Dégoût

séjour coïncide alors avec le krach boursier de Wall Street aux effets dévastateurs sur les sociétés américaines et européennes. Cette double crise n’est pas sans effet sur l’expression du poète qui exprime alors dans son ouvrage sa répulsion et son dégoût pour la ville. Ainsi, dans le texte proposé issu de ce même recueil, Lorca blâme la « ville qui ne dort jamais » et donne alors à voir au lecteur une vision négative qui va à l’encontre des effets qu’à cette métropole fascinante sur le monde.

comprendre la nature humaine, il croyait qu’une introspection était nécessaire è Met en évidence la sensibilité. c) Le , le vague des passions è Phénomène social qui est représenté(e) pour la 1ère fois en littérature dans René. Définition: Un profond dégout de la vie, un ennui qui résulte de l’écart énorme qui existe entre les désirs des romantiques ce que le moment historique a leur offrir. Avant 1830 -> Les 1ers auteurs romantiques (comme Chateaubriand) sont des aristocrates. A cause de la Révolution

fait et pourquoi il leur tire dessus, c'est de la folie, " la guerre en somme c'était tout ce qu'on ne comprenait pas. " Bardamu n'a donc rien contre les Allemands, et pourtant, on peut percevoir une forme de dégoût dans ces dires " Ce colonel était donc un monstre " . En effet, ce dégoût ne s'adresse pas aux Allemands, mais bien à ses propres supérieurs. Il souligne bien l’héroïsme dont font preuve les militaires, mais ça n'est pas pour les valoriser, bien au contraire, Bardamu mène en dérision

champ lexical de la mort: ''découpures; Enterré, là, sous le massif; froid'' et du rejet: ''vert (dégoût); boue; Horreur''. En choisissant le crapaud comme reflet de lui, Corbière fait passer sa maladie pour les pustules de l'animal et sa laideur pour l'ensemble de la bête. Le fait qu'il soit avec la femme qu'il aime renforce l'aspect choquant de son histoire car il donne l'impression de chercher a dégoûter sa dulcinée ou alors à ce faire plaindre. Corbière choque par sa manière d'écrire aussi. Son poème

OBSERVATION INTERPRÉTATION 1) Situation d'énonciation : - qui parle ? un "je", présent uniquement dans les tercets. - à qui ? aucun indice du récepteur. - de quoi ? de son incapacité à partager l'effervescence universelle de la Nature, de son dégoût et de sa volonté de mourir. - Le mode récit des quatrains s'oppose au mode discours des tercets, comme s'oppose à l'élan vital universel la solitude de ce "je" tourné, lui, vers la mort. - ce refus de l'adresse à un possible confident accentue l'impression

cercle · L’écartement des mains lorsque l’on parle d’une chose imposante c) les manifestations affectives communiquent une signification émotionnelle par exemple les expressions de bonheur, de surprise, de crainte, de colère, de tristesse et de dégoût/mépris d) Les régulateurs règlent, entretiennent ou dirigent les propos des autre par exemple Les expressions faciales et les gestes de la main qui veulent dire « continue » « parle moins vite » ou « quoi d’autre ? » e) Les adaptateurs satisfont

meme,mais quant a la composition de ce texte, le denouement a toujours un effet de surprise, la fin est inattendue, et c’est justement comme ca, parce que Angette «  a oublie non seulement son adoration perpetuelle pour son mari, mais encore son degout d’antan pour Lembert » et donc son premier amour a vaincu. Le mode d’exposition du texte est melange. C’est premierement un texte narratif, parce qu’on relate des evenements qui se sont produits dans le temps, et qui sont en general chronologique

complexité de l’Univers qui fait que l’H trouve difficilement sa place. _ le péché originel comme fondement de toutes les contradictions à l’H et qui fait de lui un paradoxe, un « monstre incompréhensible ». Cet inconfort mène à l’ennui cad le dégoût de l’H pour lui-même. I- La place de l’H dans l’Univers (lire fragment 185 : début : «  tout autre ne peut le faire » jusqu’à « notre intelligence tient dans l’ordre… » _ L’H et perdu dans cet univers fait d’extrêmes ( l’infiniment

places puaient, etc. Mais cet incipit se différencie surtout des autres car il suscite le dégout chez le lecteur (vocabulaire de la puanteur et énumération d’objets possédants une forte odeur : L21 « le chou pourri », L20 « crotte de rat », L28 « sang caillé », L28 « la sueur, etc. L’incipit a pour rôle de donner envie de lire la suite au lecteur, et ici, étonnement, cette envie est provoqué par le dégout suscité par cette société du XVIII° siècle. Grâce à toute cette originalité qui caractérise

des quelques provisions qu'ils ont pu récolté et dont la description est faite dans le premier paragraphe, avant d'être rejoint par Boule de Suif indignée par l'indifférence, l'égoisme et le mépris de ces bourgeois. Sa colère est trop grande, son dégoût, exprimé dans le second paragraphe, trop profond pour qu'elle ne puisse retenir ses larmes qui finissent par couler le long de ses joues dans le paragraphe suivant. Ce sont les dernières lignes qui sonnent comme un glas et mettent un point final éclatant