Derville

• Portrait physique, portrait moral Le portrait n° 1 intervient dans le récit à travers le point de vue de Derville (« Le jeune avoué demeura pendant un moment stupéfait en entrevoyant […] le singulier client qui l’attendait », p. 60). Il donne à voir un personnage tout d’abord caractérisé par sa vieillesse (« vieux soldat », « sec et maigre », « vieille tête », « rides blanches ») : Chabert apparaît, dans l’ensemble du roman, comme un « débris » de l’Empire (p. 105), l’incarnation d’une époque

On s’assit enfin, Mme de Rênal à côté de Julien, et Mme Derville près de son amie. Préoccupé de ce qu’il allait tenter, Julien ne trouvait rien à dire. La conversation languissait. Serai-je aussi tremblant et malheureux au premier duel qui me viendra ? se dit Julien, car il avait trop de méfiance et de lui et des autres, pour ne pas voir l’état de son âme. Dans sa mortelle angoisse, tous les dangers lui eussent semblé préférables. Que de fois ne désira-t-il pas voir survenir à Mme de Rênal quelque

réaliste le portrait d'un fantôme ? PLAN : I) portrait d'une ombre {text:list-item} L'introduction : 1 paragraphe I)Portrait d'une ombre ID : en quoi ce portrait est-il surnaturel ? un sujet d'étonnement: point de vue de Derville « stupéfait » « étonnement » le choc « demeure » « pendant un moment » vision partielle « entrevoyant » ( l'ombre de la piéce) un sujet de mystère: personnage plongé dans l'obscurité « l'ombre cachait si bien son corps » personnage

les journalistes sont sensés se soumettre. Ces derniers exercent alors une certaine autonomie tant que l’orientation idéologique du journal et les intérêts des employeurs ne sont pas heurtés; leur autonomie par rapport aux employeurs est, d’après Derville (1999), non seulement « relative », mais aussi « octroyée », et donc « conditionnelle » et « révocable ». Enfin, les chefs d’entreprises médiatiques exercent un contrôle qui se manifeste comme des interventions discrètes dans le travail journalistique

peu. La voix de Mme de Rênal devint tremblante, ses mouvements lents et ses pas lourds… Combat entre amoureux, l´anxiété dévora le château. Mme de Rênal avait raison, il eût été inconcevable pour Julien de lui avouer son doux secret, devant Mme Derville. L´espace d´un instant, neuf heures trois quarts sonnèrent à l´horloge du château, on ne peut imaginer sort plus inquiétant pour un jeune homme que le moment où les sentiments fleurissent sans option de les savourer, précisément, c´était le cas…

 Le Colonel Chabert DS (1h) Commentaire littéraire Blessé à la bataille d’Eylau (février 1807), abandonné sur le champ de bataille, jeté dans une fosse commune, le colonel Chabert raconte à Derville comment il réussit à survivre. Il paraît, grâce à l’insouciance ou à la précipitation avec laquelle on nous avait jetés pêle-mêle, que deux morts s’étaient croisés au-dessus de moi de manière à décrire un angle semblable à celui de deux cartes mises l’une contre

On apprend dans le para-texte que le colonel Chabert a fait la bataille d'Eylau au services de Napoléon dont on la laisser pour mort , dix an plus tard il réapparait a paris pour trouver sa femme remariée il demande donc conseil au maitre Derville. Le discours est descriptif car les verbes sont principalement à l'imparfait: L2 attendait ; L3 était ; L4 avait ; L5 aurait ; L6 présentait ainsi que la présences de repère spatiaux : L4 le cabinet de Curtius mais aussi les verbes d'état ou de

Le bourgeois triomphant * Le texte est construit sur une opposition : La soirée bourgeoise qui semble être au centre du passage qui ne sert que de cadre (imparfait) à la scène de séduction * Monsieur de Rénal est en pleine lumière (Mme Derville l’écoutait) VS les deux amants sont dans l’obscurité * Le cocu magnifique * Il semble être le centre d’intérêt de tous mais n’est qu’un « cocu magnifique » * On peut noter de l’ironie dans l’aveuglement du mari qui est obnubilé par

pensionnaire pendant six ans. Balzac était, selon les souhaits de sa mère, destiné à la carrière de notaire. On retrouve dans Le Colonel Chabert une trace des études de droit qu’il a entreprises et du stage chez Me Merville dont le nom deviendra celui de Derville. Cependant, en 1818, il avoua à ses parents qu’il désirait devenir écrivain. En 1826, il se fit éditeur puis imprimeur ; il contracta des dettes qui le poursuivront toute sa vie, le poussant notamment au journalisme pour pouvoir les rembourser. Il

Le comte Ferraud écrit une lettre à Derville ou Mme Ferraud pour expliquer les raisons qui le pousse à divorcer. Pour battir votre argumentation, vous vous inspirez des éléments du roman en présentant les contres-arguments qu'oppose le comte à son contradicteur éventuel. Ma chère et tendre épouse, je ne puis vous assurez à quel point je vous ai aimé. Je me remémore avec plaisir les douces dernières années passées à vos côtés. Quand nous allions nous promener dans le parc en plein printemps,