Decrire Un Oiseau

champ lexical de l’enfance ajoute encore à ce décor : « petite » (l.73), « mignonne » (l.76), « pompons » (l.74), « poupée » (l.77)… Même le personnage de la jeune femme, « moitié oiseau, moitié poupée » (l.76 et 77), évoque les contes célèbres de notre enfance. L’énumération à la ligne 94, pourtant destinée à décrire un enterrement, relève du merveilleux : « Cloches à toute volée, lourds carrosses tendus de noir, chevaux empanachés, larmes d’argent dans le velours ». L’évocation fréquente de

L'histoire[modifier | modifier le code] Pierre, un jeune garçon, vit dans la campagne russe avec son grand-père. Un jour, il laisse la porte du jardin ouverte : un canard profite de l'occasion pour aller nager sur la mare toute proche. Il se querelle avec un oiseau. À ce moment, un chat s'approche ; l'oiseau, alerté par Pierre, s'envole pour se réfugier dans un arbre. Le grand-père de Pierre ramène le garçon à la maison en bougonnant et referme la porte, car le loup pourrait surgir : de fait, le voici bientôt

« Et dire qu'elle est morte! hélas! que Dieu m'assiste !
 » ceci ramène le poète à la réalité du présent, présent auquel sa fille n'appartient désormais plus. Pour décrire le passage sa fille, V. Hugo emploie un champ lexical lié à l’enfance qui connote à l’insouciance et à l’innocence « dérangeait mes papiers »  « riait » « oiseau qui passe » « arabesque folle » « clarté de son âme ». Léopoldine est ici représentée comme la muse, l’égérie de son père « Et mainte page blanche entre ses mains froissée


Moi Tituba sorcière, Maryse Condé aborde ce problème à travers son personnage principale Tituba, accusée de pratiquer de la sorcellerie. Son art comme elle aime à l’appelé lui a été transmis par la vieille Man Yaya : « Elle m’apprit à me changer en oiseau sur la branche, en insecte dans l’herbe sèche, en grenouille coassant dans la boue de la rivière Ormonde quand je voulais me délasser de la forme que j’avais reçue à la naissance. Elle m’apprit surtout les sacrifices. ». La vieille femme la recueille

sélectionnées par le milieu Activité 1 : la phalène du bouleau La phalène du bouleau (Biston betularia) est un papillon de nuit. Le jour, ce papillon se pose sur les troncs d’arbres et les roches, et se fige ainsi pour survivre en évitant d'être repéré par un oiseau prédateur. Ces phalènes sont caractéristiques des forêts entourant la ville de Manchester en Angleterre. Il existe deux sous-espèces de Biston betularia, se différenciant l'une de l'autre par un caractère héréditaire (se transmettant de génération

animaux et leurs interprétations John Steinbeck insiste beaucoup sur les animaux, dans les chapitres 1 et 6 nous en rencontrons plusieurs ; il y a : lapins (p.27), chiens et héron (p.28), souris (p.33), serpent (p .35), carpe et tourterelle (p.39), oiseau (p.165) et vache (p.172). Mais Steinbeck ne fait pas qu’insister sur ses animaux, il les compare à Lennie avec des comparaisons. Ce dernier se fait comparer à un ours « comme un ours traine les pattes » (p.29) et « furtif comme un ours qui rampe »

copier un texte sans erreur - utiliser les principales règles orthographiques - lire à haute voix, de façon expressive, un texte en vers - dire de mémoire des textes patrimoniaux. - inventer et réaliser des textes à visée artistique - décrire des œuvres d’art préalablement étudiées — © Cned, Français 5e232 1 — Séquence 6séance Séance 1

plus en plus à connaitre les causes des evennement naturels, etc … Au contraire, les symbolistes expriment leurs idées, leurs sentiments et leurs valeurs au moyen de symboles plutôt que de déclarations explicites. La suggestion leur permet de décrire les signes et les symboles visibles d'un monde mystérieux : (« symboliser est évoquer, non dire et narrer et peindre » affirme René Ghil) Leur principal objectif n’est ainsi pas de figurer le réel immédiat et visible : les symbolistes ne peignent

(+Lecture) (+Analyse question) Pour répondre à cette question, il s’agira tout d’abord d’expliquer en quoi Gavroche est un gamin peu ordinaire. Ensuite, nous montrerons comment l’auteur a ménagé le suspense dans cette scène, nous finirons par décrire la mort épique du garçon. I- Gavroche présenté comme un gamin extraordinaire. 1) Une agilité hors du commun : * Accumulation : « couchait » « redressait » « s’effaçait »… son répétitif de « ait » du au poète qui joue aussi sur les rimes

! dit le maître Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize. Mais voilà l’oiseau lyre qui passe dans le ciel l’enfant le voit l’enfant l’entend l’enfant l’appelle Sauve-moi joue avec moi oiseau ! Alors l’oiseau descend et joue avec l’enfant Deux et deux quatre… Répétez ! dit le maître et l’enfant joue l’oiseau joue avec lui… Quatre et quatre huit huit et huit font seize et seize et seize qu’est-ce qu’ils font