Déportation

La Déportation je Vais vous présenté L’œuvre la Déportation tout d abord je vais commencer par vous dire ce qui est la Déportation, la définition de se mot La déportation est l'action d'obliger quelqu'un, le plus souvent un groupe de personnes, de quitter son habitat (territoire ou pays), soit pour l'obliger à s'installer ailleurs , soit pour le détenir dans des camps . Dans certains cas précis, tels les Juifs , la déportation a pour objectif la destruction physique du peuple ou

son passé. La femme est dépouillée, réduite à rien « les yeux vides » (vers 13) et il finit, dans la seconde partie de ce même vers, par mettre en évidence sa stérilité à travers la métaphore du « sein froid ». (Jamais le mot « déportés » / « déportation » n’est utilisé, juste « cela fut », vers 15. Impossible de le dire ? Pudeur ? Cela permet aussi que tous les hommes soient concernés par cette barbarie et pas uniquement les déportés.) 4) Quatrième partie : vers 15 à 20 Dans ces vers, on notera

utiliser la Résistance avec un objectif politique III/ La mémoire de Vichy et du génocide : Le devoir de mémoire Vocabulaire : CF : Chapitre histoire classe de Première (La Seconde Guerre Mondiale), visite du musée de la Résistance et de la déportation de Castelnau Mémoire résistancialiste mémoire communiste, mémoire officielle de la Shoah (génocide et extermination), mythe, devoir civique, devoir de mémoire. Biographies: C.De Gaulle Sujets bac possibles : Composition exemple : Les mémoires résistancialistes

personnages de ce film ont existés et c'est d'ailleurs grâce au témoignage de Joseph Weismann que Roselyne Bosch a put écrire et réaliser ce film. L'histoire du cinéma nous montre que rares et tardifs sont les films qui traitent de la question de la déportation des juifs de France pendant la Seconde guerre mondiale. 4٭ Certes, dès 1946, René Clément fait paraître "la Bataille du rail" mais, il n'est quasiment pas fait de références au sort des juifs. La question de la rafle du Vel' d'hiv sera rapidement

collaboration, Vichy, marché noir… -Mais des oublis : -les prisonniers de guerre (1,8 mi) -les STO -les résistants non marqués par le gaullisme ou le PC *La place secondaire du génocide des juifs -Peu de travaux sur les juifs, inclus dans la déportation ou l'occupation, amalgame entre camps, témoignages mal reçus dans la société, silence des déportés Ex : Nuit et brouillard (1956) d'Alain Resnais représentatif : unité des camps et des déportés, en + censuré 4.2. La mémoire ouverte (années 1970)

courageuse que celle de Jean Ferrat. En pleine période de naissance du rock yé-yé (allusion au "twist" à la fin du texte), faire une chanson sur la déportation n'avait rien d'évident. La maison de disque était d'ailleurs réticente, raconte le chanteur. Jean Ferrat, dont le nom véritable est Tenenbaum, est personnellement impliqué dans la question de la déportation : le père de Jean Ferrat, un joaillier juif de Versailles, a été déporté et est mort à Auschwitz. A l'âge de 12 ans, en 1942, Jean Tenenbaum

collaboration 1987 : Henry Rousso analyse évolution des mémoires de Vichy de 1944 aux années 1980 : « Vichy ; le passé qui ne passe pas ». IV/ Les mémoires de la déportation et du génocide en France → Rafles (collabo policère) → Déportation (juifs, Résistants, Ennemis politiques), raccordés par train (collabo Etat) Déportation française aurait été plus difficile sans collabo (exemple du Danemark). 76 000 juifs déportés vs 100 000 Résistants 2000 sont revenus Années 60 : tournant dans

par les Soviétiques. Il épouse Lucia Morpugo dont il aura deux enfants, il prends également la direction d'une entreprise de produits chimiques. Parallèlement il commence à écrire son 1er livre. Si c'est un homme paru en 1947, le journal de la déportation est l'un des tout premiers témoignages sur l'horreur d'Auschwitz. Primo Levi est également l'auteur d'une douzaine d'ouvrages, de récits ou de nouvelles. Il s'est donné la mort en 1987. 2) LE CONTEXTE HISTORIQUE DE L'OEUVRE Quelle période le

découvre les camps c’est un choc. Il faut imaginer l’impensable, on a du mal à croient la déportation de milliers de personnes. L’après-guerre voit d’abord la mise en avant des déportés politiques et des résistants mais aucunes notions de volonté d’extermination de certains groupes d’homes comme les juifs, Tziganes et homosexuels (= mémoire sélective). On voit apparaitre une mémoire sélective de déportation, on fait un hommage, le 11 Novembre 1945, à 2 déportés politiques devant la flamme du soldat

mémoires. Une mémoire d’abord occultée et fondue dans la mémoire de la Résistance (1945-années 1960) Si lors des toutes premières années de l’après-guerre il y a une émergence d’une mémoire juive du génocide, elle est très vite amalgamée avec la déportation des résistants. 1. Une mémoire juive du génocide assez discrète • Hormis quelques cérémonies, plaques commémoratives, monuments, ou encore livres du souvenir, la mémoire juive du génocide n’émerge pas dans la société française. Souhaitant affirmer