Decolonisation Du Cameroun

vaste diffusion, l’auteur concentre sa recherche sur les langues tribales menacées d’extinction. En allant sur le terrain, il a rédigé six monographies sur autant de langues, comme par exemple le «mboum» et le «ticar» qui se situent au centre du Cameroun, le «comox» de l’extrême ouest du Canada et du nord-ouest des Etats-Unis (langue amérindienne), et également le dialecte du «Sichuan» présent au sud-ouest de la Chine. Toutes ces langues menacées d’extinction pour diverses raisons sont extrêmement

au Zimbabwe ; ils achètent d’énormes quantités de bois au Gabon, au Cameroun, au Mozambique, en Guinée équatoriale et au Libéria, ainsi que l’acier, l’or, le charbon, le nickel dans tous les pays de cette zone qui en détiennent ou en produisent. L’Angola fournit la moitié du pétrole importé d’Afrique par Pékin. On voit ainsi une reproduction des erreurs ayant entrainées le déclin de l'Afrique au 20e siècle après la décolonisation : Pékin traite avec des régimes totalitaires qui bien souvent ne redistribuent

qu’à l’ensemble des combats menés par la France Libre, intervenant notamment au Gabon (1940), à Bir Hakeim (1942) ou encore débarquant en Provence avec la 1re armée (1944). Des tirailleurs interviennent également lors des deux grands conflits de décolonisation, en Indochine (1945-1954) et en Algérie (1954-1962). Les régiments de tirailleurs sénégalais sont transformés en régiments d’infanterie de marine en 1958 avant d’être définitivement supprimés entre 1960 et 1962. Musée des troupes de marine

d’interposition entre les Etats belligérants ou à l’intérieur des Etats : Egypte-Israël (1956à1967), la MONUCI (Côte d’Ivoire), la MONUC en RDC sont des exemples à retenir parmi tant d’autres. La Cour Internationale de Justice a tranché en faveur du Cameroun la question de la Bande de BAKASI qui l’opposait au Nigéria. b) Dans le cadre économique : Le rôle de l’ONU est aussi grandiose car les institutions spécialisées sont au centre du développement économique : l’Organisation des Nations Unies

bois……………………………………………………………………..80 Le droit de silence de l’administration…………………………………………....81 CONCLUSION GENERALE…………………………………………………………84 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES………………………………………………86 ANNEXES 6 Introduction générale La réputation d’« Etat forestier 1» affublée au Cameroun n’est pas anecdotique mais bien un fait tangible. Couvert par seize millions d’hectares de forêt dense et productive, et ce malgré une zone septentrionale sahélienne, presque désertique, marquée par la steppe et la savane, le pays reste incontestablement

à la décolonisation (Angola, Zimbabwe, Namibie et Sahara) ; 2) les problèmes liés à la consolidation de l’État-Nation après l’indépendance (Shaba, Ogaden, Angola, Tchad) ; 3) les conflits entre mouvements de libération nationale rivaux (le FNLA et l’Unità en Angola, divers mouvements au Tchad) ; 4) les litiges frontaliers nés de l’identification d’un territoire mal défini comme la querelle entre le Bénin et le Niger relative à l’île Lété, entre le Mali et le Burkina Faso, entre le Cameroun et le

territoriaux (possession des îles pose un problème avec les ressources de la mer par la même occasion ; Congrès de Berlin : frontières tracées à la règle en Afrique ; Cameroun / Nigeria : presqu’île de Bacassi a été l’enjeu des deux pays, mais ça a surtout été la mer avec le pétrole dans le fond. Finalement, elle revient au Cameroun ; mouvements de résistance assez forts au Nigéria ; problème de frontière entre l’Ethiopie et l’Érythrée –ancien territoire appartement à l’Ethiopie). 1962 : arrêt de

par chacun des ouvriers séparément. Ces avantages de la spécialisation ont un rôle remarquable dans toute l’économie mondiale, aussi bien à l’intérieur d’une usine qu’au niveau d’un pays, d’une zone géographique ou du monde entier. Suite à la décolonisation, les PVD se spécialisent dans : * Exportation des produits primaires de première transformation à faible valeur ajoutée et dont les prix baissent. * Importation des produits manufacturés à forte valeur ajoutée et dont les prix s’accroissent

des actions initiées par la CEEAC depuis sa relance en 1998. Ce texte est le premier d’une série de rapports qui analyseront la dimension régionale de l’insécurité en Afrique et les réponses collectives et individuelles qui y sont apportées. Le Cameroun, la Centrafrique, le Congo-Brazzaville, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad. 2 L’Angola, le Burundi, le Rwanda (qui s’est retiré depuis lors), la République démocratique du Congo et Sao Tomé-etPrincipe. 1 Mettre en œuvre l’architecture

d'administration coloniale consacré par la communauté internationale, c'est-à-dire par la Société des Nations (SDN). C'était le cas jusqu'à la Première Guerre mondiale, les colonies allemandes ou les possessions de l'Empire ottoman avec le Togo, le Cameroun, en Afrique de l'Ouest et Centrale, ou encore la Syrie et l'actuel Liban. Dans l'entre-deux-guerres, la France continue – héritage de l'Ancien Régime – de posséder des comptoirs, des implantations commerciales, notamment en Inde. Les Français pratiquent