Danse sur glace

le centre de la terre. Ce ruisseau remonte en sa source,  Un bœuf gravit sur un clocher,  Le sang coule de ce rocher,  Un aspic s'accouple d'une ourse,  Sur le haut d'une vieille tour  Un serpent déchire un vautour,  Le feu brûle dedans la glace,  Le Soleil est devenu noir,  Je vois la Lune qui va choir,  Cet arbre est sorti de sa place. De Théophile de Viau, extrait du recueil « Œuvres poétiques » publié 1626. La Terre « La Terre » est une huile sur toile d’Arcimboldo

Un son d’airain bourdonne alors à mes oreilles tandis que les ténèbres mâchent leur frayeur. Après plusieurs heures de marche, j’arrive à un amoncellement de rochers noirs insolites, brûlés par des feux inhumains. Au bas, une gigantesque tour de glace s’élève droit vers les étoiles. Près de celle-ci, creusée dans le sol, une prison de terre gardée par des barreaux rouillés. Je m’approche et discerne une forme derrière cette prison lumineuse. Suis-je l’objet de mon regard ? … car cette ombre au fond

est présentée de manière différente, notre attention s’arrête sur le désir de mort, ce mystère, une envie irrépressible de savoir….mais savoir quoi, et si ce n’était « que cela »… 4)La Fin de la Journée Sous une lumière blafarde
 Court, danse et se tord sans raison
 La Vie, impudente et criarde. 
Aussi, sitôt qu'à l'horizon La nuit voluptueuse monte,
 Apaisant tout, même la faim,
 Effaçant tout, même la honte,
 Le Poète se dit: «Enfin! Mon esprit, comme mes vertèbres, Invoque

modifications spatiales en cours : « on a coupé Paris en quatre. […] La grande croisée de Paris, comme ils disent. Ils dégagent le Louvre et l’Hôtel de Ville. Jeux d’enfants que cela ! […] Quand le premier réseau sera fini, alors commencera la grande danse. Le second réseau trouera la ville de toutes parts. » Il lui dévoile ses rêves de fortune : « Plus d’un quartier va fondre et il restera de l’or aux doigts des gens qui chaufferont et remueront la cuve. » Saccard compte bien être de ces spéculateurs

première heure de cours : le sport. Comme je n'avais pas prévu avoir sport aujourd'hui, je n'avais pas mes affaires, et allai donc expliquer ceci au professeur. Il alla dans son bureau, me chercher un legging noir avec des petites ballerines de danse classique. Je partis dans les vestiaires et les enfilai rapidement. Puis je revins, et m'assoyais avec mes nouveaux camarades. Tous me dévisagèrent. Une jeune fille s'approcha de moi, me sourit gentillement et me demanda mon prénom. Je lui répondis

qu'il avait soif. Julien alla chercher sa cruche, l'eau se transforma en vin lorsqu'il la prit. Le lépreux bu tout et dit « J'ai froid ! ». Julien fit un feu au milieu de sa cabane. Puis il murmura « Ton lit! », ajoutant ensuite « C'est comme de la glace dans mes os ! Viens près de moi ! ». Julien se coucha. Le lépreux lui dit « Déshabille-toi, pour que j'ai la chaleur de ton corps ! », ce que Julien fit. Julien encourage le lépreux qui lui répond « Ah ! Je vais mourir!...Rapproche-toi, réchauffe-moi

paradis, on ne peine pas, on ne tombe pas malade, on ne se pose pas de questions : on se contente de vivre, on a les moyens de s’offrir tout ce que l’on désire, y compris le luxe du temps et cela rend forcément disponible. REVE : Page 13 : La 4ième danse reste la plus mystérieuse, c’est le tango du reve, et chacun s’y emploi à sa manière au rythme de son souffle. MADICKE-frère de Salie, reve de serrer la main de Maldini (joueur de foot d’AC Milan). Lors du match Pays-Bas –Italie : Maldini, son idole

Introduction ............................................................................. Politiques sportives locales et jeunes des quartiers : un désintérêt marqué pour le public féminin ................................. Le genre en hockey sur glace ..................................................... L’accès à l’éducation physique des filles issues de filières scolaires professionnelles en Allemagne ................................................... Des filles non sportives ? Raisons pour

flamboyaient, Et je vois au-delà quelques formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit, sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. L'allure était semblable et semblable la danse; Mais les enfants du Loup se jouaient en silence, Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi, Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi. Alfred de Vigny, extrait 1864 Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, est un écrivain

se préparer à cet art nouveau [387] (plus vaste que l'art simple des paroles) où, chefs d'un orchestre d'une étendue inouïe, ils auront à leur disposition: le monde entier, ses rumeurs et ses apparences, la pensée et le langage humain, le chant, la danse, tous les arts et tous les artifices, plus de mirages encore que ceux que pouvait faire surgir Morgane sur le mont Gibel, pour composer le livre vu et entendu de l'avenir. Mais généralement vous ne trouverez pas en France de ces "paroles en liberté"