Dar Sbitar

..................................... 11 5.4 La fabrication de la femme ............................................................ 12 5.5 L´école ........................................................................................... 13 5.6. Dar Sbitaroul´espace-femme ........................................................ 14 5.7 L´amour ......................................................................................... 16 5.8 L´obéissance ...........................................

leur donnant de la nourriture; et ce dernier devrait- ordures ; ils avaient leur voler ; Omar est l'un des tyrans. --Cependant retour à Dar Sbitar, il a obtenu son pain en exécutant quelques courses et les corvées ménagères pour son voisin Yamina (qui été très gentil avec lui) ; qui l’a payé avec les repas.

sa famille vivent dans une chambre à Dar Sbitar. Sa mère, Aïni   qui se démène tant bien que mal à les nourrir lui et ses deux sœurs et sa grand-mère handicapée, la mère veuve, ne supporte pas cette situation. les maudits   eux et son défunt mari parti se reposer en la laissant dans la misère, s'ajoutant à tout cela, la situation colonial qui exerce la dictature sur leur quotidien, avec l'arrestation de Hamid Seraj qui bouleversa   les résidents de Dar Sbitar et notamment   Omar. La réunion politique

voit souvent récompenser par Yamina, une voisine complaisante, pour les services qu’il lui rende par bout de pain parfois accompagne par un morceau de viande ou une sardine grille. Tout au long du roman nous assistons a la lutte inégale entre de Dar Sbitar et ce fléau (la faim) Nous entendons les habitants dire à tout propos « nous sommes des pauvres p115 » Ce qui nous révèle –l’incertitude du lendemain – l’inconfort –le malheur sous toutes ses formes qui accablent les habitants de la Grande Maison

se déroule dans l'Algérie de 1939, elle raconte la vie d'une famille nombreuse et très pauvre, Le héros est un petit garçon d'une dizaine d'années qui ne mange pas tous les jours à sa faim. Omar et sa famille vivent dans une petite chambre à Dar Sbitar (une maison collective où s'entassent plusieurs familles qui partagent la cour, la cuisine et les toilettes). Aïni, la mère se tue au travail pour faire vivre sa famille, mais l'argent qu'elle gagne ne suffit même pas à acheter du pain. Devant

qui enlève son voila pour courir provoque pb : «  sans haik, même sur cette route deserte, …Aie ! » Et condition de « prisonnières » des femmes p11 comparaison à « une bête rogue plutôt qu’a des êtres humains », « d’insupportables mégères » - Dar Sbitar vu comme un environnement carcéral, champs lexical violence : «  emportement », « empoigné », « emotion brutale », « amertume », « conditions de prisonnières ». D’où le soulagement d’Omar qui quitte la ville pour Bni boublen- la mère montée à Bni

grand prix Fénéon de la littérature le grand prix de la Francophonie de l’académie française. Résumé de l’œuvre Nous somme en 1939 a Tlemcen ; une ville algérienne ou vie une famille nombreuse très pauvre dans une chambre de dar sbitar (une maison collective), cette famille affronte le quotidien animé par la faim.la mère de famille veuve, n’arrive plus a subvenir aux besoins de ses enfants et face a son désespoir elle devient presque inhumaine. Omar son fils et un petit garçon

L'histoire se déroule dans l'Algérie de 1939, elle raconte la vie d'une famille nombreuse et très pauvre, le héros est un petit garçon d'une dizaine d'années qui ne mange pas tous les jours à sa faim. Omar et sa famille vivent dans une petite chambre à Dar Sbitar (une maison collective où s'entassent plusieurs familles qui partagent la cour, la cuisine et les toilettes). Aïni, la mère se tue au travail pour faire vivre sa famille, mais l'argent qu'elle gagne ne suffit même pas à acheter du pain. Devant les

L'histoire se déroule dans l'Algérie de 1939, elle raconte la vie d'une famille nombreuse et très pauvre, le héros est un petit garçon d'une dizaine d'années qui ne mange pas tous les jours à sa faim. Omar et sa famille vivent dans une petite chambre à Dar Sbitar (une maison collective où s'entassent plusieurs familles qui partagent la cour, la cuisine et les toilettes). Aïni, la mère se tue au travail pour faire vivre sa famille, mais l'argent qu'elle gagne ne suffit même pas à acheter du pain. Devant

bassin. A l'intérieur, on distinguait des ornements de grande taille sur les murs : des céramiques bleues à fond blanc. Une colonnade de pierre grise supportait, sur un côté de la cour, les larges galeries du premier étage.» Cette maison, Dar Sbitar, dans un quartier ancien de Tlemcen, c'est celle où habite Omar, un petit garçon de dix ans. Le thème de la grande maison est souvent utilisé comme une coupe significative d'une société donnée depuis les romans réalistes du XIXe siècle jusqu'à "La