Débauche

le pur Coelio et le libertin Octave dans les Caprices de Marianne. Fantasio se réalise en devenant le bouffon du roi dont il a revêtu les habits. Dans Lorenzaccio, c’est Lorenzo lui-même qui se dédouble avec sa face d’idéaliste et sa face de débauché, le crime étant la seule façon de retrouver sa pureté primitive et son unité « Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma vertu ? » dit Lorenzo ; -la trahison de la parole L’amour est, plus que chez tous les romantiques

une surprise à la fois pour Maffio et pour le spectateur. Le choix d’un jardin à minuit au clair de lune, indiqué par les didascalies initiales, est typique des goûts romantiques. La situation se précise dans le dialogue : on comprend que le duc débauche des jeunes filles et que Lorenzo se charge de les lui trouver : « je réponds de la petite », précise-t-il l.10. Ainsi, le duc qui veut satisfaire son désir, est poussé à la fois par sa nature débauchée et par Lorenzo. Lorenzo est un aussi un adjuvant

vivent dans la débauche (attitude de Julien face à Louise), et Alexandre est le meneur de jeu de la débauche. • Réplique 12 : "fier luron". Trois personnages se détachent : • Lorenzo : Réplique 26 : Il est l'âme damnée du duc. Il profane la religion : il est habillé en nonne. Il est appelé Lorenzaccio (péjoratif). Il apparaît comme l'ivrogne (réplique 27). Indice (réplique 27) : Lorenzaccio se mêle à toutes ces débauches mais n'a pas l'air de s'amuser. Il suit et organise les débauches d'Alex, mais

de fêtes et de débauche, elle est très souvent érotisée par un Lorenzo très lucide : « une courtisane », « un mauvais lieu », « une catin » (II, 2). Ces images érotiques très nettement péjoratives assimilent la ville à une femme bafouée, soumise à la tyrannie, corrompue par les excès qu’elle engendre. De ville fleur, elle devient une « fange sans nom », (I, 6) lieu par excellence de la souillure. Elle est un espace de perte des valeurs morales où le travestissement et la débauche sont valorisés.

Florentins appellent Lorenzaccio, en ajoutant à son nom un suffixe marquant le mépris. Incarnant toute la débauche de sa ville, Lorenzo jouera donc un double jeu pendant toute la pièce, celui de « Lorenzino », héros romantique par excellence, empli d'idéaux, et celui de « Lorenzaccio », personnage corrompu et pervers, qui lui collera bientôt à la peau. Mais Lorenzo sous ses airs de débauché et de lâche est aussi un homme d'épée idéaliste, courageux et poétique (comme dans la scène du meurtre du Duc

Musset s'oppose aux règles classiques du théâtre en refusant la règle des trois unités ainsi que celle de bienséance. Nous démontrerons aussi que le personnage de Lorenzo est un héros romantique incarnant le mal du siècle et aspirant à une vie de débauche. Puis nous montrerons en quoi cette œuvre est un récite historique inspiré de faits réels relatés par Benedetto Varchi ainsi que dans un contexte politique fidèle à celui de l'époque. Le théâtre classique est inspiré des règles

vision des choses.Octave,par les conseils de son ami Desgenais se plongera alors dans la débauche dont il se servira comme tentative de guérison.Il se laisse donc ici embarquer dans les tourments de la débauches,le sexe,l’ivresse et l’obsucurité ce qui fait qu’il est sujet a des contradictions. Celle ci causera des ravages dans son esprits tous au long du roman,il se remémorera fréquemment ces moments.Le débauché est un internelle insatisfait remplit de désirs qui n’est jamais assez rasasié.Cela

institue-t-il avec son lecteur au début du recueil ? Composition du passage : 1er mouvement : strophes 1 et 2 ; l’homme est un pécheur 2ème mouvement : strophes 3 et 4 : l’homme est mu par le Diable 3ème mouvement : strophes 5, 6 et 7 : la débauche grouille en nous 4ème mouvement : strophes 8, 9 et 10 : parmi tous nos monstres, le pire est l’Ennui Répartir l’analyse : travaux de groupesLecture linéaire1er mouvement strophes 1 et 2, l’homme est un pécheurcitationanalyseinterprétationLa sottise

connotation de l'acte sexuel et de la débauche est très forte - pour servir ses propres intérêts, il est effrayé de voir que son inconscient, ce masque, ait pris le dessus sur lui-même. Seulement ensuite les personnages féminins dans Lorenzaccio sont assez abstraits, c'est-à-dire qu'ils n'offrent qu'une des visions de la débauche de Florence, par exemple la jeune sœur de Giomo qui est vendue au Duc par sa mère, dont on sait que Lorenzo fera la satire en dénonçant la débauche et la corruption volontaire des

lui-même désacralise la religion et utilise son statut pour parvenir à ses fins dans le commentaire de la marquise Cibo, dans l’acte I, scène 3 : « le clergé sonnerait au besoin toutes ses cloches pour en étouffer le bruit », lorsqu’elle parle de la débauche des seigneurs de Florence. Le clergé n’agit donc pas en phase avec les principes de la religion, il les bafoue et donc ôte le caractère sacré de la religion. Deux visions de la religion, principe sacré par excellence, s’opposent donc très fortement