Derozerays

et se lance dans une définition du devoir. Lorsqu’il parle des cimetières sous la lune, survient Lestiboudois, le fossoyeur très prosaïque, avec ses gros sabots. Puis Flaubert passe au discours indirect, se contentant de résumer le discours de M. Derozerays et d'indiquer les thèmes développés par Rodolphe ; il revient à la description, lors du passage consacré à la remise des récompenses, pour nous présenter la domestique Catherine-Nicaise-Élisabeth Leroux ; il termine enfin le chapitre par la description

rangées, des messieurs s’avançaient d’un pas lourd, examinant chaque animal, puis se consultaient à voix basse. L’un d’eux, qui semblait plus considérable, prenait, tout en marchant, quelques notes sur un album. C’était le président du jury : M. Derozerays de la Panville. Sitôt qu’il reconnut Rodolphe, il s’avança vivement, et lui dit en souriant d’un air aimable : – Comment, monsieur Boulanger, vous nous abandonnez ? – 153 – Rodolphe protesta qu’il allait venir. Mais quand le président

rangées, des messieurs s’avançaient d’un pas lourd, examinant chaque animal, puis se consultaient à voix basse. L’un d’eux, qui semblait plus considérable, prenait, tout en marchant, quelques notes sur un album. C’était le président du jury : M. Derozerays de la Panville. Sitôt qu’il reconnut Rodolphe, il s’avança vivement, et lui dit en souriant d’un air aimable : – Comment, monsieur Boulanger, vous nous abandonnez ? Rodolphe protesta qu’il allait venir, mais quand le président eut disparu : – Ma

rangées, des messieurs s'avançaient d'un pas lourd, examinant chaque animal, puis se consultaient à voix basse. L'un d'eux, qui semblait plus considérable, prenait, tout en marchant, quelques notes sur un album. C'était le président du jury : M. Derozerays de la Panville. Sitôt qu'il reconnut Rodolphe, il s'avança vivement, et lui dit en souriant d'un air aimable : Chapitre VIII 150 Madame Bovary Comment, monsieur Boulanger, vous nous abandonnez ? Rodolphe protesta qu'il allait venir, mais

rangées, des messieurs s’avançaient d’un pas lourd, examinant chaque animal, puis se consultaient à voix basse. L’un d’eux, qui semblait plus considérable, prenait, tout en marchant, quelques notes sur un album. C’était le président du jury : M. Derozerays de la Panville. Sitôt qu’il reconnut Rodolphe, il s’avança vivement, et lui dit en souriant d’un air aimable : – Comment, monsieur Boulanger, vous nous abandonnez ? Rodolphe protesta qu’il allait venir, mais quand le président eut disparu :

et se lance dans une définition du devoir. Lorsqu’il parle des cimetières sous la lune, survient Lestiboudois, le fossoyeur très prosaïque, avec ses gros sabots. Puis Flaubert passe au discours indirect, se contentant de résumer le discours de M. Derozerays et d'indiquer les thèmes développés par Rodolphe ; il revient à la description, lors du passage consacré à la remise des récompenses, pour nous présenter la domestique Catherine-Nicaise-Élisabeth Leroux ; il termine enfin le chapitre par la description

devoirs et se lance dans une dfinition du devoir. Lorsquil parle des cimetires sous la lune, survient Lestiboudois, le fossoyeur trs prosaque, avec ses gros sabots. Puis Flaubert passe au discours indirect, se contentant de rsumer le discours de M. Derozerays et dindiquer les thmes dvelopps par Rodolphe il revient la description, lors du passage consacr la remise des rcompenses, pour nous prsenter la domestique Catherine-Nicaise-lisabeth Leroux il termine enfin le chapitre par la description du feu

rangées, des messieurs s’avançaient d’un pas lourd, examinant chaque animal, puis se consultaient à voix assez basse. L’un d’eux, qui semblait plus considérable, prenait, tout en marchant, quelques notes sur un album. C’était le président du jury : M. Derozerays de la Panville. Sitôt qu’il reconnut Rodolphe, il s’avança vivement, et lui dit en souriant d’un air aimable : – Comment, monsieur Boulanger, vous nous abandonnez ? Rodolphe protesta qu’il allait venir. Mais quand le président eut disparu : – Ma

rangées, des messieurs s’avançaient d’un pas lourd, examinant chaque animal, puis se consultaient à voix assez basse. L’un d’eux, qui semblait plus considérable, prenait, tout en marchant, quelques notes sur un album. C’était le président du jury : M. Derozerays de la Panville. Sitôt qu’il reconnut Rodolphe, il s’avança vivement, et lui dit en souriant d’un air aimable : – Comment, monsieur Boulanger, vous nous abandonnez ? Rodolphe protesta qu’il allait venir. Mais quand le président eut disparu : – Ma

avanti fra le due file, a passo lento, esaminando ogni animale e consultandosi a bassa voce. Uno di essi, quello che sembrava essere il più autorevole, camminando, prendeva qualche appunto su un taccuino. Era il presidente della giuria, il signor Derozerays de la Panville. Non appena riconobbe Rodolphe, venne in fretta verso di lui e gli disse, sorridendo amabilmente: «Ma come, signor Boulanger, ci abbandona?» Rodolphe protestò che stava proprio per raggiungerli, ma quando il presidente si fu allontanato: