Débauche

APRES-MIDI Arrivée: 10h45 Débauche:20h00 poste:serveur poste:serveur Arrivée: 7h00 Débauche: 15h30 poste: valet de poste:plongeur chambres MERCREDI JEUDI VENDREDI SAMEDI Jours de congé Jours de congé Arrivée: 10h45 Débauche:20h00 poste:runner poste:runner/plongeur Arrivée: 10h45 débauche:20h00 poste:runner poste:runner Arrivée: 10h45 Demi journée poste:serveur DIMANCHE Arrivée: 10h45 Débauche:20h00 poste:barman poste:barman

innocent. Son discours le rattache à la tradition des roués, ces libertins cyniques du XVIIIe dont les plus célèbres représentants pourraient être Valmont, Merteuil ou encore Sade : il se présente comme un « connaisseur » dans le domaine de la « débauche », comme un éducateur (« étudier, ensemencer, infiltrer (…) habituer doucement ») capable d'amener l'innocence au vice (« la petite », « une enfant de quinze ans », « une jeune chatte », « proprette », « enfantine »). D'emblée Lorenzo apparaît donc

ville de débauche où règne l’autorité ducale appuyée par les allemands B/ Des personnages variés Des duos : scène1 : le duc /Lorenzo Le Duc 1er à parler ; voc très familier, voire grossier il fait un froid de ts les diables/ il jure : entrailles du pape sacrebleu « c'est en vertu des hallebardes qui se promènent sur la plate-forme qu'un bâtard, une moitié de Médicis, un butor que le ciel avait fait pour être garçon boucher ou valet de charrue » orfèvre Lorenzo à son service, débauché cf 26 décrit

enfermement de 1656. Les marginaux, les pauvres sont concentrés dans des établissements. En 1684, les ordonnances royales donne tout pouvoir de justice et d'enfermement en matière de surveillance des mœurs au lieutenant général de police. Prostitution et débauche deviennent une affaire de police. Au XVIIIe siècle, la répression ne cesse donc d'augmenter. Paradoxalement, la prostitution augmente, comme si cette répression était inutile. Nous pouvons cependant observer une évolution des attitudes envers la

personnifiée. Cette ville est omniprésent est reflétée la vie des hommes avec une rare précision. De plus c’est elle qui renferme tout les vices par lesquels sont touches ses habitants c’est pourquoi l’on peut se demander si justement cette ville de débauche et de corruption ou aucune loi juste ne règne et qui est dominé par les terrifiants Médicis, n’est pas le personnage principale de Lorenzaccio. I- Florence majestueuse cité Italienne a) Florence royale = palais Strozzi+ Médicis b) Richesse

8 : « elle devrait sortir de chez sa mère ». Cette situation s'oppose totalement au caractère romantique du début (on est dans une scène de corruption). C. Les personnages Il y a Giomo : c'est l'écuyer du duc et son compagnon dans ses quêtes de débauché. Il y a une seule réplique, qui est révélatrice. C'est un personnage grossier, sans sensibilité (cf. l'expression ligne 39 « emporter une fille qui est à moitié payée ». Cela accentue la notion de marchandise, aucune nuance d'affectivité. Il y a

existence vient d’être marquée de manière douloureuse et indélébile. Il convient de noter que le jeune Musset a mené jusque-là une adolescence dissipée de dandy. L’étudiant en droit et en médecine, n’a pas lésiné dans ses aventures féminines et ses débauches de table. Très doué, il a abusé de ses facilités et ne supporte pas l’échec. En 1833, Musset a rencontré le grand amour de sa vie, la romancière George Sand, de sept ans son aînée. Leur passion a été tumultueuse, heurtée. Il ne pouvait en aller

chien errant qui n’a pas de chez-soi. Ce dernier ce mets de l’avant en lui indiquant qu’il se trouve pour la première fois avec du monde civilisé, eux qui vivent de leur terre; des sédentaire. 2.3 La ville est présentée comme une incitation à la débauche. 2.3.1 « C’était la première fois que le jeune Provençal buvait de l’alcool. Ses idées se brouillaient et il n’avait guère la tête à lui. Éparpillant les billets de banque, il cria, comme un enragé : la traite! La traite pour tout le monde dans l’hôtel

chair, pour lequel la force représente la valeur privilégiée. C’est un soldat qui ne se sépare pas de sa cotte de maille. Il est cruel : c’est un être impulsif qui est tourné vers le plaisir et le désir de vivre dans l’instant. Il est attiré par la débauche : à travers ses multiples aventures, il ne cherche qu’une seule chose : la satisfaction de ses sens. Il veut exercer son pouvoir sans partage y voyant un moyen de s’enrichir. Son goût du luxe est un goût de barbare uniquement attachés aux apparences

• Lorrenzaccio ACTE II scène 4 • L'acte I s'est attaché à présenter le héros comme un séducteur débauché au service de cousin le duc Alexandre. notamment à travers l'image d'un Lorenzo s'évanouissant à la vue d'une épée, humilié par le duc et ses conseillers. Ce portrait était toutefois ambigue et laissait entrevoir un double visage de Lorenzo. C'est notamment à travers les doutes du Cardinal Cibo que le lecteur pouvait ressentir cela. • L'acte II permet de révéler peu à peu la lutte de Lorenzo