Débit de dose

a. Les rayonnements alpha (α) b. Les rayonnements bêta (β) c. Les rayonnements gamma (γ) 3) Les unités de mesure a. Mesure de l'activité radioactive b. Mesure de la dose absorbée c. Mesure de l'effet biologique 4) La radioactivité naturelle 4.1 Les radio-isotopes a. Les radio-isotopes caractérisés par une très longue demi-vie b. Les descendants des

d’épuration ✔ Dégagement de mauvaises odeurs nuisibles pour l’environnement LA COROSION DU RESEAU D’ASSAINISSEMENT Corrosion d’un collecteur ALTÉRATION DU BÉTON : REGARD DE REFOULEMENT-GRAVITAIRE SKHIRAT CORROSION PAR H2S FeS Chute du débit OUVRAGES D’ASSAINISSEMENT ✔ Déversoir d’orage ✔ Station de refoulement ✔ Station de prétraitement LÉGISLATION ACTUELLE SUR L’EAU... Premier texte sur l’eau : Dahir 1er Juillet 1914 Dahirs de 1919 et 1932 Dahir n° 1-95-154 du 16 août

de gravité est toujours clinique et aucun examen complémentaire ne doit retarder la mise en route d'un traitement approprié. Les examens complémentaire ne servent qu'à évaluer le degré de sévérité de la maladie et de son évolution sous traitement. Débit expiratoire de pointe (DEP) ou Peak Flow -Mesure la fonction respiratoire qui permet d'évaluer: L'état de la respiration de base La survenue d'une crise L'évolution de la maladie -A utiliser en surveillance et lors de la survenue d'une crise: DEP

carré (cd/m²) luminance 7 °C Celsius (°C) température 8 C coulomb (C) quantité d'éléctricité, charge électrique 9 C/kg coulomb par kilogramme (C/kg) exposition à un rayonnement X 10 F farad (F) capacité éléctrique 11 g gramme (g) masse 12 Gy gray (Gy) dose absorbée 13 Hz hertz (Hz) fréquence 14 J joule (J) travail, énergie, quantité de chaleur 15 J/K joule par kelvin (J/K) capacité thermique, entropie 16 J/m² joule par mètre carré (J/m²) résilience 17 J/mol joule par mole (J/mol) potentiel chimique 18

(épistaxis, gingivorragies, hématome, hématurie..) en présence de facteurs de risques associés Signes para cliniques thrombocytopénie Particularités Précautions Pas d’injection intramusculaire Neutralisation par le sulfate de protamine (dose pour dose) anticoagulant Nom de spécialité* Coumadine* sintrom* previscan* pindione* D.C.I + noter si stupéfiants Classe (groupe ou famille si besoin) Anti vitamine K Mode d’action La vit K est issue de l’alimentation et

mg 5 mg / 5 ml A : 1mg IVD puis 3 mg IVD toutes les 3 ACR : peut être administré en intra trachéal min en multipliant les doses par 3 (en attente de E : 10 µg / kg IVD toutes les 3 min, VVP) maximum 100 µg / kg 0,5 mg / h puis multiplier par 2 la dose initiale toutes les 5 min ANEXATE Flumazenil Antagonistes des Benzodiazépines 0,5 mg / 5 ml Intoxication aux benzodiazépines Pur 1ml = 0,1 mg 0,2 mg IVL à renouveler si besoin indiqué uniquement dans les intoxications aux BZP pures Eviter dans

mental, anomalies des articulation * Syndrôme alcoolique foetal (FAS) * Malformations typiques pas toujours présentes mais retard mental, difficultés d’apprentissage, troubles de l’attention * Alcool contre-indiqué même à faible dose!!! * Antiépileptiques : * Acide valproïqueet valproate(Depakine) * Carbamazépine(Tegretol) * Oxcarbazépine(Trileptal) * Risque d’anomalies de fermeture du tube neural * Administration d’acide folique 2

la répartition de la dose dans le plan de coupe : le CTDI (Computed Tomography Dose Index) montre une répartition relativement homogène dans le plan de coupe, entre la surface et le centre, de l'ordre de 1 à 5 cGy, en moyenne, un peu plus en scanographie cérébrale qu'abdominale. Cette dose est proportionnelle au débit du tube RX : les machines récentes donnent la possibilité de diminuer l'intensité pour certaines techniques (poumon, sinus), la dose est diminuée d'autant. La dose augmente dans les coupes

couvrir l’acquisition, pour éviter de faire plusieurs acquisitions nous faisons une injection bi phasique : * Une première qui consiste à une imprégnation par une faible quantité de produit de contraste injecte à faible débit injecte à faible débit injecte à faible débit (1 ml/s) souvent 40 ml * Une deuxième phase qui consiste en une injection classique décrite ci-dessus Cette injection bi phasique permet d’avoir lors de la même acquisition une opacification correcte des vaisseaux pulmonaires

utilisés dans le traitement de 28 Vol. 15 No. 5 2004 Fortbildung / Formation continue DCI Nifédipine po ou sublingual Nitroprussiate Na iv Labétalol iv Posologie pédiatrique b) 0.25–0.5 mg/kg/dose (max 10 mg/dose)2), 3) 0.3–8 µg/kg/min2), 3) 0.2–1 mg/kg/dose en iv lent (max 20 mg/dose) chaque 10 min, ou 0.4–3 mg/kg/heure en iv continu2), 3) Posologie adulte1) 10 mg/dose1) 0.3 à 8 µg/kg/min2), 3) 20–50 mg en iv lent, à répéter évent. 3x chaque 10 min1), 2) Spécialitésc) Nifédipine