Déguisement

largement ses équivoques somptueuses. . L’une des caractéristiques principales de l’œuvre de Corneille est sans aucun doute le jeu sur les apparences. En effet , plusieurs éléments de la pièce apparaissent comme un masque comme une dissimulation ou un déguisement. Le titre de l’illusion comique lui-même suggère un jeu sur les apparences. Dans quelle mesure l’être et le paraître s’entrelacent-ils , se séparent , se confondent et se confrontent dans l’Illusion comique ? I. Le paraître contre l’être - omniprésence

en 1949, avec Françoise Gillot Paulo n’est apparu sur les tableaux de Picasso que travesti en arlequin, mousquetaire, saltimbanque, torero…Il n’a pas été peint en tant qu’enfant en train de vivre mais dans des poses formelles et portant des déguisements dont l’affublait son père. Picasso ne le voit que comme mannequin servant à mettre un costume en valeur. Les postures sont statiques, ne reflètent pas la vie d’un enfant. L’enfant regarde le peintre. Quand Claude naît, Picasso a 66 ans. Il semble

italiens à l’hôtel de Bourgogne. C'est la pièce de Marivaux la plus célèbre et la plus représentée, tant en France qu'à l'étranger. Silvia, peu disposée à se marier, obtient de son brave homme de père (M. Orgon), l'autorisation d'observer, sous le déguisement de sa suivante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu'elle. Aussi, l'aventure, divertissante au début, tourne-t-elle au cauchemar pour elle lorsqu'elle se rend compte qu'elle

sociales.     Membre de l’Académie française, il est l’auteur de La surprise de L’Amour (1722), de La double Inconstance, du Jeu de l’Amour et du Hasard (1730), des Fausses Confidences (1737).     Par l'emploi éminemment théâtral des thčmes du déguisement et du jeu, son śuvre dramatique semble ętre dans le droit fil de la tradition italienne et espagnole du romanesque baroque. Le thčme du masque et sa fonction de révélateur sont également au centre de sa création romanesque.     Sans doute est-ce

également prendre conscience de son agressivité : "Dans quelle humeur es-tu ma soeur ? Comment tu t'emportes !". Mario et Monsieur Orgon essaient de semer le trouble dans les pensées de Silvia. Sachant que ce sont les seuls à connaitre le jeu du déguisement de chacun, on peut comprendre qu'ils sont d'un caractère joueur. Pour cela, ils accusent Dorante d'etre le responsable du dégout qu'éprouve Silvia envers Arlequin, on le voit dans les phrases : 'C'est donc ce garçon qui [...] que tu as pour son

répulsion marque une peur panique (l2) Solal se moque ouvertement d’Ariane, la séduction se transforme en piège, Solal est déçu et furieux de ne pas avoir trouvé une femme qui l’auraient aimé ainsi indépendamment de son physique, furieux il enlève son déguisement (l30,31,32,35) et montre sa déception Séparation : Texte 3 : Le narrateur prend le lecteur à témoin (l.1), le narrateur s’excuse, et il explique la difficulté de mener son récit. L’émotion est trop forte elle est triste de la mort de Manon et

fête galante et théâtrale en référence directe à Watteau - Poème adressée à une femme (« vous » + fête galante) madrigal - Décor de la fête galante - Vocabulaire du chant et de la danse atmosphère de fête - Musicalité du texte (« votre âme….déguisements fantasques ») farandole, répétition, longue phrase… - Référence au masque, théâtre Rappel Watteau II – Un paysage de l’âme - v.1 lecteur doit analysé le paysage comme un symbole ( Verlaine symboliste) - Personnifications confusion paysage/âme

par Circé et le Paon. L'Anthologie de la poésie baroque française, parue en 1961, ressuscite nombre de poètes oubliés, tout en dégageant les principaux thèmes d'une esthétique qui privilégie l'inconstance, la mobilité, les effets de miroir, le déguisement, le songe et l'illusion, mais aussi le spectacle de la mort et des ténèbres.

la misère. LE COMTE : Pauvre petit ! Mais que fais-tu à Séville ? Je t’avais autrefois recommandé dans les bureaux pour un emploi. FIGARO : Je l’ai obtenu, monseigneur, et ma reconnaissance… LE COMTE : Appelle-moi Lindor. Ne vois-tu pas, à mon déguisement, que je veux être inconnu ? FIGARO : Je me retire. LE COMTE : Au contraire. J’attends ici quelque chose, et deux hommes qui jasent sont moins suspects qu’un seul qui se promène. Ayons l’air de jaser. Eh bien, cet emploi ? FIGARO : Le ministre, ayant

ces convives avec qui Meaulnes ne se sentit à l'aise et en confiance ». En fait, la plupart des invités ne se connaissent pas les uns les autres, il n'est donc pas le seul inconnu de la fête, même si sans doute il en est l'unique « intrus ». Les déguisements aidant, personne ne se doute de sa « tricherie », comme il la nomme lui même. Personne donc ne le considère comme quelqu'un de différent, comme un étranger. Le regard de l'Autre n'est pas hostile et conditionne donc son inclusion dans le groupe