Débauche

anglaise : échange commerciaux (apogée du commerce triangulaire)... pour résumer, le contexte social et culturel de l'Angleterre du XVIIIe siècle. → Hogarth est un artiste engagé dans les combats politiques et sociaux de son temps, il dénonce la débauche, la corruption, la bourgeoisie anglaise, la prostitution, l'alcoolisme...Cela dit, Hogarth dénonce toujours de façon comique sans jamais laisser paraître d'agressivité ou sans jamais tendre vers la caricature pure et simple. → Homme des lumières

Acte II Scène 1 Chez les Strozzi Philippe Strozzi, le père, déplore la déchéance du peuple et regrette la corruption qui gangrène Florence. Il est également attristé par la complaisance de la population face à la débauche. Pierre et Thomas, ses deux fils, apprennent que leur sœur Louise a été insultée par Julien Salviati, l'un des fidèles du duc Alexandre de Médicis. Ils décident, malgré l'opposition de leur père, de la venger. Scène 2 Le portail d'une église Lorenzo est en compagnie du cardinal

quatre ordonnances ou l’abolition de Liberté. Cette même liberté dont est privé le peuple de florence qui voit son Tyran agir de manière arbitraire ; en bannissant les personnes susceptibles de lui faire de l’ombre, ou encore en s’enfonçant dans la débauche et l’asservissement de ses sujets. C’est un premier rapprochement avec l’actualité du 19em siècle et dénonce une première monarchie passée. Ensuite, on observe un rapprochement entre la révolution de juillet et le meurtre d’Alexandre. On voit alors

Des Grieux témoignent ainsi de sa reconnaissance envers la divinité de l’amour, qui a permis, par la suite, que ce couple puisse se retrouver encore et encore malgré tous les événements qui les ont séparés.MANON LESCAUT UNE FEMME DANGEREUSE ET DE DEBAUCHE • « Ne vois-tu pas, ma pauvre chère âme, que, dans l’état où nous sommes réduits, c’est une sotte vertu que la fidélité ? Crois-tu qu’on puisse être bien tendre lorsqu’on manque de pain ? »Cette citation est intéressante

jeu du masque, au sens propre comme au sens figuré, est utilisé d’une façon ou d’une autre, par de nombreux personnages qui cherchent à parvenir à leurs fins. L'action se déroule à Florence en janvier 1537. Le Duc Alexandre de Médicis mène une vie débauche et règne sur la ville par la terreur. Lorenzo de Médicis, son cousin, a pour projet de le tuer et ainsi libérer Florence de ce tyran. Pour arriver à son but, il cache ses intentions. Lors de la première lecture on peut se demander si le masque des

») et la marquise Cibo (conduire Alexandre à quitter la débauche et à redonner à Florence son indépendance et son éclat). Certains auteurs ont vu dans cette conjonction de trois intrigues, une « unité d’ensemble » plus qu’une unité d’action. Les règles de bienséance ne sont pas davantage respectées, non seulement du fait de la mort sur scène de Louise Strozzi (III, 7) et d’Alexandre de Médicis (IV, 11), mais par le spectacle de la débauche qui s’étale dès la scène initiale : Lorenzo vient enlever

quelqu’un de mauvais, quoi qu’il fasse. Il sait pertinemment que tous les gens connaissent sa vie de débauche, et ne comprends pas pourquoi ils ne le détestent pas, ne le fui pas. Cela le déçoit encore plus de l’humanité, il voit que les gens bons sont éclaboussés par les gens mauvais et qu’ils ne cherchent malheureusement pas à les fuir, et que, comme lui l’a était, peuvent être attiré dans la débauche. L. 9 à 17 « Les enfants ne me jettent pas de boue …. Les pères ne … prennent pas … leurs couteaux

et cachée sous le masque de l’hypocrisie. La littérature n’offre que la «désespérance totale» ou, sous les influences anglaise et allemande, un «dégoût morne et silencieux». La vie étudiante s’épuise dans les plaisirs frelatés et l’agitation de la débauche reste le seul dérivatif pour ces enfants du siècle. Enfants, ils le sont doublement: par leur jeunesse et parce que l’époque les a engendrés. Quant au siècle, il vaut à la fois comme moment historique, le XIXe, donc celui de la modernité, fils dégradé

et critique le duc et l’insulte de « bâtard »*. Déguisé en nonne, Lorenzo sort du bal avec Salviati. (Noce des Nasi= famille alliée des Médicis). Salviati provoque Louise Strozzi pour coucher avec elle. Celle-ci s’en va, énervée. Le duc : tyran, débauché et brutal Scène 3 : Chez le marquis de Cibo. La marquise = Ricciarda. Marié depuis sept ans, un enfant de six ans. Le marquis de Cibo part en voyage pour se rendre sur ses terres à la campagne. Les adieux avec la marquise sont remplis de tristesse

maître par le valet Selon Sganarelle son maître est un : impie, débauché et grand seigneur scélérat. un impie : Dom juan n'a ni religion, ni superstition : " il ne croit ni ciel, ni enfer, ni loup-garou". Dom juan est un libertin, il ne connait aucune autorité étrangère supèrieure à celle de la conscience. Il provoque à une époque d'ardente renaissance du catholiscisme. Sganarelle redoute pour son maître un chatiment divin. le débauché : libertinage des moeurs. Un fort désir sexuel, qui l'associe