D'elles

éprouvent envers Boule de Suif et préfèrent en parler secrètement. De plus, elles n’osent pas affronter Boule de Suif et lui dire franchement ce qu’elles pensent d’elle, mais elles préfèrent plutôt parler d’elle clandestinement. En résumé, le fait même que les bourgeois ne sont pas sincères envers Boule de Suif et qu’ils parlent d’elle en cachette font qu’ils correspondent bien à la description inévitable de personnes hypocrites.349 Pour poursuivre, on peut voir que les bourgeois font preuve

face d'elle et qui lui aussi semble rêver, sans que leurs regards ne se croisent. Il présente deux réalités simultanées. La glace opère la jonction entre le visible el l'imaginaire, déployant à la fois une image du réel et une figuration de la rêverie.avec le miroir du bar qui ne reflète pas exactement ce que nous avons au premier plan et surtout qui semble se tordre vers la droite en révélant un homme inattendu et un dos de jeune femme qui ne correspond pas exactement à ce qu’on voit d’elle de face

que de se promener dans son propre rêve. Sa mère était bien réelle, elle était vraiment venue, et Annika, dès le moment où elle avait senti ses bras autour d’elle, s’était vue emportée dans un vertige de bonheur. Elle ne pouvait supporter d’être séparée d’elle,ne serait-ce que d’une pièce. Annika avait imaginé une femme élégante et sûre d’elle, mais même dans ses rêves les plus fous elle n’avait jamais imaginé que sa mère pût être une aristocrate,c’est-à-dire une femme de la noblesse au nom précédé

très douloureux. Elle avait tellement mal au crâne qu’elle s’évanouit.Quand elle ouvrit les yeux, elle découvrit un monde magnifique. Voitures volantes et scooters envahissaient le ciel. Elle regarda autour d’elle et ne vit personne. Il y avait une étrange couche bleue juste au-dessus d’elle. Milo, qui venait d’apparaître, l’interrompit dans sa contemplation.— C’est la couche protectrice. Cette couche te protège des engins volants qui sont en panne et qui risqueraient de te blesser. Elle envoie des

la bouche. C’était bien elle ! Elle leva ses yeux verts émeraudes et, dès qu’elle me vue, me fit un grand signe de la main pour m’indiquer de venir s’asseoir à coté d’elle. Je me sentis pousser des ailes. Je m’approcha, essayant d’éviter les personnes ivres- mortes sur le carrelage. Je réussis finalement à m’asseoir juste à coté d’elle. - Salut ! Tu en veux une ? me dit-elle tout en me tendant une cigarette - Oui, merci beaucoup ai-je dis tout en rougissant - Viens ! Elle me prit

regardes des filles. * Également on peut trouver une similarité dans la couverture française et l’affiche française. Dans les deux les filles sont endormies ; dans le deux on peut trouver quelque chose de paisible comme si rien se passé au tour d’elles. * Dernièrement dans toutes les images on voit des filles d’aspect naturel. | * Dans les couvertures on peut observer que les filles sont observées pour quelqu’un. Chez la version allemande c’est évidente que la fille sait que quelqu’un l’observe

birmane. Elle rapportait un manteau modeste, des bas d'usage, des gants très chers. Surtout elle nous rapportait son regard gris voltigeant, son teint vermeil que la fatigue rougissait, elle revenait ailes battantes, inquiète de tout ce qui, privé d'elle, perdait la chaleur et le goût de vivre. Elle n'a jamais su qu'à chaque retour l'odeur de sa pelisse en ventre-de-gris1, pénétrée d'un parfum châtain clair, féminin, chaste, éloigné des basses séductions axillaires2, m'ôtait la parole et jusqu'à l'effusion

lui fait oublier l'essentiel, lui fait oublier que Thésée puisse revenir, lui fait même oublier l'amour qu'elle a pour Thésée, lui fait perdre Thésée une fois celui-ci revenu. Hyppolite doit porter la faute et se fait exiler par son père à cause d'elle, cela la remplit de culpabilité, et finalement la pousse à se tuer, elle en meurt. C'est cette passion qui construit le nœud tragique de la pièce. Si Phèdre n'était pas passionnément désireuse de son beau-fils, rien de tous les évènements tragiques

puisant de chacune d’elle une nouvelle force, qui ne fait qu’accroitre sa puissance sociale. Dans une scène final nous assistons au second mariage d’un George Duroy ivre d’orgueil, mais encore et toujours avide de prospérité. 2°- Personnages principaux : → George Duroy : Personnage central de l’histoire. Surnommé Bel-Ami par la fille de sa maitresse. Il est ancien militaire, c’est un jeune homme arriviste et séduisant. Eternel amoureux des femmes, il se servira d’elles pour grimper les échelons

choisis pas la culture dans laquelle ma naissance m’a jetée et qui a formé mes propres critères de valeur, si je juge à partir d’elle toute chose y compris les autres cultures que je peux rencontrer, comment puis-je évaluer objectivement celles-ci ? Suis-je même capable de porter sur ma culture un regard critique ? Comment juger objectivement de ma culture si c’est à partir d’elle que je porte mes jugements de valeur ? Ne suis-je pas juge et partie dans cette évaluation ? Suis-je alors condamné à un relativisme