Des étoiles plein les yeux

roses, les pioupious jeunes soldats Caressent les bébés pour enjôler les bonnes... Moi, je suis, débraillé comme un étudiant, Sous les marronniers verts les alertes fillettes : Elles le savent bien ; et tournent en riant, Vers moi, leurs yeux tout pleins de choses indiscrètes. Je ne dit pas un mot : je regarde toujours La chair de leurs cous blancs brodés de mèches folles : Je suis, sous le corsage et les frêles atours, Le dos divin après la courbe des épaules. J'ai bientôt déniché la bottine

Hermann à mes côtés me paraissait une ombre.  Nos chevaux galopaient. A la garde de Dieu !  Les nuages du ciel ressemblaient à des marbres.  Les étoiles volaient dans les branches des arbres  Comme un essaim d'oiseaux de feu.  Je suis plein de regrets. Brisé par la souffrance,  L'esprit profond d'Hermann est vide d'espérance.  Je suis plein de regrets. O mes amours, dormez !  Or, tout en traversant ces solitudes vertes,  Hermann me dit : «Je songe aux tombes entr'ouvertes ;»  Et je lui

oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu? De Satan ou de Dieu, qu'importe? Ange ou Sirène, Qu'importe, si tu rends, — fée aux yeux de velours, Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine! — L'univers moins hideux et les instants moins lourds? Parfum exotique Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse

Puget, mélancolique empereur des forçats ; Watteau, ce carnaval où bien des cœurs illustres Comme des papillons, errent en flamboyant, Décors frais et légers éclairés par des lustres Qui versent la folie à ce bal tournoyant ; Goya, cauchemar plein de choses inconnues, De foetus qu'on fait cuire au milieu des sabbats, De vieilles au miroir et d'enfants toutes nues, Pour tenter les démons ajustant bien leurs bas ; Delacroix, lac de sang hanté des mauvais anges, Ombragé par un bois de sapins

dit à leurs amies de se rejoindre pour faire un boum. Et boum, un éclair il pleut très fort.   Tessy Herrera       Les enfants vont ramasser les feuilles mortes   les feuilles qui, du temps qu’elles vivaient, étaient pleines de rosée et de chants d’oiseaux Elles couvrent le sol maintenant, elles recouvrent leurs petits cadavres desséchés.     Mélanie Gigliano Bénédicte Grcès     Lune     Lune, Lune douce Douce comme La mousse. Dans

décrire un chemin, le mien. Chemin qui, par miracle, a suivi le pointillé d’une figure : celle de l’Étoile. L ’initiation, c’est entendu, est une soirée particulière. Ce chemin, les yeux bandés, chaque F... s’en souvient. Peut en parler jusqu’à plus soif. Mille agapes n’y pourraient suffire. On chemine, les yeux bandés. La peur est là. Mais circoncise, par l’amour et la fraternité, que l’on sent pour la première fois. La bienveillance. Le jour vient où, très vite – trop vite ? – on devient compagnon

le ciel en direction du nord juste a coté de du W formé par la constellation de cathiopé. C'était le plus grand astronome de son temps et pourtant l n'en a pas cru c yeux -Quelques années après en 1604, son ancienne élève yohan scéplair observe a son tour une nouvelle supernova, il a mesuré la distance entre deux étoiles autour du phénomène et mtn, on peut se servir de c mesure pr trouvé lendroi exact de l'explosion. Kan lé contemporains on examiné de + près le rémanent de cette supernova

semblait un ciel noir étoilé. Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières, Je songeais que cet homme était plein de prières, Et je regardais, sourd à ce que nous disions, Sa bure où je voyais des constellations. Victor Hugo, Les Contemplations (1856) Ce poème de Victor Hugo m’a tout de suite frappé par l’image autant misérable que fraternelle que présente ce poème. L’image du manteau en lambeaux comparé à un ciel étoilé est également une des

Je suis divine! Je descends des étoiles. Le ciel est immense…sans fin…il me fait peur. Je suis petite, vulnérable face à ce géant. Le ciel est une nature qui est hors de mon contrôle mais qui me guide et veut que mon bien-être. Malgré mes peurs, je dois lui faire confiance car mon étoile y est. Voilà le sens que cette nature m’apporte et qui me parle directement à travers mon cœur. Au fond de ce tableau, je vois ma mère. Cette femme sophistiquée, raffinée. Les

aider dans notre quête initiatique. Du deux nous sommes passés au trois. Que faut il donc dans le temple maçonnique, pour que la Lumière des Etoiles, prenne force et vigueur et imprègne l’initié ? L’initié travaillant sa pierre brute au plus profond de lui même, recherchant sans cesse sa propre vérité doit recevoir en échange le scintillement des étoiles. Je suis moi même désarçonnés face à la voûte étoilée, mon esprit, ma conscience a encore bien du mal à en appréhender la totalité de la voûte