Decor Inquiétant

essaye de les influencer à croire que la logique est ce qu'il y a de mieux. p.81 à p.88 (texte du Logicien) Ça logique a fait que lui aussi c'est conformé aux rhinocéros en devenant l'un des leurs. 3. Le décor : analysez le décor (description et analyse de la symbolique de celui-ci) Le décor a l'air trop réel, comme si l’événement produit se passait réellement dans le lieux décrit. Tout est très détaillé, on se croirait dans un roman en fait. De plus, la mise en situation se trouve dans l'explication

de l'espace et de la représentation humaine. La fresque dite Adam et Eve chassés du paradis témoigne de cette révolution. Cette fresque de 208x88cm réalisée par Masacio en 1425-26 se trouve dans la chapelle de Brancacci à Florence dont le décor à été comandé en 1424. C'est Masolino qui commence le cycle puis Masacio le rejoind au cours de la première année. Mais les deux hommes n'échéveront pas le cycle de la chapelle car ils vont partir à Rome en 1425, puis Masaccio va mourir et

toutes les femmes désirées, pour toutes les femmes envoûtantes (reine = magnificence et autorité + sirène = séduction magique de la voix mais trahison – cf. l’épisode d’Ulysse – montrer l’importance de la rime) [DEUXIEME AXE : LE DECOR MODERNE D’UNE ERRANCE] Le décor urbain : indices de lieux concrets (« Paris » x3), les balcons, les cours grises, les cafés. L’évidence de la ville : La « folie des machines » (v.15) fait écho au « délire » lyrique (v.3) comme si Apollinaire trouvait une ressemblance

habits, …) comme nous le montre la pièce de Montherlant, La Reine morte, la dernière pièce est entièrement muette pleine de geste solennels. De plus, les textes ne sont pas suffisants pour représenter une pièce dans son ensemble. Il manque le décor qui est indispensable pour situer le lieu de l’action comme par exemple de temple romain dans la scène final de Don Juan. De plus les costumes nous montre dès le premier abord son caractère et ses ambitions comme Arlequin qui est habillé de façon très

Sully ) et de l’aile Lemercier. Son dernier étage décoré de puissantes cariatides domine l’ensemble du Louvre avec ses hautes toitures ( il servira de modèle aux autres pavillons du palais). Sublet de Noyers (surintendant des bâtiments), relance le chantier. Il fait appel a Poussin afin de décorer la Grnde Galerie . Sublet de Noyers, nommé surintendant des bâtiments en 1638, relance le chantier qui languit. Il fait appel à Poussin pour décorer la Grande Galerie. Celui-ci vient à Paris en 1641-1642

accumulation des éléments horribles (reflet verdâtre s’épaississait des buées, table tachée de vin et de sauce, débâcle du couvercle, assiettes sales). Nous avons une métaphore de la débâcle qui désigne un désordre comme la défaite d’une armée. Nous avons un décor démoralisant, dégradant, insalubre, impropre. PARTIE 2 :

marbre. Il est ouvert et sans toit. Il peut accueillir jusqu’à 7000 spectateurs. Pourquoi un lieu naturel ?? Car pour les interprètes, il était opportun d’utiliser les arbres et surtout les couchers de soleil car la lumière était utilisée comme décor naturel. ⇨ le théâtre Grec influence le théâtre romain. Theatron : « l’endroit où l’on voit », c’est un espace circulaire où l’on peut accueillir 27000 places comme par exemple l’amphithéâtre de Pompéi. Auditorium : « l’endroit où l’on

surtout chez les adolescents. Dans cet art qui fait partie de la littérature, l’élément principal est le texte. En effet il est agréable d’avoir à disposition le texte d’une œuvre, alors que lors d’une représentation celui-ci est rapporté par le décor et le jeu des acteurs. Certaines œuvres possèdent une richesse qu’on ne peut pas forcément saisir lors d’une représentation. Je prends l’exemple de Britannicus de Jean Racine, le livre permet d’apprécier le talent de l’auteur : telles que la construction

étrange, avec leur troublante banalité. Des décors anonymes urbains et muet souvent désert souvent rendu à leur étrangeté première : pour la première fois semble t-il nous les voyons ; Les photographies rendent le lecteur sensible aux virtualités du décor urbain, des appels pour l’imaginaire, la surréalité ne se situe alors pas au-delà de la réalité, elle est la réalité même dans son évidence.

Solange, idéal pour Delphine et Maxence (il reste idéal jusqu’au dernier plan, dont la fermeture à l’iris loge un « peut-être » dans une ellipse). Chez Demy, « c’est le décor qui remplace la situation, et le chassé-croisé qui remplace l’action », écrit Gilles Deleuze dans L’Image-temps (Minuit, 1985). Dans Les Demoiselles, le décor central, le café Garnier, fonctionne comme un lieu centrifuge. Seule Yvonne s’y dit « séquestrée », « clouée » : ouvert à tout vent avec ses côtés cour et jardin qui