Decrire Un Oiseau

faite automatiquement. Rosch découvre l’effet de prototypie des catégories : l’appartenance d’un élément à une catégorie donnée est déterminée par sa proximité avec un exemplaire prototypique : le mot oiseau est difficilement séparable de la catégorie oiseau. La catégorisation sert à décrire les relations entre les objets. L’aspect sémantique du langage décrit la relation entre les mots et les objets saisie dans le contexte d’une situation de discours donnée. Cadiot et Nemo proposent un modèle

champ lexical de l’enfance ajoute encore à ce décor : « petite » (l.73), « mignonne » (l.76), « pompons » (l.74), « poupée » (l.77)… Même le personnage de la jeune femme, « moitié oiseau, moitié poupée » (l.76 et 77), évoque les contes célèbres de notre enfance. L’énumération à la ligne 94, pourtant destinée à décrire un enterrement, relève du merveilleux : « Cloches à toute volée, lourds carrosses tendus de noir, chevaux empanachés, larmes d’argent dans le velours ». L’évocation fréquente de textures

de la contemplation de ces rayons que naît ce qui est le plus précieux pour lui (suggéré par la mention de l’« or ») : son poème. La nature devient alors une inspiratrice de « rêves ». Les éléments visuels sont un tremplin vers la poésie. • Pour décrire la réalité banale de la boue – qui sollicite les sens de la vue et du toucher – et notamment rendre compte de sa consistance « collante », Ponge invente une triple comparaison, qui donne vie à la boue, la personnifie, puis la compare à des outils

Dans le texte "Solitude infantile", il parle de son enfance, passée en solitude dans la tour de la propriété familiale. C’est une littérature personnelle, subjective (le cult du "moi") et autobiographique, typique du romantisme. Il commence par décrire l’endroit, ce qu’il voyait et ce qu’il entendait. Sa fenêtre donnait sur la cour intérieure où, le jour, il voyait des merles et de la végétation (fougères et pruniers). Les hirondelles étaient ses seuls compagnons : la nature comme consolation et

d’eux (plantes et animaux par exemple) ou se méfier d’eux. Krause illustre ce propos en écrivant : « Parmi les plantes et les animaux, l’Indien ne nomme que les espèces utiles ou nuisibles : les autres sont classées indistinctement comme oiseau, mauvais herbe, etc… », tandis que d’autres comme Handy disent que l’indigène nomme et conçoit uniquement en fonction de ses besoins, ce qui explique probablement la facilité avec laquelle les peuples dis « civilisés » se permettent aujourd’hui de

d'arriver à la conclusion que le registre est un registre lyrique. Marceline, dans ce poème, se retrouve dans un profond chagrin contrairement à son ami qui est plutôt dans la légèreté, en effet on peut retrouver et une comparaison entre lui et un oiseau dans le vers 7. Elle souffrait à cause d'un chagrin d'amour tandis que son ami se moquait car il ne souciait guère de l’amour. Il est décrit comme étant le plus joyeux des 2 avec son insouciance pour tout. Mais son ami lui en veut quand même d'être

|La semaine |L’Automne |Objectifs |Moyens d’apprentissage: | |2–6 Octobre |Vocabulaire | Noms: arbre, feuille, oiseau, pluie, fleur|- posibilitatea de a descrie|- imagini | | | |Vetements: pull, pantalon, manteau |vremea |- dialoguri |

réaction de dépassement, de progression positive, de volonté de sortir d’une impasse. On se met à l’abri sans proposer une solution de rechange autre que le refus systématique. Ainsi, au Moyen-âge, se réfugiait-on dans un château-fort… N’est-ce pas décrire de manière inattendue le propos d’un athéisme qui nie définitivement « l’existence de Dieu » ? On rejette avec véhémence le créateur, l’explication ultime de tout ce qui est, ou vit. On refuse de s’inféoder à une religion qui enserre dans ses griffes

à la forme musicale homonyme apparue à la même époque, le rondeau. Le temps a laissé son manteau Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau, Qu'en son jargon ne chante ou crie : Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie. Rivière, fontaine et ruisseau Portent en livrée jolie, Gouttes d'argent, d'orfèvrerie, Chacun s'habille de nouveau Le temps a laissé

qui vous ont plu. Pourquoi ? J’ai beaucoup aimé « Villes », page 34, car sa vision personnelle des villes est étonnante et captivante, avec des comparaisons amusantes ; de plus, on se projette avec facilité dans ces « villes » grâce à sa manière de décrire ce qu’il a vu. Rimbaud y aborde également des références à la mythologie, thème qui me fait rêver. J’ai retenu aussi « Départ », page 22, car Rimbaud donne les raisons de son départ vers une nouvelle vie avec peu de mots mais des principes intéressants