne connut qu’un succès d’attendrissement. ____________________________________________________________ _____________________ De décembre 1862 à mars 1863, Daudet effectua un voyage en Corse

Benoit Pype VOYAGE ET DÉPLACEMENT : L’ARTISTE CONTEMPORAIN ET SES EXPÉDITIONS Directeur de mémoire : Catherine Strasser Art-espace ENSAD 2010 VOYAGE ET DÉPLACEMENT : L’ARTISTE CONTEMPORAIN ET SES EXPÉDITIONS 3 4 Benoit Pype VOYAGE ET DÉPLACEMENT : L’ARTISTE CONTEMPORAIN ET SES EXPÉDITIONS Directeur de mémoire : Catherine Strasser Art-espace ENSAD 2010 5 Tous mes remerciements à : Ma famille Catherine Strasser Yann Pavie Jean-Christophe Gadrat Bérénice Serra

transmettre, chaque séquence s’efforce de mettre en œuvre un apprentissage cohérent ; c’est la raison pour laquelle les pédagogues devraient chercher des principes fédérateurs. Un thème ou un type de texte sert de lien à toutes les activités : la lettre, le poème, la description, le conte, l’image, etc. Ces liens ne sont pas gratuits : ils permettent à l’apprenant de nouer les fils entre les textes lus, d’aller de l’un à l’autre, guidé par l’enseignant ou de façon plus ludique et ainsi de fonder une culture

à pied de la gare Saint-lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait la main de Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta

dans son appentis1, à l’abri de la pluie, triant ses haricots secs, et, plus tard, près de sa cuisinière de fonte, garnir le fourneau, replacer les cercles brûlants, lire le journal, regarder infiniment ses mains ouvertes devant lui comme pour mesurer le travail accompli. Je le revois enfin sur sa bicyclette, vieillissant mais toujours au travail, en route vers le jardin, sa musette2 à l’épaule, très droit, le regard loin porté. Car ce jardin aidait mes grands-parents à subsister. Malgré l’aide