Des abeilles et des hommes

Homère : « sans famille, sans loi, sans maison ». Car un tel homme est du même coup naturellement passionné de guerre, étant comme un pion isolé dans un jeu. C’est pourquoi il est évident que l’homme est un animal politique plus que n’importe quelle abeille et que n’importe quel animal grégaire. Car, comme nous le disons, la nature ne fait rien en vain ; or seul parmi les animaux l’homme a un langage. Certes la voix est le signe du douloureux et de l’agréable, aussi la rencontre-t-on chez les animaux ;

La langue : forme particulière que prend l'exercice du langage dans une communauté humaine déterminée. La parole : forme individuelle de l'usage de la langue : manière dont chaque homme utilise la langue. Langage = faculté naturelle (tt les hommes la possèdent) La langue = production sociale La paroles = production industrielle Langage | Langue | Parole | Faculté naturelle | Production sociale | Production industrielle | Nature | Culture | //////////////////////////////////

animaux utilisent des signaux qui peuvent être visuels, acoustiques, tactiles, chimiques, électriques voire même une combinaison de différents types.Pour ce faire nous utiliserons l'abbeil en tant qu'animal de référence. L'abeille attitude Les abeilles…vous connaissez ? Savez-vous par quel moyen ces tout petits insectes communiquent entre eux ?Tout d’abord, rappelons que, dans la ruche, lieu dans lequel s’organise la vie de ces hyménoptères, cohabitent trois types « d’individus » :- la reine, élément

humains quant à eux, évoluent et changent avec le temps. Ils sont dotés de ce pouvoir grâce au langage, qui leur a apporté la raison. Ils vivent selon des institutions : leur vies sont rythmées par des pratiques sociales, leur histoire a permis aux hommes d’être cultivés et éduqués. Grâce aux règles qui les gouvernent, cette mentalité évolue de génération en génération. Dès la naissance, l’être humain hérite des coutumes de sa famille, c’est une suite temporelle. Vivre de cette façon est devenu une

apparaît (...) dans la situation ou la communication a lieu. Le message des abeilles n'appelle aucune réponse de l'entourage, sinon une certaine conduite, qui n'est pas une réponse. Cela signifie que les abeilles ne connaissent pas le dialogue, qui est la condition du langage humain. Nous parlons à d'autres qui parlent, telle est la réalité humaine. Cela révèle un nouveau contraste. Parce qu'il n'y a pas dialogue pour les abeilles, la communication se réfère seulement à une certaine donnée objective.

animaux tels les abeilles vivent bien en communauté organisée, ne possèdent-elles pas un langage pour accomplir des tâches communes? Il faut ici bien distinguer le principe de communiquer et le langage. En effet, une abeille ayant découvert une source de nourriture est capable de signaler son emplacement à ses compagnes de façon très précise. Ainsi une « danse en rond » indique que la source de nourriture se situe pas loin de la ruche. Pourtant, ce message transmis par une abeille n'induit alors aucune

fonctions. Du coup, on va voir 3 fonctions du langage. A) Exprimer les sentiments (Rousseau) L’œuvre de Rousseau : L’essai sur l’origine des langues. Ce qui nous intéresse ici c’est que c’est une partie du raisonnement de Rousseau : pourquoi les hommes ont-ils inventé le langage ? Dans quel but ? En vue de quoi ? Quelle a été la finalité qui a déterminé l’apparition du langage. La réponse de R : il ne peut y avoir que 2 finalités. -On peut imaginer qu’ils l’ont inventé pour répondre à leurs besoins

lieu à une fête musulmane, L'aïd el-Kebir qui commémore ce sacrifice (dans une semaine le 15octobre). Par cette fête on voit l’impact du sacrifice, un des exemples les plus célèbres est Jésus-Christ dans la Bible, qui se sacrifie pour sauver tous les hommes : Malgré tous les sacrifices d’animaux qu'on offrait depuis des milliers d'années à Dieu, il n'était jamais satisfait et les péchés n’étaient pas réglés. L’homme commettait les mêmes erreurs et les animaux étaient sacrifiés pour rien. Jésus accepte

assez conséquente de l’extrait (ligne 120 à 123) concerne les abeilles, et plus particulièrement les ruches d’abeilles. L’auteur explique de, d’aussi loin que remonte la mémoire des Hommes, les abeilles ont toujours formés leurs ruches dans cette forme hexagonale qui les caractérisent tant. C’est ainsi depuis toujours, et ce sera toujours ainsi, d’après le philosophe. Il illustre ici la continuité dans laquelle l’instinct plonge les abeilles, et de manière beaucoup plus générale les animaux (« il en

Il dit que les animaux entre ici dans le texte les abeilles naissent avec la connaissance mais ils n’évoluent pas dans le temps. La nature leur a fixé des bornes qu’ils n’ont pas les moyens de dépasser. Ces connaissances servent aux animaux à survivre mais ils ne peuvent apprendre d’autre chose. Le temps n’a pas d’effet sur leurs connaissances. L’auteur développe cet argument en prenant appui sur l’exemple des alvéoles construites par les abeilles. Ce type de construction est réalisé aujourd’hui « aussi