Dentelle

car « soulever » traduit le fait qu’elle porte une longue robe qu’elle doit relever « le feston et l’ourlet » v.4 Champs lexical des vêtements Ø Le « feston » étant de la dentelle, on apprend que ce qu’elle porte est soigné et distingué, très féminin et qu’elle appartient à une classe noble car à l’époque la dentelle était un tissu très cher réservé aux plus riches

Guy de Maupassant, « Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants. », mais aussi avec Zola, « Mais ce qui fit chuchoter le bal entier, ce fut la rivière et l’aigrette. », puis avec Balzac , « vêtue de dentelles, de diamants », et enfin, avec Marcel Proust « dans une robe de satin rouge dont la jupe était bordée de paillettes. ». L'argent fait le luxe, car il faut dépenser énormément pour paraître riche aux yeux des autres , comme nous le montre La Parure

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effet les mot « bizzarerie » et « magnificence » apparaissent dans le texte. Il remarque donc l'élégance de la tenue mais également son coté '(sombre ?) . Nous pouvons remarquer le champs lexical du vêtement : »costume » l.1 « rabat de dentelle «  l. 2 « dentelle »L.15 « pourpoint » l.16 ou encore « lourde chaine d'or »l.15 . Ce vieillard apparaît comme un personnage distingué et important il est d'ailleurs proposé être « le protecteur ou l'ami du peintre » l.3 Cette description exprime alors l'attitude

attardées, à qui leur rage de dépense faisait oublier l’heure. Du dehors ne venaient plus que les roulements des derniers fiacres, au milieu de la voix empâtée de Paris, un ronflement d’ogre repu, digérant les toiles et les draps, les soies et les dentelles, dont on le gavait depuis le matin. A l’intérieur, sous le flamboiement des becs de gaz, qui, brûlant dans le crépuscule, avaient éclairé les secousses suprêmes de la vente, c’était comme un champ de bataille encore chaud du massacre des tissus.

Poussin Verbe de perception : « examina » Il cherche à comprendre qui est le personnage : verbes exprimant sa pensée : « devina », « espérant trouver » Il ne perçoit que le costume et sa démarche : polysyndète : «à la magnificence de son rabat de dentelle, à la prépondérante sécurité de sa démarche » Les modalisateurs donnent l’avis de Poussin et ses suppositions : « magnificence » B. Puis par la focalisation 0 du narrateur Epanorthose qui souligne sa nature : « et surtout ce je ne sais quoi sui

l'impression d'un meuble en désordre, son contenu y est décrit de manière péjorative car les linges sont odorants et jaunes ce qui laisse penser qu'ils sont usés ce qui est renforcée par le nom « chiffons » et l'adjectif « flétries » pour qualifier les dentelles. Dans le premier tercet Rimbaud évoque des objets plus intime telles que des médaillon des portraits ou des mèches de cheveux. Il utilise également l'article indéfini « les » qui suggère que ces objets appartenait à quelqu'un, probablement une

apparence. Lors d’un dimanche où le Survenant vient lui tenir compagnie elle est « (v)étue de sa bonne robe d’alpaca gris garnie de padou noir sur laquelle elle avait épingle, par suprême coquetterie, un bout de dentelle de jabot.»(p.162) Le simple fait qu’elle aye rajouté un bout de dentelle à sa tenu montre une féminité qu’Angélina ne démontrait pas au début du roman c’est grâce à l’amour du Survenant qu’elle a changé. Bref, la vie sédentaire est présentée sur un jour favorable dans le survenant puisqu’elle

dernière, séduite, en fait son couturier attitré. (robe de1865) Spécialisé dans les robes de bal, il est à l’origine du renouveau de la soierie lyonnaise et puise dans un registre très vaste de motifs de dentelle et de broderie. Il profite d’innovations techniques comme l’apparition de la dentelle mécanique ou celle des colorants industriels, qui lui permettent de proposer des coloris inédits. (robe de 1866) La contribution majeure de Worth à la couture ne réside pas dans une conception révolutionnaire

substantifs semblent former une antithèse, sinon un couple oxymorique. La richesse, le luxe et la beauté des habits révèle bien sûr un statut social, celui d'une bourgeoisie aisée. En témoigne le caractère ostentatoire de la grande fraise de fine dentelle, sorte de collerette de lingerie finement tuyautée, plissée et amidonnée, qui tournait autour du cou sur plusieurs rangs. Cette prodigieuse fraise espagnole, dite à tuyaux d'orgue, était à la mode à la fin du XVI° siècle et au début du XVII° siècle