David Diop Poeme Afrique

6 Deuxième Texte : « La belle Esclave maure », Tristan L’hermite 6 Troisième Texte : « Liberté », Victor Hugo 7 Quatrième Texte : « L’esclave », José-Maria de Heredia 8 Cinquième Texte : « L’esclave », Serge Lama 8 Sixième Texte : « Afrique mon Afrique », David Diop 9 Septième Texte : « Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux », Michel Berger 9 Huitième Texte : « L’esclave », Théophile Gautier 10 Neuvième Texte : « L’esclave », Chateaubriand 11 Dixième Texte : « C’était un très bon nègre », Aimé

Les poètes prennent la force qu'ont les mots pour créer un poème. A certaines époques la poésie servait de bataille et luttait contre la censure. Pendant ces moments difficiles de l'histoire les gens avaient besoin de s'exprimer de faire passer leur sentiment avec la poésie engagée les poèmes servaient d'exutoire pour le poète. J’ai donc choisit 7 poèmes portants et une chanson tous sur l’esclavage et le dénonçant. Voici le premier poème, « Ils m’ont dit » Il a été écrit par François Sengat-kuo

opprimés et des persécutés….. Dans cette anthologie j’ai voulu montrer que la poésie engagé était une part entière du genre littéraire depuis toujours. En effet, déjà au XVI ème siècle, Pierre de Ronsard, dans Le discours des misères de ce temps, poème dénonçant les guerres des religions, utilise la poésie engagée. en exposant à la lumière ces poésies engagées qui, par le vers et le rythme, Partout dans le monde ces mots, qui, dans les courants insondables de l’âme, engendre la tristesse, la douleur

suivant.Ex :Longtemps !toujours !ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir . (Baudelaire) D - Les procédés phonétiques La rime n’est pas le seul élément de musicalité du poème. Il existe d’autres procédés phonétiques qui à l’intérieur du vers ou entre les vers joue pleinement ce rôle.1 - L’allitération C’est la répétition d’une même consonne à l’intérieur des vers.Ex : Pour qui s

réfléchir chacun d'entre nous. *** Le premier poème de cette anthologie s’intitule Une connaissance inutile. Il fait partie du recueil « Auschwitz et aprés » écrit par Charlotte Delbo. Charlotte Delbo est née en 1913 et elle est morte en 1995. Elle était une résistante communiste qui s'est fait arrêter et emmener au camp d'Auschwitz en 1943. Elle évoque dans ce poème la difficulté des survivants à transmettre ce qu'ils ont subi. Ce poème me tient particulièrement à cœur car il est écrit par

noblesse. C’est Pigments (1937) du Guyanais Léon-Gontran Damas, qui signe l’acte de naissance littéraire de ce mouvement. Le troisième chantre de cette négritude est le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, qui utilise pour la première fois le terme dans un poème de son recueil Chants d’ombre (1945) : « Nuit qui fonds toutes mes contradictions, toutes contradictions dans l’unité première de la négritude » . Joignant au refus passionné de l’assimilation culturelle à une volonté de

elle dénonce un fait grave comme dans le poème « Le Déserteur » de Joris VIAN où le poète dénonce la guerre à travers une lettre adressée au président de la république. Ou bien le poème « Afrique » dans lequel l’auteur David DIOP dénonce l’esclavage en Afrique. Les poète s’engage pour nous faire ouvrir les yeux sur le monde qui nous entour ou celui qui touchait nos ancêtre, une réalité dont certaines personnes n’ont pas conscience ! Je ne vous cite que deux poème car citer tout les poèmes qui dénoncent

surnommé le « mal aimé », militaire pour la France, pas de père, mondain, toujours en quête de nouveauté. Créateur de l’esprit nouveau (1917) poète visionnaire et prophète. Poème : poème de fin d’amour inspiré par la rupture avec Marie Laurencin. Le poète il mêle cependant son amour de jeunesse avec Marie Dubois. Ce poème s’inscrit dans la tradition lyrique : évocation de la femme aimée dès le titre. Apollinaire lyrisme moderne avec les thermes de l’amour perdu, l’écoulement du temps, la musique

noblesse. C’est Pigments (1937) du Guyanais Léon-Gontran Damas, qui signe l’acte de naissance littéraire de ce mouvement. Le troisième chantre de cette négritude est le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, qui utilise pour la première fois le terme dans un poème de son recueil Chants d’ombre (1945) : « Nuit qui fonds toutes mes contradictions, toutes contradictions dans l’unité première de ta négritude. » La négritude n’apporte pas d’élément vraiment novateur aux idées qui circulent déjà dans les milieux

négritude-action) qui devrait, dans sa phase d’achèvement, aboutir à la « dé-diabolisation » du négro-africain et à la « défétichisation » de ses valeurs, de ses croyances et de ses pratiques spirituelles. Dans Pigments Léon Gontran Damas écrit le poème « Bientôt », objet de notre hypothèse de réflexion : Bientôt Je n’aurai pas que dansé bientôt je n’aurai pas que chanté bientôt 127 Synergies Pologne n° 6 - 2009 pp. 125-134 Urbain Amoa je n’aurai pas que frotté bientôt je n’aurai pas que trempé