DC Comics

Quino, de son vrai nom Joaquín Salvador Lavado est un scénariste et dessinateur d'historieta. Il est né le 17 juillet 1932 (bien que les registres officiels indiquent le 17 août) à Mendoza en Argentine. Fils d'immigrants espagnols (andalous), on l'appelle Quino dès sa naissance à cause de son oncle Joaquín Tejón, peintre et dessinateur publicitaire qui lui fait découvrir sa vocation vers l'âge de trois ans. Il est surtout connu pour être l'auteur de la série de bandes dessinées Mafalda, publiée

bouleverse tout ! Le triomphe est reserv� � ceux qui ont l'Imperium. Tous les magistrats qui ont remport�s des victoires ne peuvent pas en b�n�ficier ! C'est le Princeps. ! La juridiection civiles et criminelle est faite par le Princeps. Les comices centuriates ne peuvent plus voter de loi, ces lois n'�manent que de l'empereur : on est dans un r�gime monarchique. La puissance tribunicienne : auguste contourne l'obstacle de ne pas pouvoir �tre tribun de la pl�be. Au lieu de �a, il prend le

organe qui entérine les décisions que les nobles ont pris (ex convoquer à l’armée) Il y a 3 assemblées (3 façons différentes de réunir le peuple) appelée les comices (= réunion) : - comices curiates - convoquées pour les testaments - recrutées pour investir les consuls et les préteurs de l’imperium - ses membres sont les licteurs - comices tributes - peuple réuni en tribus selon les circonscriptions géographiques du territoire de Rome - chargées d’élire les magistrats inférieurs (ce n’est pas

et décrivez leur mode de fonctionnement. Il faut en premier lieu différencier les comices des conciles. En effet, comme nous l’apprend la citation de Laelius Felix dans le premier extrait de Nuits Attiques d’Aulu Gelle, les conciles ne rassemblent pas l’ensemble du peuple. Les décisions de ces derniers de sont donc pas des lois mais des plébiscites et ceux-ci ne s’appliquent qu’à lui-même, à l’inverse des comices qui décident pour l’ensemble du peuple. Laelius Felix prend l’exemple des Tribuns de

magistrats leurs sont tous subordonnés et leurs obéissent » (l.12). Ils peuvent également convoquer et présider le Sénat (l.13) « eux qui soumettent à la délibération du Sénat les questions urgentes ». De plus, ils peuvent également convoquer les comices centuriates et tributes, c’est-à-dire des assemblées populaires. Ils les ouvrent par ses auspices et les président comme le montre le texte ligne 15-16 « concernant les affaires de l’Etat, qui doivent être traitées par le peuple, c’est [aux consuls]

dessinée s’inspirent de la réalité pour transposer l’ennemi dans la fiction. La naissance des ComicsLes premiers comics sont nés en 1939 avec Superman. Ce sont des pulp magazines où le récit est sous forme de bande dessinée. Durant la Seconde Guerre mondiale, le combat de deux super-héros, la Torche humaine et Captain America contre les nazis, popularise la bande dessinée. L’éditeur Marvel Comics, sous l’impulsion du scénariste Stan Lee, réinvente le genre dans les années 1960, avec la série des Tales

il y aura la création des tribuns de la plèbe, qui instaurera de plus grandes égalité entre les deux parties. Entre 472-471 avant J-C, les comices tributes seront créés pas Voléron. Ce système avait pour but d’élire des magistrats plébéiens devant une assemblée constituée de plébéiens. Les patriciens ne possédaient aucun pouvoir politique sur ce comice. L’assemblée des tribuns de la plèbe se dissout mais décide de rédiger des lois écrite : « les lois des douze tables » En – 453, la création

Comme tout héros représentant l’Amérique digne de ce nom, Captain America porte sur lui les couleurs du drapeau : du rouge, du bleu, des étoiles (sur son torse et sur son bouclier). Son propre nom lui assure aussi le titre d’icône ; Captain AMERICA ce qui montre une fois de plus le symbole de l’Amérique invincible et son bouclier pourrait symboliser les symbole de l'Amérique invincible et son bouclier pourrait symboliser les États-Unis défenseurs du monde. Dans l'histoire de ce héros, les nazis sont

membres du sénat étaient choisis de façon permanente. Ils partageaient leurs pouvoirs avec les comices centuriates qui eux, étaient 100 groupes de 193 personnes. Ils s’occupaient de voter les lois, mais ceci créa une inégalité sociale car ils étaient majoritairement dans la classe sociale la plus riche, donc les pauvres avaient rarement la chance de s’exprimer. Pour mieux répartir le système, les comices tributes étaient divisés géographiquement pour laisser la chance à tout le monde de voter, autant

magistrat Jus census : le droit de propriété Jus sacrorum : le droit de participer aux sacerdoces Jus connubii : le droit de mariage le droit de léguer ses biens à ses héritiers L’exercice du vote se réalise selon le découpage électoral des comices tributes, tout citoyen est donc rattaché à une tribu. L'élection à la questure, première magistrature du cursus honorum, exigeait un cens minimum de 400 000 sesterces. Le jus honorum était donc restreint aux plus riches. De même, seuls les citoyens