Démoustication

Faculté de Médecine, fonctionnement du laboratoire de physique-biologie (1964-1967) ; Centre Hospitalier Régional de Montpellier et Faculté de Médecine, fonctionnement du laboratoire de médecine (1965) ; Entente Interdépartementale pour la démoustication du littoral méditerranéen et Faculté de Médecine (1966) ; Explorations fonctionnelles biométriques et biomécaniques, demande de locaux (1966) ; Centre Hospitalier Universitaire de Montpellier et Centre Régional de Lutte contre le Cancer (1966-1972)

et II. → Attractivité touristique // héliotropisme et balnéotropisme → croissance urbaine et périurbaine des espaces côtiers. Des espaces parfois répulsifs devenus attractifs (la côte du Languedoc-Roussillon aménagée dans les années 1960 : démoustication…). Mais des conflits d’usage se développent (tourisme / agriculture / industrie / transports) notamment autour de l’eau. Les littoraux sont aussi des espaces fragiles et menacés : destruction des écosystèmes, érosion, pollution + exposition

va-t-on distinguer un travail public ou un travail privé ? Il n’y a pas de définitions législatives. On trouve des travaux publics par détermination de la loi sont des travaux publics : Les travaux de reboisement des montagnes Les opérations de démoustications Les opérations de déminages effectués par l’Etat. C’est à la jurisprudence qui est revenue la tache de poser une définition du travail public. jusqu’en 1955, il y avait 3 critères cumulatifs : travail immobilier, réalisé dans un but d’intérêt

de Réalisations Internationales CDER - Centre de Développement des Energies Renouvelables CG34 - Conseil Général de l'Hérault DAT - Direction de l'Aménagement du Territoire DRI - Développement Rural Intégré EID - Entente Interdépartementale de Démoustication - Montpellier FEM - Fonds pour l'Environnement Mondial FFEM - Fonds Français pour l'Environnement Mondial FIDA - Fonds International de Développement Agricole GEF - Global Environment Facility GERERE - Groupe d'Etudes et de Recherche sur les E

La Mission a été chargée jusqu’en 1982 de l’aménagement touristique de ces 160 km de côtes, sur le territoire de 66 communes. L’État a assuré la construction des infrastructures d’accès, créé un environnement naturel plus favorable au tourisme (démoustication, boisement) et a préalablement acquis les terrains concernés pour prévenir une spéculation préjudiciable à l’investissement touristique. Il a également subventionné les équipements publics nécessaires à la création des stations : alimentation

languedocienne était marécageuse et quasiment déserte. Jusqu’aux années 1960, la côte est infestée de moustiques. Pour répondre à la demande des Français et des touristes des pays du Nord, l’État entreprend son aménagement à partir de 1963 : démoustication, construction de routes d’accès et de réseaux d’eau potable. Sur 200 km de côte, construction de 12 ports de plaisance et de 7 nouvelles stations balnéaires. Document 4 L’État et la technologie Pierre Audoin est un acteur majeur de la mise

permettront de faire reculer la transmission encore davantage, pratiquement quelque soit son intensité, mais surtout dans les zones de faible transmission. Parmi les stratégies de blocage de la transmission dont on dispose actuellement, c’est la démoustication qui sera encore la plus efficace. Les stratégiques thérapeutiques destinées à limiter la propagation des plasmodies pharmacorésistantes nécessiteront le recours à des associations médicamenteuses dont l’un des deux constituants devra exercer un

international "Interactions Nature-Société, analyse et modèle". UMR6554 LETG, La Baule 3-5 mai 2006. Briquet A. (1930) Le littoral du Nord de la France et son évolution morphologique. A. Colin, Paris, 484 p. BRL, EID (Entente Interdépartementale de Démoustication), SMNLR (Services Maritimes Languedoc-Rousillon) (2003) Propositions d’orientations stratégiques pour la gestion de l’érosion en Languedoc – Roussillon. 30 p. Brundtland (1985) Notre avenir à tous. Rapport de la Commission Mondiale de l'Environnement

La Mission a été chargée jusqu’en 1982 de l’aménagement touristique de ces 160 km de côtes, sur le territoire de 66 communes. L’État a assuré la construction des infrastructures d’accès, créé un environnement naturel plus favorable au tourisme (démoustication, boisement) et a préalablement acquis les terrains concernés pour prévenir une spéculation préjudiciable à l’investissement touristique. Il a également subventionné les équipements publics nécessaires à la création des stations : alimentation