Demain Je Meurs

pourquoi je meurs. J'ai peur… LE GARDE, qui peine sur sa dictée. « Créon avait raison, c'est terrible… » ANTIGONE Oh ! Hémon, notre petit garçon. Je le comprends seulement maintenant combien c'était simple de vivre… LE GARDE, s'arrête. Eh ! Dites, vous allez trop vite. Comment voulez-vous que j'écrive ? Il faut le temps tout de même… ANTIGONE Où en étais-tu ? LE GARDE, se relit. « C'est terrible maintenant à côté de cet homme… » ANTIGONE Je ne sais plus pourquoi je meurs. LE

| |Vous vous étiez servi simplement de vos armes |Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre | |La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans |Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand | |Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes |Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses | |Noirs de barbe et de nuit hirsutes

passage Clindor supplie « n’abandonnez point », soyez plus fidèles ». Ce qui montre que Clindor désespère et qu’il n’a plus d’espoir. Il ne croit pas en ce qu’il dit. Dans le texte on relève le champ lexical de la mort : V.1252 « mort », V.1256 «  meurs … meurs », V.1259 « mourir », V.1962 « mort ». Ce champ lexical montre que la mort est omniprésente dans cet extrait et que Clindor regrette ses actes : il veut mourir. Le champ lexical du bien-être, «charmes », « heureux », « bonheur », de la gloire « dédain »

je ne te verrai plus jamais. Que puis-je t'écrire ? Tout est confus en moi et bien clair en même temps. Je m'étais engagé dans l'Armée de Libération en soldat volontaire et je meurs à deux doigts de la Victoire et du but. Bonheur à ceux qui vont nous survivre et goûter la douceur de la Liberté et de la Paix de demain. Je suis sûr que le peuple français et tous les combattants de la Liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre

biens (1930) - Demain (1942) - Le vin est tiré (1943) PB : Dans quelle mesure le poète nous amène-t-il dans un rêve ? Plan : I- Un poème traditionnel, II- Le rêve I- Un poème traditionnel A) La forme du poème 1 1) ? sonnet traditionnel en alexandrin. 2 2) ? Rime : ABAB CCDEED. 3 Ponctuation, et respect de la syntaxe. 4 5 B) La mort 6 1) Titre du poeme ? « Les gorges froides » ? froideur mortuere des cadavres. 7 2) Champ lexical de la mort : « cercueil »(v.3), « triste »(v.3), « meurs »(v.9), « 

manières différentes de rapporter le discours de quelqu'un : 1. Le discours rapporté direct, ou discours direct (DD) Paul se lève et dit : « Je te téléphonerai demain. » (DD) Paul se leva et dit : « Je te téléphonerai demain. » (DD) 2. Le discours rapporté indirect, ou discours indirect (DI) Paul se lève et dit qu’il lui téléphonera demain. (DI) Paul se leva et dit qu’il lui téléphonerait le lendemain. (DI) 3. Le discours indirect libre (DIL) Il y a aussi, en littérature principalement, la possibilité

cave où il séjournera jusqu’à demain avec les rats et les souris. LA FEMME : Nous le relâcherons demain ! LE PAYSAN : Cela lui apprendra à nous voler !! Je vais me charger de l’enfermer ! (le paysan alla dans la cave où il trouve le voleur qui cherche quoi voler !) LE PAYSAN : Te voilà, misérable bandit ! LE VOLEUR : Je suis désolé, je ne recommencerai pas, c’est promis … LE PAYSAN : Je vais te donner une bonne leçon qui t’apprendra, tu ne seras libérer que demain soir, tu n’auras ni à boire

beaux ! ce seraient les plus beaux du monde... moi je souhaiter un petit garçon et aussi une petite fille, oui c'est ça... imagine l'immense bonheur ! Et puis on deviendra grand-parents. Halala ! Antigone je vois notre future ensemble . Si tu meurs je meurs aussi, je ne vois pas ma vie sans toi je veux des enfants avec toi et personne d'autre Antigon sinon je n'aurais jamais d'enfants c'est avec toi sinon rien... Hémon se met a pleurer, l'émotion est trop forte. Antigone : Du bonheur !Je ne vois

Ce corpus est composé de trois sonnets. Le premier est un extrait du recueil « Sonnets » de Louise Labé et s'intitule « Je vis, je meurs », le second est extrait du recueil « Continuation des amours » de Pierre de Ronsard et s'intitule « Je vous envoie un bouquet », le troisième est un extrait du recueil « Les regrets » de Joachim du Bellay. Ces trois sonnets furent écrits vers le milieu du XVI et appartiennent au registre lyrique. A quoi ces trois poèmes doivent ils leur registre lyrique ?

élégante et a quelque chose de touchant. Elle m’est si familière. Un frisson de compréhension me traverse alors instantanément. L’évidence m’éblouis si fort que j’en reste étourdi : le remède que je cherchais si loin est ici ! Demain et hier ne verront plus le jour, ce soir je meurs à cette folie. Je m’abreuve de ce remède, à la source du seul instant, cet instant intemporel où naissent et disparaissent tous les phénomènes. Ma réelle identité est celle-là, elle ne m’a jamais quitté. février 2012