Débauche

sa carrière./ Regardez ; ce n'est pas une femme travestie qui entre sur la scène, c'est Lorenzaccio lui-même, les gestes, la démarche, le  masque  du chétif et  sombre jeune homme, le verbe calculé, amer et railleur de l'éphèbe dévirilisé par la débauche en qui rugit une âme de lion. Comme il feint la peur devant une épée, le mignon du Médicis ! il pâlit, il se pâme, et, tout à l'heure, dans l'arsenal, contre Scoronconcolo, le fer en main, il poussera le spadassin avec une énergie, une violence,

de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, il écrit sa première pièce de théâtre (seul ce genre littéraire apporte notoriété et beaucoup d'argent) : sa comédie La Nuit Vénitienne est un échec accablant (comédie arrêtée après deux représentations au théâtre de l'Odéon

 Critique de la mise de en scène de Franco Zeffirelli Dans la Florence des Médicis, le duc Alexandre règne sans partage sur la ville. Lorenzo, son cousin, son favori et son compagnon de débauche, s’apprête en secret à l’assassiner. La mort du tyran doit donner le pouvoir aux Républicains, espère-t-il. Il fait part de son projet au premier d’entre eux, Philippe Strozzi. Lorenzo tue Alexandre mais il est tué à son tour sur l’ordre des Huit. Un tyran chasse l’autre : un Médicis succède à un

Florence en 1537. L'Italie est à la mode et le siècle des Médicis et des Borgia fascine. La Florence du XVe siècle et son peuple de marchands permet la satire du de la doctrine économique française de l'époque. Ses politiciens sont corrompus et débauchés, son peuple a l'opinion changeante. Musset critique indirectement la société française de son époque.  Florence est l'emblème de la tyrannie. Assassinats, bannissements ou enlèvements se succèdent. Toute résistance y semble impossible, le peuple

qui vit dans la débauche totale. C’est elle qu’à l’acte II, scène IV voit le spectre de son fils : (l.35) « le spectre s’est assis […] j’ai reconnu mon Lorenzino d’autre fois ». Ce spectre d’autre fois permet au lecteur de voir l’écart entre le jeune Lorenzo et l’actuel. Mais Marie ne connait pas tout de même les vrais plans de son fils de tuer le duc Alexandre de Médicis ; elle n’agit pas comme confidente. Même si elle l’aime elle ne voit que le masque de corruption et débauche sur son fils et

l’instant présent et la jouissance de vivre. On peut ainsi étendre le libertinage jusqu’à désigner, de façon plus floue, des comportements de débauche et de frivolité. Certes, Dom Juan est soumis dans la scène d’exposition à un portrait peu flatteur. En effet, Sganarelle fait de lui une description où il apparaît sous trois aspects essentiels : impie, débauché et grand seigneur scélérat. Sganarelle est d’abord choqué par l’impiété de son maître. Dom Juan n’a ni religion ni superstition, il ne «

vie en véritable bête brute, un pourceau d'Épicure, un vrai Sardanapale » (l.58-61) → langage accumulatif de mots presque synonymes car Sganarelle ne trouvent pas les mots exacts. ___═> Don Juan est un personnage complexe. _____2)__Un débauché. [La débauche est un usage excessif ou/et déréglé de tous les plaisirs des sens, particulièrement de ceux de l'amour et de la table.] l.68 : il n'est pas difficile, il s'adapte. + antithèse « trop chaud » / « trop froid » → « trop » montre les extrêmes

Dieu, il restera ici». I / Lorenzo débauché Lorenzaccio est dans un premier temps le compagnon d'intrigue et de débauche de son cousin Alexandre, le duc de Florence , comme on peut le voir dès le début de la pièce Acte 1 scène 1.Il apparaît comme l'entremetteur du duc. Il fait une assez longue tirade pour parler de la débauche avec la jeune fille de 15ans, Gabrielle. Cette tirade nous fait comprendre à nous lecteurs que c'est un habitué de la débauche. C'est un homme de parole et de vocabulaire

et attirer sa bienveillance par la flagornerie. Une scène de double jeu ( lignes 8- 17) La première phrase a une valeur ironique : M.de G ...M… se réjouit de voir le Chevalier alors qu’il va en être la victime. Le vieux débauché adopte immédiatement une posture de supériorité légèrement méprisante, une sorte de bienveillance paternaliste signifiée par les « deux ou trois petits coups sur la joue ». Ce geste, extrêmement familier, infantilise des Grieux. Il s’accompagne

piano et au saxophone il fera preuve d'une grande aisance d'écriture, se comportant comme un virtuose de la jeune poésie. À 20 ans, sa notoriété littéraire naissante s'accompagne déjà d'une réputation sulfureuse alimentée par son côté dandy et ses débauches répétées dans la société des demi-mondaines parisiennes. A l'age de 22 ans Musset est anéanti par la mort de son père dont il était très proche. Cet évènement va décider de la carrière littéraire que Musset choisit alors d'entamer. Musset tente