Della Robbia Faire Evoluer La Structure

fin de la féodalité. A partir de Louis 11, le plus grand seigneur deviens le souverain, une première armée national est créé, Louis 11 est un vrai Roi. Beaucoup plus de stabilité, prospérité, et la naissance d'une ''cour'' qui va s'enrichir et va faire construire. Des humaniste Française commence a étudier des texte Grecque et Latin, a la formation d'un nouveau état d'esprit, tourner a l'antiquité. Dans les arts, le goût général est Gothique, mais commence a voir des arts Italiens. Jean Fouquet (les

fusion de bronze vs. Brunelleschi, avec moins de technique, version plus violente, plus forte, plus dramatique et donc moins élégante. Santa Maria del Fiore (Duomo) (1420 -> concours en 1419 qui n’a desservi la victoire officielle à personne) Cette structure est à l’échelle de la Toscane, bâtiment massif. Dôme : vu de loin, s’impose au milieu des petites tours, il raconte la puissance et la splendeur de Florence. Le dôme est une construction de la ville, et est aussi dédié à la région, la Toscane. Il

organisations soumises à concurrence. NB : le management est-il devenu une science ? De nombreux auteurs préfèrent évoquer un art ou un artisanat fondé plus sur un savoir faire et une intuition plutôt que fondé sur une démarche rationnelle. C’est au carrefour de plusieurs disciplines : Psychologie Sociologie Artistique (savoir faire) On peut se demander si le manager est un planificateur ? Paragraphe 2 - La planification Plusieurs auteurs : A) Peter Drucker (un des pères fondateurs

proto-renaissante présente une plastique du détail : * Florence, église San Miniato Le gothique est un art étranger d’importation. La structure continue avec des procédés antiques ou romans (contreforts, arc brisé) et la décoration vient envelopper le volume de motifs géométriques qui font déjà pressentir la Renaissance. Ici, comme chez les romains de l’Antiquité, structure et décoration sont deux choses distinctes. Ce passage vers l’esprit moderne s’explique par une évolution radicale dans la représentation

d’empereur et de souverain pontife ne représentent plus pour elle que des noms sans réalité, et ceux qui les portent ne sont plus à ses yeux que de vaines images ». De la couronne impériale qu’il a cru devoir, par une sorte d’archaïsme, aller se faire imposer à Rome par le pape en 1452, Frédéric III ne tire aucun bénéfice : il n’est plus qu’un Habsbourg, dont l’horizon ne dépasse guère les limites des possessions familiales, cette Autriche qui tend à devenir le noyau d’un puissant État au cœur de

D’abord, parce que en tant que collectionneur de gravures, je ressens une attirance naturelle pour la beauté du monde exprimé par l’art, et il me semble que revisiter de temps en temps des grands classiques et leurs réflexions sur l’art ne peut nous faire que du bien. A une époque où, trop souvent, on est si pressé qu’on en tombe dans l’inaction et où on a une certaine tendance à confondre ambition avec mauvaise éducation, relire des réflexions posées, qui ont survécu au jugement du temps et des hommes