Déisme

philosophie, c’est-à-dire de critiquer aussi. III. L’Eldorado ou la cité idéale : une utopie très voltarienne (chapitres 17 et 18)… 

On se retrouve réunis comme dans un catalogue, où se trouve tous les idéaux de Voltaire :
 - La religion naturelle et le Déisme - un urbanisme organisé - un palais des sciences - une atmosphère de tolérance, de liberté, d’hospitalité - un pouvoir sans répression. IV. Mais trop peu crédible :

 En réalité, l’Eldorado est un modèle théorique, irréalisable (utopique dans le

................................................................................................................................................................................................................................ 15. Qu’est-ce que le Déisme ? ...................................................................................................................................................................................................................................................

concernés? II/Quelle est la principale cible des Lumières, et surtout de Voltaire? ......................... 1) Quelle tragédie de Voltaire dénonce les fanatismes? 2) Les hommes des Lumières sont-ils des non-croyants? 3) Qu'est-ce que le déisme?* 4) Qu'est-ce que l'affaire Calas?* III/"L'instruction... l'ignorance.", Le Mercier de la Rivière 1) Quel est l'outil principal et fondamental préconisé par les Lumières pour accéder aux sciences et aux connaissances? 2) Grâce à cette

(observation, expérience, esprit d’examen) appliquée aux sciences, mais aussi aux domaines religieux, politique et social, recherche du bonheur, la raison, l’humanisme 8) Montesquieu : contre l’esclavagisme+théorie des climats Voltaire : libéralisme, déisme, humanisme Rousseau : Il est particulièrement célèbre pour ses travaux sur l'homme, la société ainsi que sur l'éducation. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVIIe

même temps consciente d'elle-même et nécessite une décision volontaire d'adhésion. • Mais on peut nuancer le rapport raison – religion : − Pour le fidéisme : la foi est une révélation, seule la foi permet d'accéder à une vie religieuse.− Pour le déisme : seule la raison permet de connaître Dieu. − Foi et raison peuvent s'entendre, grâce à une synthèse harmonieuse : le divin est objet de pensée et la raison doit se soumettre à la foi et lui servir d'appui. !"La raison et la foi • Cette dernière

qui se suivent ou forment un ensemble. Cette figure de style était très utilisée dans la poésie du Moyen Age. connivence : complicité par complaisance ou tolérance, accord tacite conte : récit d’aventures imaginaires, histoire peu vraisemblable déisme : opinion, croyance de ceux qui admettent l’existence d’un être suprême mais qui refusent de lui appliquer toute détermination précise et rejettent la révélation, les dogmes et les pratiques religieuses démiurge : quelqu’un qui se prend pour Dieu

qui fonde toute connaissance sur la raison. • Matérialisme : Doctrine philosophique qui considère que la matière est la seule réalité. • Perfectibilité : Caractère de ce qui peut être amélioré, perfectionné. • Déisme : Croyance en l’existence d’une entité divine, d’un Être suprême, hors de toute religion. • Athéisme : Doctrine des athées, c’est-à-dire de ceux qui ne croient à l’existence d’aucun Dieu, d’aucune divinité. • Relativisme : Doctrine

à Ferney, près de la frontière Suisse, où il reçoit toute l'élite intellectuelle de l'époque tout en ayant une production littéraire abondante. Étranger à tout esprit religieux, Voltaire se refuse cependant à l’athéisme comme Diderot et préfère le déisme une croyance ou une doctrine qui affirme l'existence d'un dieunote 1 et son influence dans la création de l'univers, sans pour autant s'appuyer sur des textes sacrés ou dépendre d'une religion révélée. En 1759, Voltaire publie "Candide", une de ses

philosophique complet, ni une quelconque cohérence : il remet en question, éclaire un débat, soulève les paradoxes, laisse évoluer ses idées, constate sa propre évolution mais tranche peu. Au niveau religieux, il semble évoluer de la foi vers le théisme, le déisme et enfin souscrire aux idées matérialiste La morale est une préoccupation récurrente de Diderot. Le thème apparaît dans ses critiques artistiques, dans son théâtre et dans quelques textes (contes et dialogues), rédigés en 1771-1772, autour du thème

société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau (qui croit que l’homme est doté d’une conscience morale innée). Diderot, dans sa Lettre sur les aveugles (1749), s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence de Dieu