Débauche

d’Alexandre. Ainsi, à travers la question rhétorique l.5“ Songes-tu que ce meurte, c’est tout ce qui me reste de ma vertu ? “ tout s’éclaire, Lorenzo estime que le meurtre est une manière d'exorciser la débauche en lui. Mais Lorenzo a prit goût a cette vie de débauche et tuer Alexandre c’est tuer la débauche en personne comme l’indique l.8 à 10 “ si je pouvais revenir à la vertu, si mon apprentissage du vice pouvait s’évanouir, j’épargnerais peut-être ce conducteur de boeuf (Alexandre) - mais j’aime le

leur seul revenu et celui-ci leur permet de survivre. Donc, en considérant le code criminel du Canada tel que les articles suivant : * L’article 210 qui rend illégaux les lieux appelés "maisons de débauche" * L’article 211 qui interdit de mener ou de diriger une personne vers une maison de débauche * L’article 212 qui rend illégaux le "proxénétisme" et le fait de "vivre des produits de la prostitution" d’une autre personne; * L’article 213 qui interdit de communiquer dans un lieu public à des

(I, 2) », « le plus fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur », « glissant comme une anguille », « mon entremetteur », « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant », « libertin », « le modèle titré de la débauche florentine », « Double poltron ! fils de catin ! » (I, 4) ; « ce misérable », « cette canaille » (II, 5) ; « traître à la patrie et assassin de son maître » (décret) (V, 2). C’est une image peu positive et peu héroïque de Lorenzo qui se construit

gredin » (I, 2) », « le plus fieffé poltron ! une femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! un rêveur », « glissant comme une anguille », « mon entremetteur », « ce petit corps maigre, ce lendemain d’orgie ambulant », « libertin », « le modèle titré de la débauche florentine », « Double poltron ! fils de catin ! » (I, 4) ; « ce misérable », « cette canaille » (II, 5) ; « traître à la patrie et assassin de son maître » (décret) (V, 2). C’est une image peu positive et peu héroïque de Lorenzo qui se construit

non pas l’amour. Cependant je n’ai pu comprendre tout ceci qu’après avoir rencontré le vrai amour, après une période de débauche totale à savoir le moment où j’ai décidé de casser tout les tabous prés existants au Maroc : cigarette, alcool, drogue, non respect de la pudeur, sexe, enfin tout les interdis m’ouvraient leur portes. J’ai néanmoins su dire non à ce monde de débauche, un monde que beaucoup n’arrivent à quitter ou plus tôt n’aime pas quitter ! Enfin bref j’ai su me reprendre en main à la

tombe dans la débauche. Il prévient les hommes des conséquences de cet acte. Partie 2 : Au réveil, il se dégoute et pense même à se suicider mais Desgenais arrive et lui annonce une nouvelle qui va le transformer : sa maitresse avait de nombreux amants et l’un d’eux lui a fait une scène publique. Le ridicule d’Octave est à son apogée tout comme son désespoir. Il décide de présenter sa conquête et de ne plus faire que se divertir aux côtés de Desgenais. Il décrit ce qu’il voit de la débauche : personne

problématique sera développée dans deux axes. Le premier axe sera la description du portrait de Dom Juan et le second axe sera le portrait de Sganarelle. La tirade de Sganarelle fait le portait de Dom Juan; le maître est décrit comme étant un débauché, irréligieux, et un méchant homme. Dès le commencement de la tirade, Sganarelle traître Dom Juan d’un « pèlerin ». Pèlerin a une connotation religieuse, cela est ironique car Dom Juan est tout sauf religieux, il est rusé et matois. Dom Juan se moque

| |et irritamenta |et des excitants | |luxui |à la débauche | |posita (sunt) veno. |furent mis en vente. | |Stipes

fille c) Un rendez-vous galant non romantique  Il n’y a rien de noble ni de galant dans ce rendez-vous, parce qu’il s’agit d’une préoccupation d’argent. Le climat n’est pas propice au rendez-vous galant et c’est d’avantage un rendez-vous de débauche. Alexandre apparaît peu intéressant, brutal, impulsif « Entrailles du pape », bien qu’il soit le Duc, il est très soucieux de perdre son argent, il est donc avare. Donc si on appelle « Altesse, Monseigneur », sa reputation est enfaite surfaite.

lève, Don Juan à enlevé Done Elvire du couvent, l'a épousé puis abandonné, Sganarelle annonce à Gusman que Don juan ne reviendra jamais vers Done Elvire. Il compose alors un portrait de son maître qui peut se résumer ainsi : grand seigneur, impie et débauché. Cette tirade de Sganarelle est essentielle à plusieurs titres, elle présente l'intrigue au lecteur/spectateur et met en place la question religieuse : · Elle brosse un portrait du héros éponyme, elle permet aussi de découvrir le personnage du valet