David Ricardo

de capitaux entre les pays. Les échanges internationaux se fondent beaucoup sur la spécialisation. Il existe plusieurs modèles de spécialisation international. A. La théorie des avantages comparatifs La théorie des avantages comparatifs de David Ricardo consiste à ce qu'un pays à un intérêt à se spécialiser dans la (ou les) productions pour laquelle (ou lesquelles il a le meilleur avantage comparatif ou le moins désavantage comparatif. Dans le document 3 on nous parle de la Chine qui fabrique

consécration du principe de la liberté au niveau économique ; liberté qui elle-même se décline en liberté d’entreprise et en droit de propriété. Les théoriciens de référence du libéralisme économique sont entre autre John Stuart Mill, Adam Smith, David Ricardo ou encore Jean Baptiste Say. Les postulats de base de l’économie politique classique sont entre autres le laisser faire, la non interférence, l’existence d’une main invisible telle que théorisée par Adam Smith. Au delà de ces spécificités, l’économie

développement des échanges transfrontaliers va donner la possibilité aux entreprises d’implanter leur fonction de production dans des pays où le facteur travail sera le plus favorable. En effet, la théorie des avantages comparatifs, développée par David Ricardo au XIXème siècle, suppose que : si chaque pays se spécialise dans la production pour laquelle il dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible comparativement à ses partenaires, il accroîtra sa richesse nationale. En suivant cette

nécessairement ses débouchés. Les pessimistes : Malthus (1798) : La population croît beaucoup plus vite que les ressources (rendements décroissants. Aider les pauvres accentue le décalage. Possibilité de crise par excès d'épargne des riches. David Ricardo (« Des principes de l'économie politique et de l'impôt », 1817) : L'économie se dirige vers un état stationnaire avec une baisse du taux de profit. Théorie de la valeur du travail ( la valeur des choses est déterminée par la quantité de travail

richesses augmente avec la spécialisation. Par exemple, la Chine se spécialise dans les productions industrielles, l’Inde dans les productions de services. Cependant, Adam Smith n’évoque pas le cas des pays qui ne disposent d’aucun avantage absolu. David Ricardo (théorie des avantages comparatifs, 1817) indique que même les nations qui ne connaissent aucun avantage absolu doivent se spécialiser dans les productions pour lesquelles elles sont le moins désavantagées par rapport aux autres nations. Là encore

classique qui développe les bases de l’économie que sont : - La main invisible du marché et la division du travail d’Adam Smith - la loi des rendements décroissants et l’avantage comparatif - la loi des débouchés  - Le Salaire naturel de David Ricardo - théorie de la rente de Jean Baptiste Say - la substitution capital/travail de De Sismondi. B)Le courant néo-classique : Au même titre que les classiques, les néo-classique prônent le libéralisme. Éclaté entre des écoles française, anglaise

économique Les économistes libéraux rejettent le mercantilisme, doctrine des XVIe et XVIIe siècles, qui prône le protectionnisme et soumet toute l'activité économique au contrôle de l'État (ex. en France, Colbert). Adam Smith, Thomas Malthus et David Ricardo en Angleterre, Jean-Baptiste Say en France, font l'apologie de la liberté d'entreprendre. Ils affirment que la libre concurrence permet seule l'augmentation de la production et l'amélioration de l'outillage ; la loi de l'offre et de la demande

d’arbitrage. Il expose trois avantages fondamentaux : il favorise la spécialisation, développe les marchés et permet l’ouverture aux techniques. Des économistes, tels que David Ricardo, Adam Smith ou encore le modèle HOS (Heckscher-Ohlin-Samuelson), nous ont démontré que la spécialisation était avantageuse. Selon Ricardo, la spécialisation permettait d’engendrer des gains de productivité. Smith pense la même chose que lui, mais en raisonnant au niveau de l’individu, avec la division international

donné, caractérisé par le seul échange commercial de biens entre pays, et postulant une panoplie d’hypothèses qui n’ont plus lieu d’être dans le contexte actuel, ce qui constitue leur principale limite. 1. Hypothèses : Adam Smith, David Ricardo et, postérieurement, Hecksher, Ohlin et Samuelson (initiateurs du courant néoclassique), ont admis comme données du marché les éléments suivants : • Existence d’une concurrence parfaite, • Rationalité totale des opérateurs économiques

représentations de la société du XVIIè siècle[9]. Il est le premier à imaginer l'économie à un niveau macroéconomique. Les agents économiques ne sont pas considérés comme une somme d'agents individuels, comme dans la théorie classique (Adam Smith, David Ricardo, John Stuart Mill), mais représentent des classes sociales[10]. À ce titre, c'est-à-dire en considérant l'économie dans sa globalité et à l'encontre du postulat classique d'individualisme méthodologique, il est précurseur de la pensée de Karl Marx