Déficit budgétaire et déficit public

sur les instruments budgétaires, mais le recours à ces derniers est limité par des déficits budgétaires persistants et une dette publique importante. Le compte des opérations courantes de la balance des paiements a accusé un déficit lourd et persistant – 9,7% du PIB, en moyenne, entre 2002 et 2007 – car l'excédent du compte des services ne compense pas le déficit commercial. En général, le déficit des opérations courantes a été compensé par des entrées de capitaux publics et privés. Le commerce

(c’est la raison pour laquelle la Fed a refusé au contraire de sauver Lehman Brothers, ce qui d’un autre côté a eu des conséquences gravissimes). 3. Quelles réformes du système financier sont aujourd’hui proposées ? Quelle réforme de la politique budgétaire est-elle envisagée dans certains pays ? La réforme du système financier semble aujourd’hui amorcée avec difficulté : le consensus porte sur les paradis fiscaux et sur la limitation des bonus ; la séparation entre banques de dépôt et banques d’investissement

Ne pas dévaluer sa monnaie en attendant la monnaie unique. Il faut réduire ces déficits publics et sa dette publique (Dette française : 1400milliards d'euros). • Traité d'Amsterdam avec un pacte de stabilité et de croissance qui est un accords entre tous les pays pour fixer des limites de déficit sous peine de sanction. Condition : Le déficit ne doit pas dépasser 3% du PIB et la dette 60% du PIB. 2. Les avantages de l'intégration économique et monétaire

économique qui a éclaté en 2008 suite à la crise des subprimes a entraîné un creusement du déficit budgétaire en 2009 de plus de 7 % du PIB contre 3.4 % en 2008 (document 1). La politique économique menée pour faire face à cette récession a contribué au creusement supplémentaire du déficit budgétaire : La politique économique budgétaire de relance (politique conjoncturelle) a contribué à creuser le déficit d’environ 1.2 points du PIB de 2009 (document 3). Le lancement d’un grand emprunt de 35 milliards

types de politiques budgétaires (ensemble des modifications de l'imposition ou des dépenses publiques) A ) Relance (keynes) > théorie de sortie de crise ob : stimuler la croissance et l'emploi moy : aug dépenses et dim impôt > dim recette effet : effet multiplicateur : l'Etat investie de l'argent pour en revevoir plus limite : .fuite des effets multiplicateurs par l'épargne et par l'importation .la relance ne marche qu'avec la confiance (Ricardo Barro) : si anticipation du déficit > aug épargne > pas

Note de synthèse – Economie Sujet 2 : Déficits budgétaire en Europe Dossier documentaire : Document 1 : Le débat européen reprend sur le dossier grec, LeFigaro.fr, Mathilde Golla, 03/10/2011 Document 2 : Pourquoi Standard and Poor's dégrade l'Italie sans crier gare, Le Figaro.fr, Pierre Maniere, 20/09/2011 Document 3 : La note de l'Italie dans le collimateur des agences, LeFigaro.fr, Mathilde Golla, 20/09/2011 Document 4 : Les ministres des Finances de la zone euro se réunissent sous pression,

2002, Raffarin déclarait dans son style inimitable : « Moi, j’ai des idées simples (…) c’est de la bonne gestion de père de famille, c’est cela qu’il faut faire. Moi je suis tout à fait favorable à ce que nous puissions, très rapidement, réduire les déficits »2. Cette référence aux « règles de bon père de famille » a été reprise par Sarkozy lors de la discussion du budget 2005. Ce discours de bon sens vise à faire comme si les causes de l’augmentation de la dette publique allaient de soi, et que celle-ci

subsiste dans la capacité des politiques économiques à réduire les inégalités . A Elargissement des possibilités de production et de consommation (économie d’échelle, bienfaits de la concurrence) A l’Union européenne ne dispose pas des moyens budgétaires requis (transferts financiers supplémentaires, Risque de blocage des institutions B à condition que des politiques appropriées soient mises en place (réductions des inégalités régionales B Le libre échange comporte des inconvénients (concurrence

l’État correspond à sept titres du projet de loi de finances. La Loi de finances détermine, pour une année civile, la nature, le montant et l’affectation des ressources et des charges de l’État, ainsi que l’équilibre budgétaire et financier qui en résulte. En 2009, les charges budgétaires de l’État, telles que retracées par le projet de loi de finances initiale se répartissaient ainsi : Dépenses de personnel : 31,4 % *  dont 60 % pour la rémunération des personnels payés sur le budget de l’État ;

d'économies budgétaires en France et dans l'ensemble des pays européens. Pour la seule année 2013, cette stratégie budgétaire aura amputé de 2,4 points de PIB l'activité en France. La prise de conscience de l'existence de multiplicateurs budgétaires élevés a été tardive, une fois que l'expérience de l'austérité eût produit ses effets sur la croissance. En mai 2013, elle a poussé les autorités européennes à étaler l'effort en prolongeant le délai imparti pour la correction du déficit excessif de