Défrichement

terres afin d’y cultiver du riz a eu pour conséquence de supprimer aux mangroves leur aliment principal et donc de faire disparaître complètement la mangrove en aval de ce barrage. La récolte des huîtres par la coupe des racines de palétuviers, le défrichement de la mangrove pour l’aquaculture, la riziculture et enfin la pollution (notamment par les hydrocarbures), sont autant de facteurs aggravant, dont les causes sont essentiellement anthropiques et qui détruisent peu à peu ces écosystèmes. On peut

La France est un pays qui a 3 façades maritimes. -La Manche ; -L’Atlantique ; -La Méditerranée. Ces milieux naturels en France sont des milieux très anthropisés. Ils ont été très largement modifies avec ce que l’on appelle des grands défrichements entre le XII et XIII siècle. Un rural : quelqu’un qui vit a la campagne. De la fin du 18e à la fin 19e on va créer en France la foret des Landes (ensablement des Landes, modification du milieu). Les zones urbaines ont considérablement modifies

chère ; une grande partie de la paysanne n’y avait donc pas accès. Pour les pratiques agricoles, les paysans commençaient à aménager des rotations de culture ; l’apparition de la jachère. Les paysans avec la sollicitation du maître pratiquaient le défrichement. Tous les ans, il fallait abandonner d’anciens champs que la culture avait épuisés. Les bœufs de charrue qui labouraient la terre contribuaient de même à la fertilisation de la terre. Cependant cet apport d’engrais animal reste très inefficace

La lutte contre l’extinction des espèces – problème moral ou intérêt pour l’humanité ? Gabrielle Léonétout La Sixième extinction, ou extinction de l'Anthropocène, est le nom de l'extinction massive et étendue des espèces durant l'époque contemporaine de l’Holocène (dite époque « moderne ») sur l’échelle des temps géologiques. On parle d'extinction massive, puisque le nombre des disparitions est comparable aux autres « cinq grandes extinctions » massives (extinction du Dévonien, du Silurien

primaires constitue à la fois une fragilisation économique et une menace pour la forêt amazonienne, comme le souligne un géographe de l’IRD et ses partenaires brésiliens. De fait, ces produits agricoles sont responsables de la majeure partie des défrichements. 750 000 km² de forêt ont disparu à ce jour au Brésil, dont 80 % ont été transformés en pâturages destinés à l’élevage bovin. Récemment, l’expansion des monocultures notamment de soja, repoussant les troupeaux encore plus loin dans les zones de

l’intérêt de la mobilisation des eaux et par conséquent, de la nécessité de réduire l’envasement des retenues de barrages. En effet, les bassins versants à l’amont des barrages présentent des risques d’éros ion importants dus essentiellement aux défrichements des forêts, au surpâturage et à la mise en culture des terrains à pente fortes.L'évaluation de l'érosion hydrique et du transport des sédiments à l'échelle d'un bassin versant demande d'investir dans des études de simulation qui tiennent davantage

nicolaïsme et la simonie b – La querelle des investitures, de la penitence de Canossa (1077) au concordat de Worms (1122) II – La conquête de l’autonomie des institutions urbaines A – L’autonomie des villes 1 – Les villes franches a – Défrichements et villes neuves b – Le statut de ville de franchise ou de prévôté (Centre, domaine royal) 2 – Les villes jurées a – Le statut de consulat (Midi) b – Le statut de commune (Nord) B – L’autonomie des métiers 1 – Les différents

cidre). Il faut donc des moyens d’exporter/de commercer : - chemins vicinaux - vignes - grande ville = marché mais aussi – port - Financement pour stabiliser des grands travaux - Etat - chemins vicinaux et – défrichement / reforestation et – banques (prêts) Landes = forêt des pins = résine/papier Conclusion  : politique qui vise à « ne pas appauvrir l’Etat ». Dans le cas d’une politique économique libérale mais avec une intervention de

dollars par an – une misère quand ces chiffres sont calculés par tête et non par foyer (Laporte et al, 2007). Le montant des PSE sera faible s’il s’agit de compenser l’abandon de certaines cultures vivrières, mais le gel d’un droit d’usage comme le défrichement, la chasse, voire la possibilité de travailler dans une entreprise forestière, ôte aux pauvres des opportunités pour sortir de leur condition (Karsenty, 2007). En outre, la compensation du coût d’opportunité à des paysans très pauvres ne correspond

remembrements et la baisse de la population agricole accroissent la taille des parcelles et les réunissent, au risque d’un ruissellement et d’une érosion accrus. Les pays de bocage Champs clos. Dans le bocage des franges atlantiques, enclos permettaient le défrichement individuel et temporaire de blocs de la lande et leur mise en culture à l’abri des mouvements de bétail. Dans pays de bocage, évolutions productivistes récentes vont en direction d’une transformation en semi-bocage, avec destruction de haies, souvent