Demoiselles D

Dans l’histoire, il ya deux protagonistes. D’abord, il y a le vieux professeur qui, au tout début, paraissait respectueux, hésitant et plutôt faible, qui révèle sa véritable nature à la fin. Puis, il y a l’élève, une demoiselle enthousisate, issue d’une famille riche. Les relations entre le professeur et l’élève est d’abord amicale : un professeur patient, et une élève avec la curiosité et l’énergie d’apprendre. Les relations entre ces deux personnages semble être bien simple. Mais ce n’est qu’après

longues, et extrêmement détaillé. «demoiselle Michonneau gardait sur ces yeux fatigués un crasseux abat-jour en taffetas vert, cercle par un fil d’archal qui aurait effarouché l’ange de la pitié. Son châle a franges maigres et pleurardes semblait couvrir un squelette, tant les formes qu’il cachait étaient anguleuses. quel acid avait dépouillé cette creature de ses formes feminines? … » Ces question et observations son si abondent que cette description de la demoiselle continue pour une page entire.

principaux critères sont la santé des jeunes demoiselles, leur richesse et aussi le rang de leur famille. Contrairement à ce que l’on peut penser les uniformes n’est pas obligatoires dans tous les pensionnats; en général seulement dans ceux ou les effectifs sont nombreux. Aussi ce n'est pas toujours le même uniforme d'un établissement à l'autre. La coquetterie était très mal vue voir parfois exclu, en effet les miroirs étaient interdis et les jeunes demoiselles devait se déshabiller et se rhabiller le

79-80) ». 1 Grace a ses essais, il en apprend davantage sur les inventions de l’homme. Les expérimentations de Gargantua le ménent 4 comprendre les caractéristiques de ce qu’il utilise : « Je me torchai une fois avec le cache-nez de velours d’une demoiselle, et je trouvais cela bon, car la mollesse de la soie me causait au derriére une volupté bien grande (p. 79-80) ». antithése entre « se torcher » et la volupté Il se met en danger dans son expérimentation: il est lui-méme au coeur de de celle-ci

éternelle pitié : une jeune demoiselle parut dans la galerie de la poupe du Saint-Géran, tendant les bras vers celui qui faisait tant d’efforts pour la joindre. C’était Virginie. » Le passé simple marque le changement d’optique : le verbe de perception (« vit ») insiste sur le côté spectaculaire de la scène qui est caractérisée par l’expression« éternelle pitié », un des ressorts du pathétique et du tragique. - L’image de Virginie, d’imprécise (« un objet, une jeune demoiselle ») devient reconnaissable

Introduction : Est un écrivain nouvelliste français. Origine d’une ancienne famille Loraine, qui s’était installée en Seine Maritime (Normandie) au milieu du XIXe siècle. Son père, Gustave deMaupassant, avait épousé en 1846 Laure le Poittevin, une demoiselle de la bonne bourgeoisie. Il a rédigé 6 romans et plus de 300 nouvelles ; C es œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, laprésence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise

premier livre "Les Patapharis" en 1966. Suivent Les Demoiselles sous les ébéniers, L'Été jaune, La Ville sur la mer. En 1972, elle reçoit le Prix Cazes pour "Méchamment les oiseaux". De nombreux romans viendront ensuite, notamment : Miroirs d'Edmée, Les Dimanches, Les Femmes de la pluie, Le Voyage aux Seychelles, Le Pré aux narcisses, Les Amies de cœur, Le Dit de Marguerite, La Petite Tonkinoise, Le Temps des innocents, La Notairesse, La Demoiselle de grande vertu, Car déjà le jour baisse. En 1973

nature morte « Verre et pommes ». Un autre exemple se situa en 1896 quand Cézanne laissa apparaître dans le tableau « Rochers dans la forêt », une construction géométrique qui tendait à une unité cubique. S’en suivi rapidement la réalisation des « Demoiselles d’Avignon » par Picasso, reconnu aujourd’hui comme le premier tableau cubiste. Dès 1907, Picasso et Braque ouvrirent la porte à toutes les conjectures, en créant leur Art sans que les critiques ou historiens d’art ne pussent véritablement définir

premier livre "Les Paraphais" en 1966. Suivent Les Demoiselles sous les ébéniers, L'Été jaune, La Ville sur la mer. En 1972, elle reçoit le Prix Caze pour "Méchamment les oiseaux". De nombreux romans viendront ensuite, notamment : Miroirs d'Edmée, Les Dimanches, Les Femmes de la pluie, Le Voyage aux Seychelles, Le Pré aux narcisses, Les Amies de cœur, Le Dit de Marguerite, La Petite Tonkinoise, Le Temps des innocents, La Notairesse, La Demoiselle de grande vertu, Car déjà le jour baisse. En 1973,

Chapitre 3: Le mariage d’Yvain 1-Qui est la demoiselle qui vient tirer Yvain d’affaire? 2-Que la demoiselle donne-t-elle à Yvain? Répondez avec précision. 3-Comment peut-on qualifier cet objet? (Ajoutez ce détail à la fin de la séance 2). 4-Qu’exprime la dame devant la dépouille de son mari? (p40) 5-En entendant ce qu’elle dit, Yvain est désespéré. Expliquez pourquoi. (p.44) 6-Pourquoi Yvain ne prend-il pas la fuite? (p.46) 7-Que la demoiselle cherche-t-elle à faire à la fin du chapitre? (p