De l'autre côté du miroir

croisée : (main, œil et pied ne sont pas latéralisés du même côté) Difficultés de distinction « gauche-droite » Difficultés de prendre des repères pour l'écriture (l'œil et la main ne balaient pas dans le même sens G-D) • La latéralité contrariée : (soit par pression de l'entourage, soit par l'utilisation du matériel, soit par imitation ou conformisme) Écriture des lettres ou des chiffres en miroir (le geste graphique est programmé pour l'autre main) D- Le corps connu : Le corps exprimé Le corps

qu'entrent les gens et l'énergie. Il est donc important qu'elle soit accueillante afin que l'on se sente heureux d'arriver dans cette maison. Aucun miroir ne doit se trouver en face de la porte d'entrée puisque son effet réfléchissant renverrait ailleurs le bon 'chi' s'introduisant dans votre maison. -Dans la cuisine, éviter de placer l'un à côté de l'autre cuisinière et évier. Représentant le feu et l'eau, ils s'opposent. Choisir des placards, des étagères et un plan de travail avec des angles arrondis

que je voulais dire par là que nos rapports avec les autres étaient toujours empoisonnés, que c'étaient toujours des rapports infernaux. Or, c'est autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut-être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont au fond ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître, au fond nous usons

autre. Lacan, dans la conférence du même nom, rappelle précisément cette étape du développement  qu'est le stade du miroir. Durant les premiers temps de la vie, l'enfant ne fait pas l'expérience de son  corps   comme   une   totalité   unifiée,   mais   comme   dispersé,   morcelé.   Dans   cette   angoisse   du  morcèlement, il n'a pas de corps propre. Lorsqu'il se voit dans le miroir, il n'y voit qu'un autre que  lui­même, un autre qu'il va progressivement percevoir, dans un second temps, comme l'image d'un 

sacré , Daniel Lance exprime son opinion sur l’individualité des personnages dans la pièce : « Dans les Bonnes, nous sommes dans l’univers du même, et cela décide du sens de toute la pièce. Par univers du même, nous entendons que l’une et l’autre se ressemblent trop pour se différencier. ». L’« univers du même » représente l’univers des bonnes où l’individualité n’existe pas, et le substantif « cela » permet d’exprimer que cet univers dirige toute l’intrigue et la trame de la pièce de Genet

soumission à l’autre et d’expérimentation de la souffrance à travers celle du corps. Cette relation incestueuse (même si elle n’est jamais dite explicitement, poussant le lecteur à interpréter les moindres gestes de Karl et Lola comme des actes sexuels) se base sur un déséquilibre, sur une manière différente de concevoir une union. En cela, Lola apparaît comme une jeune femme prête à tous les sacrifices pour se donner à l’Autre et plus encore pour devenir l’Autre ! Devenir l’Autre : le rêve absolu

métaphore du tableau de Fernand Khnopff intitulé “Secret-Reflet”. Le tableau se compose en fait de deux œuvres. L'une rectangulaire (“Reflet”), l'autre circulaire (“Secret”); l'une apparentée au monde terrestre, l'autre au monde céleste. La première nous montre une partie de la façade de l'hôpital Saint Jean à Bruges et, surtout, son reflet dans l'eau. Le miroir horizontal fait bien référence au monde terrestre et le reflet à la vision renversée du monde extérieur. Le renversement de vision nous fait

seulement, dans la mesure à la fois très importante et très incomplète où une cloche ressemble à un chaudron. C'est-à-dire les mêmes formes extérieures, la même apparence, mais l’une utilisée uniquement pour répondre aux exigences pratiques de la vie, l’autre seulement pour en dégager la musique. (Julien Gracq, Entretiens, p.146) La matière première du roman est la vie. Sans la vie, le roman ne pourrait exister. Il prend sa source dans le langage mais aussi dans l’expérience de la vie humaine

même patrimoine génétique et la même éducation sont des êtres différents, il met donc en évidence « l'effet de couple : la personnalité se ferme et se transforme dans et par le couple et chacun des partenaires crée ses rôles en fonction des rôles de l'autre. » Est-il vraiment possible pour les jumeaux de définir leur identité individuelle ? Tout d’abord le grand nombre de cas de jumeaux relatés dans la mythologie et la littérature prouvent que l’intérêt porté aux jumeaux a toujours pris place dans

différencie des héros tragiques. * Vers 1273-1278 : évidence de la mort : * Imparfait « était » (l.1273) => sceau du destin, la mort est programmée * Adverbe « ainsi » (l.1273) => valeur conclusive * Indéfini « de tous côté » (l.1273) => destinée tragique * « peine » (l.1274) souligné à la rime montre que pour Clindor, la mort est un châtiment. Le balancement du vers mime la lutte « j’ai repoussé la mort » et la vanité de la lutte humaine « je la reçois pour