Denis de Rougemont

un but précis : faire changer d’opinion à son interlocuteur, le pousser à agir, lui donner une information qu’il ignorait.                                                              291 Daniel Vanderveken, Les Actes de discours, p.22, cité par Denis Vernant, Op.Cit., p.61. 292 Vernant souligne cependant que la question n’est pas au niveau de la véracité du contenu propositionnel de l’acte assertif, que le fait soit existant en soi ou pas, le plus important est de savoir si le locuteur a raison

donc sous l’égide de l’OMS que le processus a débuté en 19897 avec la charte européenne de l’environnement et de la santé (Première 4 5 Rapport préliminaire de la Commission d’orientation du Plan Santé Environnement, 12 déc. 2003, p. 144. A. Rougemont, La santé en Europe, Acte Sud 1999, p. 23. 6 OMS 1993, cité par B. Vergriette, « Santé Environnement : problèmes et méthodes », Document de Travail de Ministère de l’écologie et du développement durable, Direction des études économiques et de l’évaluation

la rhinocérite. 3. Au début de cet extrait, Bérenger exprime son 4. L’évocation du témoignage de Denis de Rougemont apparaît d’abord chez Ionesco dans la préface d’une édition scolaire américaine de la pièce, en 1960, et est reprise dans Notes et contrenotes. Ionesco y explique que cette anecdote « est peut-être le point de départ de Rhinocéros » et que « Bérenger est peut-être celui qui, comme Denis de Rougement, est allergique aux mouvements des foules et aux marches, militaires et autres. » Les

législative, tout en admettant qu’il fallait « se donner quelques règles ». Bruno Le Roux, le rapporteur socialiste du projet de loi sur la sécurité quotidienne, n’y est pas opposé. « C’est une piste de travail », estime-t-il. Le député de Seine-Saint-Denis l’évoquera avec la délégation de « teufeurs » qu’il recevra lundi 25 juin. En attendant, il a réaffirmé qu’il déposerait bien un amendement de suppression, mardi 26 juin, lors de la réunion de la commission des lois de l’Assemblée nationale. Il

législative, tout en admettant qu’il fallait « se donner quelques règles ». Bruno Le Roux, le rapporteur socialiste du projet de loi sur la sécurité quotidienne, n’y est pas opposé. « C’est une piste de travail », estime-t-il. Le député de Seine-Saint-Denis l’évoquera avec la délégation de « teufeurs » qu’il recevra lundi 25 juin. En attendant, il a réaffirmé qu’il déposerait bien un amendement de suppression, mardi 26 juin, lors de la réunion de la commission des lois de l’Assemblée nationale. Il est

** tout mon raisiné sur le trimar : tout mon sang sur le sol ou sur le plancher *** m’otolonder : m’abrutir. **** air d’un célèbre opéra-comique de Nicolas Isouard, Joconde ou les Coureurs d’aventures(1814). ***** une pantomime de Balisson de Rougemont (1781-1840), parodie de mélodrame, s’intitulait La Femme innocente, malheureuse et persécutée. ****** François de Malherbe (1555-1628), Consolation à Du Périer 54 charmante dans sa simplicité*… »60 La cinquième citation de Vautrin : « ô

fera bien de m’avertir, pour que je sache… Alors, le vieux grigou n’est plus pour le mardi ? Elles appelaient ainsi entre elles, sans rire, de ces noms de vieux grigou, et de moricaud, les deux hommes qui payaient, un commerçant du faubourg Saint-Denis, de tempérament économe, et un Valaque, un prétendu comte, dont l’argent, toujours très irrégulier, avait une étrange odeur. Daguenet s’était fait donner les lendemains du vieux grigou ; comme le commerçant devait être le matin à sa maison, dès huit

fera bien de m’avertir, pour que je sache… Alors, le vieux grigou n’est plus pour le mardi ? Elles appelaient ainsi entre elles, sans rire, de ces noms de vieux grigou, et de moricaud, les deux hommes qui payaient, un commerçant du faubourg Saint-Denis, de tempérament économe, et un Valaque, un prétendu comte, dont l’argent, toujours très irrégulier, avait une étrange odeur. Daguenet s’était fait donner les lendemains du vieux grigou ; comme le commerçant devait être le matin à sa maison, dès huit

leçon avec des apports sur le langage en action : on trouvera pour cela dans la leçon 33 (« L’énonciation : niveaux de langue, expression péjorative et méliorative ») les notions nécessaires. Références bibliographiques Sur le théâtre Paul ARON, Denis SAINT-JACQUES, Alain VIALA, Le Dictionnaire du littéraire, Presses Universitaires de France, 2002. Dans cet ouvrage rédigé à la lumière des études les plus pertinentes et les plus récentes, on consultera avec profit notamment les articles « drame »

Service de psychiatrie, Hôpital Louis Mourier, Colombes Elisabeth BELMAS, Histoire moderne, Université Paris XIII, Maison des sciences de l’Homme, Paris-Nord Jean-Michel COSTES, Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), Saint-Denis Sylvie CRAIPEAU, Sociologie, Institut national des télécommunications, Évry Christophe LANÇON, Service de psychiatrie adulte, CHU Sainte-Marguerite, Marseille Michel LE MOAL, Neurogenèse et physiopathologie, unité Inserm 862, Neurocentre Magendie,