Demain Je Meurs

de louange immortelle. Je seray sous la terre et fantaume sans os Par les ombres myrteux je prendray mon repos : Vous serez au fouyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et vostre fier desdain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.   P. de Ronsard est né en 1524 et mort en 1585. Il fut l’un des poètes français les plus importants ; imitant les auteurs antiques. Il utilisera beaucoup les sonnets. Ce poème est un sonnet

Jusqu'à ce haut degré de stoïque fiertéOù, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.Gémir, pleurer, prier est également lâche.Fais énergiquement ta longue et lourde tâcheDans la voie où le Sort a voulu t'appeler,Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. " Commentaire :   La noirceur de ce poème coïncide avec une phase sombre de sa vie qui a débuté avec la mort de sa mère et sa rupture avec Marie Dorval. Vigny joue sur le double registre de l'émotion et de la raison pour nous faire

simple d'avoir une vie compliquée et le plus compliqué d'avoir une vie simple. "C'est dans le malheur qu'on reconnaît les amis ." Le futur est comme le prince charmant : on ne le connais pas. Rappel toi qu'hier est parti pour toujours, que demain ne viendra peut-être jamais, seul aujourd'hui t'appartient. Donc garde le sourire et profite de chaque instant de ta vie Nous avons trop souvent peur... Peur de ne pas être capables, peur du jugement des autres. Nous laissons nos peurs entraver

que je soye L'omme esgaré qui ne scet ou il va. Louise LABÉ (1524-1566) Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie (Recueil: Sonnets) Louise Labé, de son vrai nom Louise Charly, appartient a la bourgeoisie lyonnaise et reçoit une bonne éducation. Ce sonnet est construit à partir d’une série d’oppositions visant à rendre compte de l’aspect paradoxal de la passion amoureuse. Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m'est et trop

Camille de Peretti - Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire- Albert Einstein - La vraie philosophie est de voir les choses telles qu'elles sont- George Louis Buffon - Va où tu veux, meurs où tu dois- - N'être pas écouté, ce n'est pas une raison pour se taire- Victor Hugo - Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue- Albert Einstein

qui a travaillé sur LA LIGNE VERTE et STAR WARS EPISODES I, II et III, a aidé le réalisateur à créer le style coloré du film, en lui permettant de filmer comme il le désirait selon des angles inhabituels. Le réalisateur explique : « David avait fait MEURS UN AUTRE JOUR avec Pierce et c’est un directeur de la photo formidable. Il est rapide, il a du style. Il fallait créer dif13 UN MATADOR A MEXICO L’histoire du film se déroule dans quatre pays sur une durée de six mois. « Mexico est un endroit fascinant

recevoir. ARAMINTE __ Oui... je le recevrai... vous me le donnerez. ( A part .) Je ne sais ce que je lui réponds. DORANTE __ Ne serait-il pas temps de vous l'apporter ce soir ou demain, Madame ? ARAMINTE __ Demain, dites-vous ! Comment vous garder jusque-là, après ce qui est arrivé ? DORANTE, plaintivement __ De tout le temps de ma vie que je vais passer loin de vous, je n'aurais plus que ce seul jour qui m'en serait précieux. ARAMINTE __ Il

au bout de l’avenue, - Grêle, parmi l’odeur fade du réséda. Paul Verlaine, Poèmes saturniens Automne malade Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n’ont jamais aimé Aux lisières lointaines Les cerfs ont bramé Et que j’aime ô saison que j’aime

rayon naissant blanchit la vieille tour ; Et déjà dans les cieux s'unit avec amour, Ainsi que la gloire à la joie, Le premier chant des bois aux premiers feux du jour. Oui, souris à l'éclat dont le ciel se décore ! – Tu verras, si demain le cercueil me dévore, Un soleil aussi beau luire à ton désespoir, Et les mêmes oiseaux chanter la même aurore, Sur mon tombeau muet et noir ! Mais dans l'autre horizon l'âme alors est ravie. L'avenir sans fin s'ouvre à l'être illimité

hauteur de la tension qu'exerce Antigone sur elle-même : "Antigone, pardon ! Antigone, tu vois, je viens, j'ai du courage. J'irai maintenant avec toi. [...] Si vous la faites mourir, il faudra me faire mourir avec elle ! [...] Je ne peux pas vivre si tu meurs, je ne veux pas rester sans toi !" (pages 97-98). C'est sa faiblesse même, et non sa volonté, qui la pousse à s'offrir à la mort. Antigone le voit bien, et la rudoie avec mépris : "Ah ! non. Pas maintenant. Pas toi ! C'est moi, c'est moi seule. Tu