Dernière Trahison Dans Manon Lescaut

féroces, une doctrine qu’on pourrait résumer à peu près ainsi : « L’homme a sur lui la chair qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède. « Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu’à la dernière extrémité. Dans cette obéissance-là, il peut encore y avoir de la faute ; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C’est une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s’achever en prière. « Être un saint, c’est l’exception ; être un juste,

féroces, une doctrine qu'on pourrait résumer à peu près ainsi : « L'homme a sur lui la chair qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède. « Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu'à la dernière extrémité. Dans cette obéissance-là, il peut encore y avoir de la faute ; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C'est une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s'achever en prière. « Être un saint, c'est l'exception ; être un juste

féroces, une doctrine qu’on pourrait résumer à peu près ainsi : «L’homme a sur lui la chair qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède. «Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu’à la dernière extrémité. Dans cette obéissancelà il peut encore y avoir de la faute; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C’est une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s’achever en prière. «Etre un saint, c’est l’exception; être un juste, c’est

vertueux féroces, une doctrine qu'on pourrait résumer à peu près ainsi: «L'homme a sur lui la chair qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède. «Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu'à la dernière extrémité. Dans cette obéissance-là, il peut encore y avoir de la faute; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C'est une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s'achever en prière. «Être un saint, c'est l'exception; être un juste, c'est

féroces, une doctrine qu’on pourrait résumer à peu près ainsi : « L’homme a sur lui la chair qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède. « Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu’à la dernière extrémité. Dans cette obéissance-là, il peut encore y avoir de la faute ; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C’est 37 une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s’achever en prière. « Être un saint, c’est l’exception ; être un

féroces, une doctrine qu’on pourrait résumer à peu près ainsi : « L’homme a sur lui la chair qui est tout à la fois son fardeau et sa tentation. Il la traîne et lui cède. « Il doit la surveiller, la contenir, la réprimer, et ne lui obéir qu’à la dernière extrémité. Dans cette obéissance-là, il peut encore y avoir de la faute ; mais la faute, ainsi faite, est vénielle. C’est 37 une chute, mais une chute sur les genoux, qui peut s’achever en prière. « Être un saint, c’est l’exception ; être un juste

argued that by giving an enlarged role to the imagination, a suspect faculty, novelists undermined intellectual rigour and blurred the line between truth and invention. Rousseau, a novelist himself, damned novels with faint praise, for they were ‘la dernière instruction qu’il reste à donner à un peuple assez corrompu pour que toute autre lui soit inutile’. The adjective romanesque, which was at first to roman what tragique was to tragédie, acquired a pejorative sense and was standard usage for those