Decrire Un Lieu Triste

chantent des œuvres engagées par le biais desquelles ils défendent leurs idées. Ils cherchent ainsi à plaider pour une cause qui leur semble juste et légitime, ou au contraire à critiquer des idéologies, des sentiments ou des actes qui selon eux n’ont pas lieu d’être tout comme Voltaire qui le fait habillement dans le texte « Guerre » extrait du dictionnaire philosophique. Dans une première partie, nous allons étudier quelles armes utilisent Voltaire pour dénoncer la guerre puis dans une seconde partie,

des rendez-vous. Il voudrait bien argumenter, car il sent la mauvaise foi de Jean (c'est juste, pourtant...) mais il ne peut pas. Ses phrases brèves, hésitantes, entrecoupées de points de suspension en font un personnage manquant d'envergure, d'une triste banalité. Il ne fait pas le poids face à Jean. Il semble timide, il ne sait pas se défendre, il est pitoyable. [Bilan partiel] Pour le moment, ces deux personnages sont aussi antipathiques l'un que l'autre, le spectateur réserve son jugement. L'un

littéraire. Il informe, intéresse et noue le pacte de lecture. Il sert à présenter, annoncer, décrire le caractère du personnage, le physique et le lieu où il se trouve. Il a également pour fonction d'accrocher le lecteur. Il remplit sa fonction de présentation du personnage, sa fonction de description est-elle limitée car ne nous connaissons pas l'aspect physique de Jean Dézert. Nous ne savons pas non plus le lieu principal de l'action dans cet extrait. L'incipit doit aussi renseigner sur l'intrigue,

la solitude dans la nature, qui se fait confidente de ses tourments, de son amour. II- La recherche de la Nature Le premier mouvement de l’amoureux serait donc de rechercher l’apaisement des lieux sauvages afin d’échapper à la société. Un lieu qui est dans la confidence des choses muettes et qui aboutit donc à une sorte de dialogue avec celui-ci. L’adjectif « pensif » renvoie à cette échange que le poète entretien avec la nature, et l’adjectif verbal « plaisant » exprime un état d’agrément

cœur parle à une flamme renversée”. Une flamme se consume, détruit en brillant, lentement mais consciencieusement. Une flamme renversée donne naissance à quelque chose, elle est source de création, fait apparaître ce qui n’existait pas. Le cœur est lieu de la sensibilité par excellence, il crée un pont, un lien entre le réel et l’imaginaire, la réalité de son cœur palpitant, et l’imaginaire de la flamme créatrice. Ce premier calligramme est une figure pour comprendre le fonctionnement d’Apollinaire

des relations et correspondances amoureuses? I L’exotisme farde l’amour souffrant Une souffrance exportée et rendue fascinante Le décor grandiose de la scène d’exposition : «les cent portes», «ornements précieux», «lames d’or» (lettre I) pour décrire la richesse du temple du Soleil. Aussi Zilia parle des «trésors de l’Amour» (lettre II), l’Amour avec un grand A, comme le Soleil avec un grand S. L’utopie […] La naïveté du regard L’ingénuité de Zilia est stylistiquement soulignée par des périphrases

vie,Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeurDu sang que nous perdons croît et se fortifie ! Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) Analyse du poème : l'Ennemi de Charles Baudelaire. Premières impressions : Le poème est assez triste, j'ai l'impression qu'il raconte sa vie via un champ lexical sur la nature. Matérialité du texte : 4 strophes 2 quatrains Disposition de type croisée (ABAB CDCD) 2 tercets Disposition de type suivie et ensuite

un peu la suite du poème « Zone » où on peut voir comment le poète est, son passé. Dans ce poème, il évoque l’automne et donc la saison des vendanges comme dans la strophe 5 avec «vigne» où il compare Paris a une vigne où de nombreuses vendanges ont lieu. Apollinaire trouve cette saison très belle car le vin est comme sa création poétique un produit. « Ecoutez mes chants d’universelle ivrognerie » il amène le lecteur sur le côté dionysiaque de l’œuvre montrant la maîtrise qu’il a et la sagesse de Dionysos

que tout le monde puisse bien voir ou se situe la scierie (il utilise même une métaphore pour designer un virage serré avec «dans l'épingle à cheveux »). Le lecteur attend donc la suite car les informations bien que très précise en ce qui consiste du lieu restent quand même assez floues et très imprécises surtout en ce qui concerne les personnages. Et puis, on abandonne le personnage de Frédéric pour un arbre, un hêtre, et c'est lui qu'on décrit (et non pas Frédéric le personnage réel de l'incipit

de l’adjectif « Romantik en allemand où il est question de retrouver le génie des anciens peuples romans. Le terme de « Romantique » prend alors en France tout son sens grâce à l’ouvrage « De l’Allemagne » de Madame de Staël qui est la première à décrire ce mouvement.  Socialement, les premiers romantiques français sont nobles : Chateaubriand, Lamartine, Vigny ou encore Musset. Ils semblent passéistes, souvent catholiques, en quête désespérée de valeurs nouvelles. Politiquement, ils sont souvent