Des Carolingiens Aux Capétiens

Cette volonté de légiférer va entrainer une activité législative. Il faut compter environ 200 lois entre l’avènement, le coup d’état en 751 de Pépin le Bref et la dernière loi datant de 884, mais l’essentiel est entre 751 et 840. Les Carolingiens ne sont pas des Romains, ils veulent les imiter avec leur outils, culture qui est faible. Ils ne prennent pas des lois comme à Rome avec des constitutions impériales, ils ne peuvent pas faire pareil car ils ne sont pas organisés comme à Rome (pas d’administration

Commentaire de document Bibliographie * GUILLOT, Olivier. Hugues Capet et les premiers capétiens. Paris : Tallandier, 2002. * LAZAROT-POZA, DANIEL, Paix de Dieu et Trêve de Dieu dans la France médiévale. En ligne : http://www.en-quetes.org/archives/la_guerre/articles/daniel_laguerre.htm * THEIS, Laurent. Robert le Pieux : le roi de l'an mil. Paris : Librairie académique Perrin, 1999. Lorsque l’on parle du moyen âge, une des caractéristiques les plus importante de celui-ci

acclamation n’est rien d’autre qu’une approbation de son droit héréditaire. Seule l’hérédité faisait le roi. Chapitre 2 : l’Europe impériale et l’échec de Charlemagne. Durant cette période du 8ème à la fin du 10ème siècle : avènement des Carolingiens et de Charlemagne en Europe et cela jusqu’à la fin du 10ème siècle avec ensuite l’éclatement de l’empire en une multitude de seigneuries autonomes. L’Europe impériale sera brillante mais éphémère. Il devient empereur en 800 et l’empire fut partagé

début du 14 e s la couronne passe par droit d’hérédité au fils du défunt. Les capétiens ont donc réussi à retourner l'élection du roi par le principe d'hérédité, qui c'est finalement à force de temps transformer en coutume. L'époque précédent le Moyen est l'époque franque qui à connu deux dynasties. Sous la dynastie carolingienne c'est grâce au Sacre que le roi devenait vraiment roi. Puis à l'arrivée des Capétiens le sacre va avoir aussi une grande importance mais plus ils vont avancé dans le

autres ; c’est une notion à ne pas confondre avec celle de suzeraineté, qui est le droit exercé par un suzerain sur son vassal. Après l’installation de la seigneurie à la fin du 9ème siècle, Le phénomène de vassalité se répand après la période carolingienne, pendant le moyen âge et plus précisément pendant l’ère féodale qui s’étend du 10ème au 15ème siècle, par la suite s’installera la notion de souveraineté. L’intérêt de ce sujet repose sur l’analyse des caractéristiques de chacun de ces pouvoirs

père. La cérémonie du sacre. Jusqu'à la fin du 12eme siècle tous les capétiens maintiennent l'élection et le sacre anticipé de crainte que la légitimité de leur dynastie puisse être contestée. En 1180 Philippe Auguste lorsqu'il accède au trône ne croit pas utile de faire sacrer son fils par anticipation estimant avec raison que la règle de l'hérédité ne serait plus contestée. § 3 Une royauté féodale. Le monarque Capétien même sacré doit composer avec une féodalité qui entrave son action, de

L'évolution du pouvoir du roi de France de Hugues Capet (987) à Louis XIV (1643) Synthèse élèves Plan de la matière 1. Faiblesse des premiers Capétiens : D'une royauté élective à une royauté héréditaire (987-1180) 2. Le règne de Philippe Auguste (1180-1223) 3. Le règne de Louis IX ou "Saint Louis“ (1226-1270) 4. Le règne de Philippe le Bel (1285-1314) 5. La crise de la Guerre de Cent Ans  (1337 – 1453) (15 minutes) 6. François Ier, les prémices de l'absolutisme (1515-1547)

tradition germanique. Ils vont mettre en place un royaume. Dans la période franque, 2 dynasties qui se suivent : * Mérovingiens (481 à 751) : 2 caractéristiques. On a une coexistence de races qui ne sont pas encore mélangées, fondues. * Carolingiens (751 à 887) : volonté de rénovation, de redressement de l’Empire. Ce qui s’accompagne de beaucoup de références issues de l’Antiquité. A – La dynastie Mérovingienne : Elle commence avec l’avènement de Clovis qui est le fils de Childéric 1er et

royaumes comme pour les petits fiefs, de partage entre les héritiers masculins, mais plutôt de primogéniture, c'est-à-dire de tout transmettre à l'aîné des garçons. Ainsi on évite le disloquement des terres qui fut une vrais tragédie sous l'ère Carolingienne. Il est à remarquer que les rois de France profitèrent dans un premier temps d'une abondante progéniture masculine, avant que la source soit tarie, ce qui amènera à se demander si la femme peut succéder au Roi ou non. L'enjeu du sujet est donc

royaume, comme on le voit à la lecture de la Chanson de Roland, écrite un siècle plus tôt. Ce terme de « France » fait suite à celui de « Francie occidentale », officialisé au Traité de Verdun en 843 pour désigner la partie occidentale de l'empire carolingien, suite à son morcellement. Dès juin 1205, le territoire est désigné dans les chartes sous le nom de regnum Franciæ, c’est-à-dire royaume de France[2],[3]. L'occupation humaine du territoire correspondant aujourd'hui à la France est fort ancienne