Dégoût

manière de se tenir. Elle se présente excessive tout comme le contenu du caddie. La manière de représenter de l’artiste cette femme, en plus d’être le reflet d’une société, suscite, chez celui qui la regarde (le spectateur), des sentiments proche du dégoût, de la consternation voire de la répulsion/ le caddie est l'élément le plus important de la sculpture de par son titre/ la femme finit par se confondre avec ce caddie. La femme devient un objet. 3°Interprétation présente le consommateur comme

entre le rire et la tragédie, la noirceur et la dérision. En quoi peut-on dire que, dans cet extrait, on arrive au terme du voyage de Ferdinand ? Nous verrons en quoi le bilan négatif de sa vie pousse Ferdinand à envisager la mort pour échapper au dégout et à la lassitude que son existence lui inspire. Enfin, nous verrons que le bilan personnel de Bardamu s’étend à un bilan sur l’existence humaine fortement imprégné de la pensée de Céline. L’extrait s’ouvre sur la réflexion de Ferdinand Bardamu

tourmenté pour qui les femmes et l’amour sont des secrets primordiaux à résoudre. Il se demande comment exercer les forces qu'il sent au plus profond de lui. Il crie sa solitude, il se sent tenu hors du monde des adultes, ce monde à la fois le dégoute qui le dégoûte parce que d'abord ce monde le repousse. Le récit, mené, dans la veine romantique, à la première personne, s’achève dans les ultimes pages par le passage à la troisième personne. Le basculement marque un dédoublement du narrateur d’avec le

On dit qu'un jour, alors que Picasso résidait a Paris, l'ambassadeur allemand nazi Abetz s'invita chez lui et lui demanda en désignant le tableau de “Guernica” avec dégout: —«C'est vous qui avez fait cela?» Picasso lui répondit froidement: —«Non Monsieur: c'est vous qui l'avez fait.» Il fait comprendre par cela son dégout pour les horreurs produites par le régime nazi. Cette peinture est sans doute l'œuvre d'art la plus connue du XXème siècle .

gradation à la ligne 57 «  je n'osais plus me regarder, j'avais honte ». Cette solitude amène donc par la suite notre héros à se dégoûter de lui même « je me trouvais laid » (l.30) et à avoir une envie de transformation qui aura même tendance à faire des éloges à l'image du rhinocéros « leurs barrissements avaient un certain charme » (l.40). Pour montrer ce fameux dégoût, le champ lexical du physique est employé « longue figure; traits tombants; mes mains; les paumes; peau; corps blanc; jambes poilues)

n’osent plus la questionner. Les mois précédant la mort de sa grand-mère, Emma a considérablement maigri, elle est devenue progressivement anorexique. Avec du recul, à l’heure où elle raconte cette histoire, elle comprend ce qui a provoqué chez elle ce dégoût de la vie : elle sait maintenant que sa grand-mère lui a menti et elle porte en elle le poids de l’histoire de son grand-père et de ses liens avec Sobibor, le camp d’extermination. Ayant retrouvé par hasard le journal de Jacques, elle a mis à jour

Ex : « le baron de Rastignac veut-il être avocat ? », « Veuillez-vous vous marier ? » Emplois d’exclamations qui traduisent des sentiments de Vautrin. Ex : « Oh ! Jolie ! » -> moqueur «Des bassesses à dégoûter une truie » ->lexique péjoratif et « pouah » qui montre un dégoût, « parvenir (italique), parvenir à tout pris », « bravo » traduit l’enthousiasme de Vautrin • Emploie de tournure familières et directes (registre de langue). Ex : « Vautrin encore mieux guerroyer »

anti-esclavagiste (démontrée par l'utilisation des phrases plates du nègre au sujet des horreurs qu'ils subissent) b. Puis son but au sujet de ses idées : faire sortir les gens de leur naïveté quant à ce qui se passe ici (pour cela il va provoquer le dégoût en faisant dire des horreurs comme des normalités, encore plus ironiquement par le nègre lui-même) 2. Et puis nous allons voir ensuite la critique de Voltaire: a. De la société (qui utilise ainsi les nègres). b. De la religion

mort) : « charnier » ; « mortuaire » ; « os ». - les parties du corps : « os » ; « mains » ; « yeux » ; « muscles » ; « ventre » ; « nez ». - le dégoût : « pourriture » ; « pâture » ; « déchiré » ; « puanteur » ; « infecte » ; « difforme ». Il existe un lien entre chacun de ces champs lexicaux : les parties du corps des cadavres sont décrites avec dégoût, à chaque membre du corps étant associée une figure. Il s’agit donc d’une description très précise, mais qui est tout de même de l’ordre de l’exagération ;

en passant par la pauvreté, la dépendance et la maltraitance. Autrement dit des sujets qui dérangent voire tabou. Enfin, cette femme, en plus d’être le reflet d’une société, suscite (provoque), chez celui qui la regarde, des sentiments proches du dégoût, de la consternation voire de la répulsion. Duane Hanson s'est amusé, dans cette sculpture, à associer étroitement la femme et le caddie : les points communs entre les deux sont nombreux. Par exemple, les deux débordent : un caddie plein à craquer