Delphes

qu’on dit et ce qu’on fait que notre sagesse est déterminée. Socrate prend la peine de penser avant toutes ses actions et prend la peine de se connaître lui-même avant de connaitre ou tenter de connaitre les autres. Sa maxime, prise sur le temple de Delphes, représente bien cela : « Connais-toi toi-même ». Cette devise cherche à susciter la réflexion intérieure, une quête personnelle vers la sagesse car il est impossible de connaître autrui si l’on ne se connaît même pas soi-même. Il utilisait beaucoup

directement lié au premier, puisqu’il raconte qu’Héraclès aurait créé les jeux en l’honneur de Pélops, son arrière grand-père. II- Les différents jeux Bien qu’il existe également les jeux Néméens à Némée, Isthmiques à Corinthe et Pythiques à Delphes, cet exposé s’intéressera uniquement aux jeux d’Olympie. Cependant, un terme est important à relevé : l’ensemble du déroulement de ces jeux formait une période. III- L’organisation A- Les préparatifs : La ville d’Olympie se trouvait

VIEILLARD SAUVÉ PAR UN TIERS (SA FILLE), QUI L'ACCOMPAGNE VERS LA PAIX DE LA MORT - Antigone et son père - Le père réconcilié avec la mort (est sauvé de la mort terrifiante) 3 LE PÈRE CONTESTÉ (ET TUE) PAR LE FILS (A SON INSU) - L'oracle de Delphes - La fuite - Le vieillard qui veut la route, pour lui seul - Le combat et la mort 5 LA LOI DU PERE EST EN PÉRIL PARCE QUE LE FILS ET LE PÈRE SE SONT MARIÉS AVEC LEUR MÈRE - Mariage du père avec la mère archaïque révélé par la répétition

Apollon Apollon est le dieu grec du chant, de la musique et de la poésie. Il est également dieu des purifications et de la guérison, mais peut apporter la peste avec son arc. C'est un des principaux dieux capables de divination, consulté surtout à Delphes où il rendait ses oracles par la Pythie. Il est également connu comme Phébus , «le brillant». Il est fréquemment représenté avec son arc et ses flèches, ou encore avec une lyre : on le qualifie alors de «citharède». Il est également appelé «musagète»

système bascule vers la tyrannie ou vers la démocratie. Il évoque un partage des terres égale et surtout l'agôgè.. Après avoir mis en place ces réformes, ces lois, Lycurgue décide d'aller à Delphes demandé son avis à l'oracle d'Apollon, en partant il interdit aux spartiates de modifier ses lois. Arrivé à Delphes, Apollon valide ses lois, Lycurgue ne revint jamais à la cité et se suicide après afin que ces lois ne soient jamais modifié. II- L'agôgè : Une éducation

pythie d'Apollon à Delphes, il y avait des personnes qui venait de la Grèce entière (longue attente) apportant de nombreuses offrandes. Première partie qui va mettre ne confrontation deux générations de Dieux avec caractéristiques différentes voir opposées. La pythie va évoquer toutes les divinités qui ont pris place avant Apollon à Delphes. Elle va faire, une généalogie: Gaia, Thémis... jusqu'à Apollon. C'est une génération de Dieux qui va se passer le sanctuaire de Delphes sans conflits.

des bergers. Ils l'amènent à leur maître Polybos, roi de Corinthe et sa femme Périboea qui désespère de ne pas avoir d'héritier. Ils l'élevèrent comme leur propre fils. Mais Œdipe découvre la vérité de son adoption. En allant voir la Pythie de Delphes, un vieillard monté sur un char lui ordonne de s'écarter de son chemin mais Œdipe le tue, ne sachant pas que c'était le roi Laïos, son père et qu'après cet acte la prophétie s'accomplit. Il arrive ensuite à Thèbes et débarrasse la ville du Sphinx

Aux Jeux Panhelléniques, il n’y a qu’un seul vainqueur et son prix consiste en une couronne de feuillage. Sur chacun des sites, les couronnes sont fabriquées avec des feuillages différents : À Olympie, c’est une couronne d’olivier sauvage À Delphes, une couronne de laurier À l’Isthme de Corinthe, une couronne de pin En plus de sa couronne, l’athlète victorieux reçoit un ruban de laine rouge, la taenia. Enfin, l’athlète tient souvent une palme (branche de palmier), autre signe de sa victoire

circonstances mal connues. Pour les suppliants, Œdipe est le seul à pouvoir faire toute la lumière sur le fléau qui ravage la ville. Mais Œdipe avait prévenu la demande du prête et envoyé son beau-frère, Créon, se renseigner auprès de l'oracle de Delphes. À son retour, Créon explique que le dieu Apollon est courroucé par la mort de Laïos, qui n'a pas été élucidée et dont le meurtrier court toujours. Œdipe se déclare prêt à aller jusqu'au bout afin de découvrir la vérité et de châtier le coupable.

dix-huit colonnes cannelées aux bases d’un profil remarquable et qui couvre un plafond à caissons. Cette rotonde a comme influence la tholos de Delphes, surtout au niveau des dimensions, où le stylobate du Philippeion mesure 13,95 m et celui de Delphes 13,50 m. Les proportions des colonnes extérieures présentes aussi des influences de la tholos de Delphes. Le chapiteau présent des influences possibles d’être repérés en Macédoine, comme l’architrave avec deux fasces, au lieu de trois et l’entablement