Dernier Atout

La Bête Humaine de Emile Zola | Synthèse des pages 492 à 496. -L'auteur du livre, Emile Zola, est né en 1840, et mort en 1902. Entre 1871 et 1893 il écrit une suite de romans qu'il appelle Les Rougons-Macquart. La Bête Humaine, au départ paru sous forme de feuilleton dans le magasine LaViePopulaire du 14 Novembre 1889 au 2 Mars 1890, est la dernière œuvre de sa série de 20 romans. Dans son livre traitant de l'univers ferroviaire sous le Second Empire, Zola développe la thèse selon laquelle

Fiche pratique: Auteur : Victor Hugo Titre et date de publication: Le dernier jour d'un condamné, publié en 1829. Genre:Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie,le journal intime en particulier. Histoire:Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme

qui lui inspirera plusieurs poèmes des Contemplations (Pauca meae par exemple ). Hugo est un farouche abolitionniste. Dans son enfance, il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie, il  luttera contre la peine de mort avec notamment "le dernier jour d'un condamné et "Claude Gueux "respectivement en 1829 et en 1834.Ces deux romans de jeunesse soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Victor Hugo meurt à l’âge de 83 ans ,le 22 mai 1885 à Paris

et date de sa publication : Le dernier jour d'un condamné, 1829. Contexte : Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permette de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel de Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève

miroirs du réel Bon là, il suffit de regarder dans un manuel des exemples. - le roman, expression de la nature humaine Là, j'évoquerais des romans dans lesquels on voit le caractère de l'homme se révéler face aux situations qu'il doit gérer. Le dernier jour d'un condamné, L'oeuvre au noir, Madame Bovary II Le roman; un support pour d'autres apports que la compréhension du réel - une façon de s'évader. En mettant en scène des lieux exotiques, ou des panoramas divers grâce au voyage d'un personnage

Titre : Le dernier jour d'un condamné Auteur : Victor Hugo Date de première publication : 1829 éditeur, collection, année d'édition : éditeur : « Pocket », collection : « classiques à petits prix », année d'édition : 2004 Genre : Roman - Le roman un récit généralement imaginaire. Il s'écrit en prose depuis la fin du XIIème siècle, il attire l'attention des lecteurs grâce à des personnages intéressants et de nombreuses péripéties. Le roman est plutôt destiné a une lecture individuelle.

défendre une cause, car, sur le même principe que celui de l'argument d'autorité, il aura plus de poid qu'un individu lambda de part la qualité de l'écriture et du raisonnement. Prenons l'exemple de Victor Hugo : il a écrit un livre nommé "le dernier jour d'un condamné" publié en 1829 qui est un réquisitoire contre la peine de mort. Et quel réquisitoire ! Sans que le héro ne soit quelqu'un de réellement attachant ou même appréciable (un individu en somme tout à fait banal..), V.Hugo réussit

Fiche de lecture: "Le dernier jour d'un condamné" est un livre de V.Hugo. Il paru en 1829. C'est un roman à thèse. Il est écrit à la première personne. Il a une légère ressemblance avec un journal intime. C'est l'histoire d'un homme condamné à mort pour crime de sang. Il va mourir, il le sait alors pour tromper son intolérable attente: il écrit. Le fait qu'il écrit presque un journal intime nous plonge vraiment bien dans la peau d'un homme qui vit ces derniers instant et pour qui le temps

La Métamorphose de KAFKA Commentaire : La métamorphose de Kafka m'a d'abord surpris de part "l'absurdité" de la transformation et par le fait que personne ne s'en étonne. Puis on se rend compte d'une injustice et dans la façon dont la famille traite Grégor et on en oubli la transformation, on ne voit plus que le comportement de la famille , c'est a dire un abandon pure et simple. Les parents sont dégoûtés de leur (ex)fils. Pas de pitié. Pas de compassion. Gregor est mis

Voici deux extraits de critiques qui donnent une idée assez juste des réticences qu'a soulevées la publication du Dernier Jour. Le premier article, paru dans Le Journal des Débats du 26 février 1829, est de la plume d'un ami de Victor Hugo, l'écrivain Charles Nodier. On comprendra sans peine, à lire ces lignes plus que réservées, qu'elles aient pratiquement mis un terme à une vieille complicité. Quant à Jules Janin, qui fait preuve d'un humanisme si poussif et si désolant dans la conclusion