Darwin Homme Animal

semble désigner, si on le prend dans son sens philosophique, à la situation de l'être, à la fois dans la société et dans l'univers. Autrement dit, la question est donc la suivante les mythes religieux sont-ils des barrières aveuglantes, pour nous, Homme à notre condition? Sont-ils des obstacles de par l'influence qu'ils ont sur l'Homme, à notre prise de conscience? A première vue, on considère les mythes religieux comme une voie d'accès à la vérité, à la connaissance :il semble que c'est les mythes

raconté: “ je vis l'apparence hideuse d'un homme donner des signes de vie a la mise en marche d'une puissante machine... spéctacle éffrayant que cet éffort de l'homme pour immiter le stupéfiant mécanisme du créateur de l'univers ! Sa propre réussite térifiait l'artisan; il fuyait précipatemment, frappé d'horreur, son oeuvre affreuse...” Au cours d'une nuit pluvieuse Shelley et ses amies des expériences du poète et philosophe naturaliste Erasmus Darwin , au XVIIIe siècle, dont on prétendait qu'il

nature". La culture au contraire : - est chronologiquement postérieure, - elle construit un monde de valeurs qui n'existent pas naturellement, valeurs éthiques et esthétiques, recherche de la vérité, et substitue à la simple survie animale, la notion d'une existence humaine qui tend à se construire elle-même sa propre signification; - se caractérise par son historicité, même quand elle comporte une prétention (ou une illusion ?) d'éternité; - elle est le résultat d'une élaboration

aussi causes par la mondialisation Un monde interconnecte favorise la propagation de menaces L’homme se crée lui-même des risques et des effets négatifs qui peuvent causer la disparition de civilisation (mondialisation triste) VI) Le Cauchemar de DARWIN Internet, acteur principale de la mondialisation, change la face de la vie privée (Facebook) l’individu est avant tout un « il » sous le regard/jugement constant des autres, plutôt qu’un « je » personnel et privé Corrélation entre solitude, internet

également régis par ces mêmes lois. C’est ce raisonnement qui pousse Descartes, dans Méditations Métaphysiques, à considérer l’animal-machine. Ainsi, le rein du chien draine de la même manière que le filtre d’un moteur. Infiniment plus complexe, le corps animal n’est néanmoins, pour Descartes, qu’un assemblage de pièces et de rouages que sont les organes. On peut se référer à cette anecdote concernant Malebranche : ce dernier battait son chien en affirmant que les cris de celui-ci n’étaient que l’effet purement

a évoqué la cas d’un homme qui prenait sa femme pour un chapeau, en raison de l’altération de fonctionnement d’une zone corticale. Or, le cerveau est un organe matériel. On peut donc en déduire que la pensée est un phénomène matériel. On pourrait objecter que la pensée au sens propre du terme est quelque chose de propre à l’homme, et que la réduire à un phénomène matériel se serait ramener l’homme au niveau des autres animaux, et même de la matière inerte. Cependant, Darwin et ses héritiers ont

le mérite. Dans un état commandé par la religion, celle ci servira de base à la morale, tandis que dans un état commandé par l'athéisme on considérera que l'homme n'a point besoin de religion pour déterminer si il agit en bien ou en mal. Ainsi un homme parfaitement respectueux des lois pourra-t-il avoir une attitude immorale au regard de sa religion ou de son groupe social, soit parce qu'il n'agit que dans la peur de la loi, soit parce que les textes de loi ne font jamais référence à la notion de

perd dans l’imitation de l’homme. Charles Le Brun exploite la veine en construisant par étapes le passage de la figure animale au visage humain. Or, dans le cas du singe, nul besoin de distordre des traits naturels qui composent spontanément un masque humain de carnaval. Le singe s’offre naturellement comme point de coïncidence du règne animal et de l’espèce humaine : bien avant Darwin, l’évidence s’impose à la vue, sans concept. La pratique du dressage convainc par ailleurs que le singe est naturellement

physiologique (activité hormonale, désir du corps) Ex : beauté du corps / désir sexuel. Plusieurs amours… -Pour une personne -Un sentiment (Amitié / désir / attirance / passion amoureuse) -Amour maternel (instinct biologique de protection) -Entre un homme et une femme 2) Ensuite, un sentiment pour une personnalité (pour le corps et l’esprit) Ex : les qualités (psychologiques / morales / intellectuelles) 2 cas limites : - La Pure Antiquité - L’Amour Platonique Héloïse

primauté de l’une sur l’autre, dans quelle mesure elles parviennent à une intégration mutuelle. D’après Darwin, dont la théorie de l’évolutionnisme est globalement admise par la science actuelle, de la modeste bactérie initiale à l’homme actuel, la « force » et la sélection qu’elle exerce sont déterminantes dans la propagation de la vie. Et dans la succession des millénaires, le stade animal a précédé l’humanité. De nos lointains ancêtres, n’avons-nous pas hérité dans nos instincts, du besoin de