Decor Inquiétant

d’une certaine austérité. Elmire : une femme bourgeoise et coquette (un peu moins nettement cependant dans la mise en scène de J. P. Vincent (image 3) DECOR : Image 2 : décor baroque, en mouvement. Une sculpture équestre, à demi-voilée (Louis XIV, sans doute, pouvoir pour le moment aveugle, ou que l’on met à distance). Image 3 : un décor apparemment dépouillé, un lieu de prière ? Image 4 : un intérieur de toute évidence bourgeois (milieu du 20ème siècle) PERSONNAGES EN SCENE : Posture et

Les 400 coups est un film réalisé par François Truffaut en 1959, en noir et blanc. Le film a eut un grand succès dans la ville de Paris. Pas étonnant puisque Paris est le décor principale du film. Pour François Truffeau, rendre hommage à cette ville était un point capitale pour le film. Les grands ensembles, comme dans la scène du cours de sport, la course à travers la ville, et les longs travelings du générique le prouvent. De plus, le monument le plus important de la capitale, la Tour Eiffel

; ce qui correspont à l'auteur de la lettre, dans le livre. De plus, ces cadrages fait à la va vite et l'importance du hors champ permettent d'insister sur l'objectivité des personnages, et leurs constantes dissimulations. En effet, on ne voit le décor qu'à travers leur regard, c'est à dire ce qu'ils veulent bien nous montrer. D'autre part, Frears doit inventer, ou tout du moins détailler, des lieux peut présent dans l'oeuvre. Ainsi, la chapelle et l'opéra sont ajoutés dans le film, permettant des

superposition de la danse et des images virtuelles La scénographie est composée sur une idée de superposition: Les images sont projetées « […] sur une grande toile de fond transparente tendue entre le public et la scène mais aussi sur le fond de décor[11] ». Il est intéressant de noter que cette séparation entre les spectateurs et la scène est impossible à déceler dans la captation vidéo de Charles Atlas et n’a été connue que par des apports bibliographiques . Etudier l’impact d’un tel dispositif

comédie en prose d’Angelo Beolco qui est la Commedia dell'arte. Ce genre a inspiré de nombreux auteurs tel que Molière.-une liberté au niveau des personnages et du décor (ex : on ne badine pas avec l’amour le cœur n’est joué que par un seul personnage, alors que l’on pourrait s’imaginer qu’il y en a plusieurs. En ce qui concerne le décor également, il y a pour décors un pont mis de tout les points de vues possible au fil de la pièce.)-Au niveau des didascalies, il faut les respecter, certes, mais

personnel, ce qu’il va suivre n’a en aucun cas pour but la vengeance personnel ni le dénigrement puéril, cela est juste mon explication d’ un différend avec un membre du corps enseignant. Les faits : mon équipe et moi étions chargés de réalisés un décor pour une représentation théâtrale ayant pour thème : dénoncer une injustice. Notre thème était la peine de mort. J’avais donc imaginé une maquette représentant une guillotine qui nécessita 3 heures de travail et de volonté. Le jour de la représentation

spectacle érotique serait donc une sorte de terreur délicieuse provoquant à la fois l’idée du sexe et de sa conjuration. La vérité, c’est que ce n’est pas tant la femme elle-même qui attire l’œil humain (masculin diront certains), mais plutôt le décor, le costume, les artifices du spectacle, comme dans un  ballet de music-hall. Ces décors enlèvent une grande part de l’aspect « provocation »  du spectacle. Le spectateur n’aura pas ce sentiment d’être un voyeur. En effet on va plonger l’individu dans

procède par juxtaposition progressive souligne l'aspect hétéroclite du décor : baromètre, gravures, poêle. L'énumération met en lumière la profusion de vieilleries dégradée par la rhétorique utilisée à savoir les subordonnées relatives « qui sort quand il pleut où la poussière se combine avec l'huile quand le bois se carbonise ». Les subordonnées faussement explicatives sont en fait destinées à dénigrer les objets du décor. 3) Le traitement hyperbolique Il s'amorce avec la personnification alliée

acteurs, l’histoire est mieux comprise , ils font transmettre des émotions , des sentiments que la lecture ne transmet pas . Les habits des acteurs permettent de mieux cerner l’époque, leurs niveaux sociaux , qui ils sont. Les accessoires , et le décor permettent aussi de cerner l’époque. Le jeu des acteurs permet de ne pas avoir a réfléchir sur la situation dont ils se trouvent contrairement à la lecture. Les expressions du visages des acteurs peuvent aussi transmettre au public les émotions qu’ils

costumes b) Jeu et choix des acteurs II) Du texte théâtral en lui-même a) Le sens du texte b) Interprétation du texte avec ou sans didascalies III) du contexte a) Le décor b) l’époque de la mise en scène L’INTERPRETATION DU CONTEXTE : Le décor : La mise en scène d’une œuvre théâtrale d’interpréter le décor, selon différentes mise en scène les décors peuvent être totalement différents, comme nous pouvons le voir avec la pièce « les Bonnes », avec les mises en scènes d’ Ivan Romeuf