Darfour

infectieuses : arrivée de nouveaux moustiques tropicaux apportant la malaria, etc. 8. Changement agricole : les zones culturelles seront meilleures au Nord. 9. Conflits sociaux : réduction de possibilité de production agricole = exil (Darfour au Soudan), combat pour l’eau et terres fertiles. 10. Biodiversité atteinte : espèces animales, végétales en voie de disparition. 11. Coût économique très élevé 12. Risques politiques : terrorisme à craindre, inégalités, risques de

navires négriers venaient charger leur cargaison. Une partie de l'Afrique au sud au sahara connut ainsi des siècles d'insécurité dont le souvenir reste gravé dans les mémoires collectives. Violences qu'ont connu ces pays et qui meurtrissent encore le Darfour réactualisent les peurs et les haines qu'éprouvaient les noirs sédentaires à l'égard des tribus arabes guerrières. 2.Le Liberia, du rêve au cauchemar Premiers mouvements pour abolition de la traite des noirs apparus fin XVIII°. Première interdiction

d'ingérence apporte une très grande nouveauté dans les relations internationales puisqu'il ne s'agit plus de régler simplement les menaces ou les conflits entre les Etats mais aussi des cas particuliers de situation interne aux Etats (intervention au Darfour au Soudan en 2004). La mise en place d'un droit pénal international: les violations massives du droit humanitaire survenues lors du conflit dans l'ex-Yougoslavie ont incité le Conseil de sécurité à créer en 1993 un tribunal international chargé de

marché qui permet de gagner de l’argent en se faisant passer pour des personnes de bonne intention. Ainsi, l’Arche de Zoé est arrivée au Tchad le 17 septembre 2007. L’association voulait faire un centre d’hébergement d’urgence pour les orphelins du Darfour. Le projet s’appelle «Children Rescue» et devait durer deux ans; il a été présenté ainsi aux populations locales. Mais en réalité l’Arche de Zoé cherchait des personnes, en France, qui étaient prêtes à héberger des "orphelins" et qui pourraient par

bec à l’ongle pour juger tous les criminels de guerre. Le cas de la République Démocratique du Congo pour les crimes commis par Thomas Loubanga, Jean Bosco Ntaganda et d’autres mandats d’arrêt sont déjà lancés sans oublier les crimes commis dans le Darfour au Sud du Soudan. Les Centrafricains suivent de près le procès de Jean Pierre Bemba suite aux actes de pillage et viols comisent par ses troupes contre la population civile Centrafricaine lors de son intervention au côté du Gouvernement centrafricain

à l'élimination de la peur mais elle doit aussi mettre à l'abri du besoin". La paix humanitaire connaît donc une dimension plus importante. En effet , il est intéressant de s'appuyer sur une phrase de Barack Obama " Lorqu'il y a génocide au Darfour, les viols systématique au Congo, ou la répression en Birmanie, il doit y avoir des conséquences. Et plus nous sommes unis, moins nous risquons d'être confrontés entre une intervention armée et la complicité avec l'oppression". Il apparaît très

lui-même est complice des massacres, mais aussi les excès des grandes puissances face à cette question de l’ingérence humanitaire, en accusant en particulier les Etats Unis. La communauté internationale a en effet rencontré de nombreux obstacles au Darfour, en Birmanie, au Tchad ou encore au Kenya. Des difficultés techniques, du fait des coûts importants des missions mais aussi à cause du manque de coopération des autorités des pays en question. De plus, la difficulté de la prise de décision au sein

Fontaine : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ». Il y a un constat incontournable : la Cour pénale internationale (CPI) n’est saisie aujourd’hui que de dossiers qui concernent l’Afrique (Darfour bien sûr, mais aussi République démocratique du Congo, République Centrafricaine et Ouganda). Et si le bureau du Procureur proteste qu’il enquête aussi sur d’autres régions du monde (notamment Afghanistan et Colombie), il ne travaille pas encore sur

sur fond de captation des ressources pétrolières du pays, "guerre du gaz" en 2006 entre la Russie d'une part, l'Ukraine et la Géorgie d'autre part, nationalisme pétrolier de certains gouvernements d'Amérique latine (Venezuela, Bolivie…), guerre du Darfour, diplomatie pétrolière offensive de la Chine visant à la sécurisation de ses approvisionnements énergétiques, notamment en Afrique, incertitudes quant à l'avenir des approvisionnements énergétiques de l'Europe. Ces rivalités pour la maîtrise des approvisionnements

sur l'agenda a été réglée de façon originale. C'est ainsi que le Soudan disposait théoriquement de la présidence du C.P.S. pour le mois d'août 200496(*). Or l'agenda de la 14e réunion en date du 09 août 2004, a savoir l'examen de la situation au Darfour, concernait directement le Gouvernement soudanais. L'article 6.8 du Protocole prévoit dans ce cas son remplacement par le membre du C.P.S. suivant dans l'ordre alphabétique. En l'espèce, le Togo aurait donc dû se substituer au Soudan pour la tenue