Déportation

entretenu sur l’antisémitisme de Vichy. A partir de la fin des années 1970, Serge Klarsfeld (fils de déporté) et sa femme Beate réalisent des enquêtes poussées sur les nazis responsables du génocide juif. Ils publient en 1978 un Mémorial de la déportation des juifs de France, et créent en 1979 l’association des « Fils et Filles des Déportés juifs en France ». Leurs actions montrent ainsi que les nouvelles générations se mobilisent pour la mémoire juive. Plusieurs procès auront lieu dans les années

Robert Antelme, L’Espèce humaine. Roman autobiographique de sa déportation, pour acte de résistance, au camp de concentration de Buchenwald et de Dachau. ( Anne Franck, Journal. Journal d’une jeune juive d’Amsterdam qui vit dans l’occupation nazie dans la clandestinité. ( Imre Kertesz, Etre sans destin. Roman autobiographique de l’écrivain hongrois. ( Primo Lévi, Si c’est un homme. Roman autobiographique de sa déportation, pour acte de résistance, au camp d’Auschwitz. ( David

horreur, horreur travaillée et organisée ; tout d’abord, par l’organisation de la déportation : qui déporter, pourquoi et comment ? Ensuite, par les conditions de vie de ces enfants et de ces adolescents dans les camps. Enfin, par les marques laissées dans les mentalités. Il existe trois raisons pour la déportation : être juif, être tzigane, ou être opposé à la politique menée par le gouvernement allemand. La déportation de personnes juives est fondée sur un antisémitisme profond et avoué, qui constitue

choisi ce tableau qui attira notre attention ; vif en couleurs il se distingue des autres oeuvres. En effet, les dessins ou tableaux concernant les camps et la déportation ont souvent été traduits par des couleurs grises et tristes. Les artistes, qu'ils aient été déportés ou non, établissent toujours une relation de cause à effet entre la déportation et la grisaille.   Les éléments ou axes plastiques sont les formes, la composition et les couleurs.   1) Formes et composition :   En simplifiant

collaborateurs français pour les juger. Il est à l'origine des Grands Procès, comme celui de Klaus Barbie, tortionnaire de Jean Moulin, ou celui de Papon, accusé d'avoir obéi à la règle de la déportation des juifs de France. Grâce à ces procès, Chirac reconnaît en 95, la responsabilité de l'Etat Français dans la déportation des juifs de France. Cette mémoire juive met en lumière également, le rôle de la résistance. La grande majorité des français ont protégé les juifs en les cachant dans leur cave, grenier

et enfermés dans des ghettos où ils furent astreints au travail forcé. En 1940, après la défaite française, les nazis envisagèrent un moment la possibilité de transférer les juifs d'Europe à Madagascar. En attendant, la politique hitlérienne de déportation des Juifs et de ghettoïsation se poursuivit en Allemagne, en Autriche, en Tchécoslovaquie et en Pologne. Entre le printemps et l'automne 1941, les chefs nazis ont pris trois décisions très importantes pour mettre en œuvre leur politique d'extermination

16-17 juillet 1942 : Rafle du Vél’ d’Hiv. Dès octobre 1940, le régime de Vichy envoi des juifs en camps de concentrations. Dès 1942, l’occupant Allemand exige a la France de déporter des juifs de France vers des camps d’exterminations juifs. Les déportations juives sont négociés dans le cadre de la politique de collaboration. En juillet 1942 plus de 12000 juifs sont raflés par la police française et sont envoyés au Vél’ D’Hiv avant d'être envoyé puis exterminé à Auschwitz. 8 mai 1945 : Capitulation

raconte sa déportation d'un côté, et la relation entre le père et le fils de l'autre. Biographie de l'auteur: Art Spiegelman est un illustrateur et auteur de bande dessinée américain, né le 15 février 1948 en Suède. C'est également un illustrateur reconnu. Il est sacré Grand Prix du Festival de bandes dessinées de la ville d'Angoulême en 2011. Vladek son père et sa femme sont tous deux des déportés du camp d’Auschwitz. Description de l’œuvre : Cette bande-dessinée raconte la déportation et le

polonaise. Bientôt contraint de vivre dans le ghetto où l’occupant a rassemblé de force tous les Juifs de la ville, il va partager trois années durant le sort tragique des centaines de milliers de personnes qui y sont enfermées. Mais il échappera à la déportation, puis à la destruction du ghetto, aidé par un officier allemand... SURPOPULATION, PÉNURIE, MALADIES... Victimes de nombreuses contraintes et vexations, soumis à l’arbitraire, les Juifs du ghetto connaissent d’autres difficultés encore. Alors

aussi que les hommes on perdu leur identité «  Ils n’étaient plus que des nombres ». En effet les déportés étaient prives de leur identité, ils étaient rase et avaient un numéro tatoué sur leur bras pour être identifié. Il indique aussi que la déportation a touché tout le monde en citant des prénoms de déportés de religions opposés « Jean Pierre, Natacha ou Samuel », Jean Ferrat cherche aussi à leur redonner une identité. On constate sa volonté de casser l'anonymat dans le dernier couplet qui reprend